salam alaykoum,
Je ne pense pas qu'ils te répondront.
Mais, je tiens à dire plusieurs choses, car je connais un peu le judaisme étant donné que ma soeur est mariée à un juif converti à l'Islam dont sa mère est convertie à l'Islam également grâce à son fils.
Je discute souvent avec lui et il connait beaucoup de l'histoire des tribus juives et de la prophétie des enfants d'israel.
Les juifs n'ont pas cru au message de jésus fils de Marie car les juifs ont eu d'autres aspirations que ce que Jésus fils de marie alayhi salam voulait ramener, dans le sens où Jésus venait en toute compassion, plein d'amour et de compassion pour toutes les nations alors que les juifs ont pour postulat qu'ils sont à eux seuls, le "peuple élu" de Dieu et que tous les autres peuples sont les goyims ou bêtes (animaux) traduit souvent par Gentils mais cela est une récente traduction qui camoufle bien la signification talmudique de ce mot.
Il faut comprendre que Jésus avait uniquement pour mission de remettre son peuple à l'ordre, dans le sens où il déviait de la vraie droiture de la torah originelle en détournant le sens des versets à leur guise. D'ailleurs, il y avait tellement de sectes avant l'arrivée de ce messie qu'à la fin certains juifs étaient matérialistes, dans le sens où les sacerdotaux ne croyaient plus en la vie de l'au-delà et la resurrection. Ils étaient l'élite bourgeoise des enfants d'israel et prenaient la religion pour sorte de "commerce" afin d'imposer un sorte d'impérialisme.
Le message d'amour de Jésus ne venait vraiment pas conforter les juifs qui voulaient avoir une rédemption totale et une suprématie sur toutes les autres nations avoisinantes à l'instar du royaume de David et salomon, mais à l'inverse de ces prophètes, david et salomon, se confortaient à la torah et si impérialisme y avait, cela n'était uniquement pour convertir les autres nations, d'ailleurs Salomon a converti les éthiopiens, c'est pourquoi une partie actuelle de l'éthiopie est de confession juive.
Ils n'ont pas accepté sa messianité car pour eux, ils ne leur servaient pas à forger leurs ambitions.
L'évangile n'a dès lors pas été accepté, mais il faut savoir qu'avant cela, les israélites étaient en babylonie, pris pour esclaves par les babyloniens, et l'élite juive a décidé de forger des techniques de survie et ont compilé le talmud comme principes du judaisme pour forger leurs ambitions.
certains de ces principes:
- Un juif est Adam (homme) mais un non juif est une bête, un animal, un singe pouvant ressembler à un homme tout en étant pas un homme.
- La misère est la honte du juif.
- Tu ne seras satisfait de toi qu'une fois que tu auras dominé toutes les nations,
- Tu dois travailler 6 jours et le 7ème pour te reposer, et ces 6 jours te permettront de travailler pour dominer toutes les nations du monde, tous les peuples doivent êtres suppliqués à ta Nation Israel.
Une fois, l'autorisation par Babylone de relacher l'élite juive vers leur terre, ils emportèrent avec eux les écrits forgés par eux-mêmes du talmud, et ils attendèrent ainsi le mashiash car Rome était de nouveau là à les perturber et ils avaient peur d'être encore sous domination étrangère.
Le messie Jésus fils de Marie est arrivé, mais il ne correspondait vraiment pas à ce que le talmud faisait référence car les ambitions de Jésus et celles du talmud étaient totalement opposées. Ils ont rejeté l'évangile pour converser leur talmud.
Cependant, de nos jours, il faut savoir que la majorité sont tous sur ce postulat à attendre un messie qui fera la rédemption d'israel et qui fera d'Israel comme une pierre lourde que si quelqu'un bronche à l'égard de cet état, ils n'arriveront pas à soulever cette pierre qu'est israel, et qu'Israel dominera les nations pour imposer la monarchie basée sur les lois de la torah et du talmud et asservir ainsi toutes les nations considérées comme des goyims (animaux).
D'autres versets du talmud ont été créés par la suite:
- tu hairas et tu voueras une guerre terrible contre tous les chrétiens.
D'ailleurs, c'est pourquoi, il y avait des mésententes judéo-chrétiennes:
-----------------------------
Accusations chrétiennesAu Moyen Âge, chrétiens et Juifs convertis au christianisme lancent des accusations envers le Talmud au cours de disputations publiques, disant y trouver des passages démontrant le rejet inhérent au judaïsme envers les
goyim. Certaines accusations y reviennent de façon récurrentes :
- que les goyim sont exclus du genre humain et traités d'animaux,
- qu'il est interdit sous peine de mort de leur enseigner le Talmud,
- qu'ils ont juré une guerre éternelle aux chrétiens,
- Qu'ils remercient Dieu tous les jours de ne pas les avoir faits goyim.
Certaines de ces accusations persistent encore de nos jours
14.
La première de ces accusations, qui connaîtra une grande longévité puisqu'elle figurera encore dans le procès de Mendel Beilis au XX
e siècle, repose sur une citation de Keritot 6b, réitérée dans Yebamot 61a: « « Vous êtes nommés
adam (homme), et les nations du monde ne sont pas nommées
adam (homme) ».
Ce passage du Talmud rapproche en fait deux versets bibliques, Lévitique 18:5 qui porte le terme
ha-adam, c'est-à-dire l'homme en général, et Ezéchiel 34:31, dans lequel figure
adam, c'est-à-dire, selon le Talmud,
Adam, la lignée messianique qui descend du premier homme au fils de l'Homme, seule soumise à l'ensemble des lois de la Torah
15.
L'accusation chrétienne se base donc sur une traduction identique de deux termes différents,
ha-adam et
adam, qui se lit « Vous êtes nommés
adam (homme), et les nations du monde ne sont pas nommées
ha-adam » (la lignée messianique soumise à la Halakha). C'est d'ailleurs en conséquence de cette exonération des règles de la Halakha qu'il était de coutume parmi les Juifs d'employer des Gentils qui accomplissaient les tâches interdites aux Juifs le Sabbath, comme allumer un feu, bien que cet usage fût
stricto sensu déconseillé par le Talmud. Ces Gentils étaient appelés
Goy chel chabbath ou selon une appellation yiddisch plus courante
chabbes goy, et de nombreux rabbins rédigèrent des responsa en faveur du maintien de cet usage
16.
La seconde accusation (interdiction sous peine de mort d'enseigner le
Talmud aux gentils) est basée sur la sentence d'un Sage dans Sanhédrin 59a, « un Goy qui étudie la Torah
et un Juif qui l'y aide devraient être mis à mort. » Outre le fait
qu'il n'y est pas question du Talmud mais de la Torah, il ne s'agit pas
d'une décision mais d'une discussion entre deux collègues, dont le
second (auquel le Talmud donne raison) rétorque qu'« un Goy qui étudie
la Torah est comme un Grand-Prêtre. »
Les apologues du Talmud enseignent ailleurs que la Torah fut proposée aux 70 nations, avant Israël
17, et que les commandements furent enseignés en 70 langues
18, ceci afin de souligner l'universalité de son message.
La troisième accusation (les Juifs ont juré une guerre éternelle aux
chrétiens) est basée sur la sentence « c'est une règle connue, qu'Esaü hait Jacob
19 ». Or, Esaü est allégoriquement associé à Rome.
Les chrétiens inversait donc la sentence. En disant que Rome (la
chrétienté) haïssait Jacob (le peuple juif), les Juifs voulaient
justifier leur haine de Rome (la chrétienté). On peut cependant
remarquer que l'accusation implique une inversion de la phrase, et
surtout que la Rome de celle-ci est la capitale de l'empire romain
païen, et pas celui de la chrétienté. En effet, le Sage à l'origine de
cet enseignement vécut en 160 EC, à l'époque où Rome venait de détruire
la Judée après l'insurrection de Bar Kokhba
20 ; c'est donc la Rome de Hadrien, ses généraux et successeurs qu'il visait.
La quatrième accusation (les Juifs remercient Dieu tous les jours de ne pas les avoir faits
goyim) est basée sur la bénédiction du matin
chèlo assani goy (Qui ne m'as pas fait goy) qui fut rédigée aux temps où
goyim était synonyme de
païens et « priaient un Dieu qui ne sauve pas
21 ». Bien qu'exprimant la fierté d'appartenir au « peuple élu », cette prière n'implique pas de rejet inconditionnel des non-Juifs.
Ainsi que l'explique un rabbin
conservative,
« nous sommes reconnaissants à Dieu de nous avoir illuminés, de sorte
qu'à la différence des païens, nous honorons le vrai Dieu et non des
idoles. Il n'y a pas de supériorité inhérente à être Juif, mais nous
affirmons bien la supériorité du monothéisme sur le paganisme. Bien que
le paganisme existe encore de nos jours, nous ne sommes plus les seuls à
croire en un Dieu [Un]
22 », bien qu'au XI
e siècle, Rachi doive rappeler aux Juifs que les
Goyim ne sont plus des païens
6. Cette méfiance envers les païens n'exclut pas que ceux-ci puissent être détenteurs de grands savoirs
23, ni qu'il y ait des hommes justes et pieux dans ces nations
24, et que tous les justes, Juifs et Gentils, ont leur part au monde à venir
7.
----------------------------------
Il y a cependant, une classe qui est plus modérée et réformatrice et s'oppose à ce type de raisonnement et sont plutôt plus tolérants, ils forment la gauche.