Cher frere,
(Dis : si vous aimez Allah alors suivez-moi donc, Il vous pardonnera vos fautes).Coran
Cher nuisance ?!tu n'a rien trouvé que ce nom ? Un mouslim doit choisir un bon nom significatif ,Tu me rappel un compagnon du prophète qui s'appelait "houzn"(Malheur) le prophète lui dis change ce nom par Farah (bonheur),il n'a pas voulu et on raconte que toute sa vie est resté houzn sur houzn .
Dis moi frère comment peut on suivre le prophète sans suivre ses paroles qui contrairement à tes énoncés ont été écrite en parallèle que le coran et ce que q je dis est très bien connu .
Ensuite Dieu dis dans le coran: Il[Mohamed]ne prononce rien sous la passion!"
Donc les hadiths authentiques ne peuvent être écartés de la parole révélé car comme Dit Aicha ra Mohamed saaws était un coran qui marche .
Il existe ,il est vrai que quelques hadiths "authentiques " sont objets de discutions ,mais les confronter au coran donnera le verdict de leur véracité ou les infirmer c'est aussi simple que ça .
(Dis : si vous aimez Allah alors suivez-moi donc, Il vous pardonnera vos fautes).
‘Umar conseillait à ses fonctionnaires de juger les gens d’après le Livre d’Allah swt. S’ils n’y trouvaient pas de verdict, alors d’après la Sounna du Messager d’Allah. Quand l’affaire de l’avortement d’une femme causé par la malveillance d’une personne, lui posa problème, ‘Umar interrogea les Compagnons. Muhammad ibn Salama et Al-Mughayra ibn Chu’ba témoignèrent que le verdict du Prophète sws à ce sujet était la libération d’un esclave - homme ou femme. ‘Umar prononça donc le verdict dans ce sens.
Quand ‘Ali apprit que ‘Uthmân avait pratiqué le Hajj selon le rite Mut’a, il endossa l’Ihrâm pour le Hajj et la ‘Umra (c.-à-d. selon le rite Mut’a) et dit : « Je ne renoncerai jamais à la Sounna du Messager d’Allah pour prendre la parole d’autrui. »
Quand certaines personnes considérèrent la parole d’Abû Bakr et de ‘Umar au sujet du rite Mut’a, comme une autorité et approuvèrent le Hajj selon le rite Ifrâd, Ibn ‘Abbâs dit : « Des pierres ne tarderont pas à vous tomber du ciel. Je vous informe de ce qu’a dit le Messager d’Allah mais vous prenez en considération ce qu’ont dit Abû Bakr et ‘Umar ! » Si l’on craint une punition pour celui qui contredit ou agit contrairement à la Sounna et suit la parole d’Abû Bakr et de ‘Umar, que penser de celui qui agit contrairement à la Sounna et suit la parole ou l’avis de toute autre personne ou son effort personnel (Ijtihâd) ? Quand certaines personnes contestèrent ‘Abdullah ibn ‘Umar sur certaines Sounna, ce dernier leur dit : « Avons-nous reçu l’ordre de suivre ‘Umar ? »
Tandis que ‘Imrân ibn Huswayn parlait aux gens à propos de la Sounna, un homme lui dit : « Parle-nous du Coran. » Il se mit en colère et dit : « La Sounna est le commentaire du Coran. Sans la Sounna, nous n’aurions jamais su que la prière du Dhuhr consiste en quatre Rak’ât, la prière du Maghrib, en trois Rak’ât et la prière du Fajr en deux Rak’ât. Nous n’aurions jamais su les lois de la Zakât ainsi que d’autres détails que la Sounna nous a donnés. »
Les affaires dans lesquelles les Compagnons ont exhorté à suivre la Sounna, insisté sur le devoir de s’y conformer et mis en garde celui qui la contredit, sont très nombreuses.
Nous en citons quelques exemples :
Quand ‘Abdullah ibn Umar relata la parole suivante du Prophète sws : « N’interdisez pas aux servantes d’Allah de se rendre à la mosquée », certains de ses enfants dirent : « Par Allah ! Nous leur interdirons. » ‘Abdullah se mit en colère et les insulta sévèrement en disant : « Je vous dis ce que le Messager d’Allah a dit et vous dites : “ Par Allah ! Nous leur interdirons !” ? »
Al-Bayhaqî a rapporté qu’Ayyûb As-Sakhtayânî, le grand Tâbi’î a dit : « Si vous conversez avec quelqu’un au sujet de la Sounna et qu’il vous dit : “Laissons cela, et parlons plutôt du Coran”, sachez alors que c’est un égaré. »
Al-Awzâ’î (qu’Allah lui fasse miséricorde) a dit : « La Sounna est l’explication du Coran, précisant les lois générales, et mentionnant des lois qui ne se trouvent pas dans le Coran - comme Allah Lui-même a dit : « ... Nous avons fait descendre sur toi le Rappel (la Sounna) afin que tu explique aux gens clairement ce qui est descendu vers eux. Peut-être réfléchiront-ils ? »
Le Prophète sws a dit : « En vérité, j’ai reçu le Coran et quelque chose de semblable avec. »
Fraternellement
(Dis : si vous aimez Allah alors suivez-moi donc, Il vous pardonnera vos fautes).Coran
Cher nuisance ?!tu n'a rien trouvé que ce nom ? Un mouslim doit choisir un bon nom significatif ,Tu me rappel un compagnon du prophète qui s'appelait "houzn"(Malheur) le prophète lui dis change ce nom par Farah (bonheur),il n'a pas voulu et on raconte que toute sa vie est resté houzn sur houzn .
Dis moi frère comment peut on suivre le prophète sans suivre ses paroles qui contrairement à tes énoncés ont été écrite en parallèle que le coran et ce que q je dis est très bien connu .
Ensuite Dieu dis dans le coran: Il[Mohamed]ne prononce rien sous la passion!"
Donc les hadiths authentiques ne peuvent être écartés de la parole révélé car comme Dit Aicha ra Mohamed saaws était un coran qui marche .
Il existe ,il est vrai que quelques hadiths "authentiques " sont objets de discutions ,mais les confronter au coran donnera le verdict de leur véracité ou les infirmer c'est aussi simple que ça .
(Dis : si vous aimez Allah alors suivez-moi donc, Il vous pardonnera vos fautes).
‘Umar conseillait à ses fonctionnaires de juger les gens d’après le Livre d’Allah swt. S’ils n’y trouvaient pas de verdict, alors d’après la Sounna du Messager d’Allah. Quand l’affaire de l’avortement d’une femme causé par la malveillance d’une personne, lui posa problème, ‘Umar interrogea les Compagnons. Muhammad ibn Salama et Al-Mughayra ibn Chu’ba témoignèrent que le verdict du Prophète sws à ce sujet était la libération d’un esclave - homme ou femme. ‘Umar prononça donc le verdict dans ce sens.
Quand ‘Ali apprit que ‘Uthmân avait pratiqué le Hajj selon le rite Mut’a, il endossa l’Ihrâm pour le Hajj et la ‘Umra (c.-à-d. selon le rite Mut’a) et dit : « Je ne renoncerai jamais à la Sounna du Messager d’Allah pour prendre la parole d’autrui. »
Quand certaines personnes considérèrent la parole d’Abû Bakr et de ‘Umar au sujet du rite Mut’a, comme une autorité et approuvèrent le Hajj selon le rite Ifrâd, Ibn ‘Abbâs dit : « Des pierres ne tarderont pas à vous tomber du ciel. Je vous informe de ce qu’a dit le Messager d’Allah mais vous prenez en considération ce qu’ont dit Abû Bakr et ‘Umar ! » Si l’on craint une punition pour celui qui contredit ou agit contrairement à la Sounna et suit la parole d’Abû Bakr et de ‘Umar, que penser de celui qui agit contrairement à la Sounna et suit la parole ou l’avis de toute autre personne ou son effort personnel (Ijtihâd) ? Quand certaines personnes contestèrent ‘Abdullah ibn ‘Umar sur certaines Sounna, ce dernier leur dit : « Avons-nous reçu l’ordre de suivre ‘Umar ? »
Tandis que ‘Imrân ibn Huswayn parlait aux gens à propos de la Sounna, un homme lui dit : « Parle-nous du Coran. » Il se mit en colère et dit : « La Sounna est le commentaire du Coran. Sans la Sounna, nous n’aurions jamais su que la prière du Dhuhr consiste en quatre Rak’ât, la prière du Maghrib, en trois Rak’ât et la prière du Fajr en deux Rak’ât. Nous n’aurions jamais su les lois de la Zakât ainsi que d’autres détails que la Sounna nous a donnés. »
Les affaires dans lesquelles les Compagnons ont exhorté à suivre la Sounna, insisté sur le devoir de s’y conformer et mis en garde celui qui la contredit, sont très nombreuses.
Nous en citons quelques exemples :
Quand ‘Abdullah ibn Umar relata la parole suivante du Prophète sws : « N’interdisez pas aux servantes d’Allah de se rendre à la mosquée », certains de ses enfants dirent : « Par Allah ! Nous leur interdirons. » ‘Abdullah se mit en colère et les insulta sévèrement en disant : « Je vous dis ce que le Messager d’Allah a dit et vous dites : “ Par Allah ! Nous leur interdirons !” ? »
Al-Bayhaqî a rapporté qu’Ayyûb As-Sakhtayânî, le grand Tâbi’î a dit : « Si vous conversez avec quelqu’un au sujet de la Sounna et qu’il vous dit : “Laissons cela, et parlons plutôt du Coran”, sachez alors que c’est un égaré. »
Al-Awzâ’î (qu’Allah lui fasse miséricorde) a dit : « La Sounna est l’explication du Coran, précisant les lois générales, et mentionnant des lois qui ne se trouvent pas dans le Coran - comme Allah Lui-même a dit : « ... Nous avons fait descendre sur toi le Rappel (la Sounna) afin que tu explique aux gens clairement ce qui est descendu vers eux. Peut-être réfléchiront-ils ? »
Le Prophète sws a dit : « En vérité, j’ai reçu le Coran et quelque chose de semblable avec. »
Fraternellement