Deux ânes font route avec un marchand qui les guide vers le village, sur la route à la sortie d’une clairière un pont annonce une rivière à traverser.
L’homme avance avec ces deux ânes, l’un chargé de planches de bois l’autre de clou, arrivez au pont l’un des ânes refuse de traverser ; le marchand après avoir passé un long moment insiste pour faire avancé l’âne mais celui ci refuse vigoureusement.
Avec le dépit en écharpe il décide alors de laisser l’âne récalcitrant au pied d’un arbre et de prendre le chargement du premier pour qu’il le faire porté par le second.
Le chemin étant encore long avant d’arriver au village l’homme fait de nombreuses haltes afin que l’animal puisse se reposé.
Arrivé au village, l’homme décharge l’âne de son lourd fardeau, puis l’âne s’écroule de fatigue et meurt peu de temps après.
Le vendeur ce met à vociféré, pourquoi je dois vivre cela maintenant je ne puis reprendre la charge de mon âne, et je ne puis reprendre le chemin, comment vais je faire désormais.
Un homme à proximité observe la scène, s’approche de lui et dit que t’arrives t’il, et bien mon âne à du porter la charge d’un autre âne qui ne voulait plus avancer et il en est mort.
L’homme lui dit alors laisse ton âne, prend deux planches, trois clous, ton marteau, et viens avec moi sur la colline qui surplombe le village.
Ne t’inquiète pas pour tes biens je vais demandé à l’un des miens de venir protéger et garder ce qui m’appartient.
L’homme un peu décontenancé lui dit mais que va t’on faire la haut ? Ou m’emmènes tu ? Tu verras, quand tu y seras, puisque d’ici on ne voit que l’âne le bois et les clous.
Je t’emmène sur le chemin, ils arrivent tout deux sur la colline, puis l’homme dit !
Sais tu pourquoi je t’ai fais venir ici ?! Non, c’est toi qui m’as demandé de te suivre alors je t’ai suivis.
L’homme lui dit, qui aurait laissé son bien avec un inconnu pour suivre l’inconnu sur la colline au pied du talus?
Le marchand dit, que veux tu me dires ? Ton âne est mort ton bois et le mien ton âne est vivant tes clous sont les miens parce que c’est ici que je vais reconstruite ma maison et c’est ici que j’accueillerais les miens et ceux qu’il veulent bien prendre le même chemin.
Le marchand dit, et qui construira ta maison ?
C’est moi répond l’homme !!
Tu es charpentier ?!!
Oui !mais le charpentier aujourd’hui c’est toi puisque tu m’a suivit le chemin de l’âne.
C’est donc ici à cet endroit que j’ai marqué d’une croix ou tu déposeras l’endroit de la tienne le fardeau du marchand.
Je sais qui tu es maintenant j’ai entendu parler de toi on te nommes celui qui console le marchand d’ânes et l’homme dit ! Qui a dit cela de moi.
J’ai entendu cela de mon cœur, c’est moi qui le dis, c’est comme cela que je colporterais ton nom désormais, l’homme dit alors !!
Laisse le colportage sur la place du village, va dire a celui qui veux entendre que la porte de ma maison s’ouvre.
Que celui qui veut voir ma nouvelle demeure suive le chemin de l’âne, et quand j’ouvrirai ma porte l’amour sera rendue au centuple à la maison du charpentier.
Ainsi l’âne devra au poids de l’autre la dîme du bois et la dîme du clou, quand je t’ai demandé de me suivre c’est bien l’âne mort qui a fait le chemin mais c’est bien le vivant qui arrive au bout du chemin.
Le marchand lui dit alors, pourquoi je t’ai suivi avec confiance ?
Tu étais perdu sur la place au milieu du chemin, alors j’ai guidé l’âne sur le chemin du marchand au pied du talus ou tu as planté la croix de ma nouvelle demeure, c’est désormais ici que je serais avec toi et avec tout ceux qui veulent suivre le chemin du marchand d’ânes.
L’homme avance avec ces deux ânes, l’un chargé de planches de bois l’autre de clou, arrivez au pont l’un des ânes refuse de traverser ; le marchand après avoir passé un long moment insiste pour faire avancé l’âne mais celui ci refuse vigoureusement.
Avec le dépit en écharpe il décide alors de laisser l’âne récalcitrant au pied d’un arbre et de prendre le chargement du premier pour qu’il le faire porté par le second.
Le chemin étant encore long avant d’arriver au village l’homme fait de nombreuses haltes afin que l’animal puisse se reposé.
Arrivé au village, l’homme décharge l’âne de son lourd fardeau, puis l’âne s’écroule de fatigue et meurt peu de temps après.
Le vendeur ce met à vociféré, pourquoi je dois vivre cela maintenant je ne puis reprendre la charge de mon âne, et je ne puis reprendre le chemin, comment vais je faire désormais.
Un homme à proximité observe la scène, s’approche de lui et dit que t’arrives t’il, et bien mon âne à du porter la charge d’un autre âne qui ne voulait plus avancer et il en est mort.
L’homme lui dit alors laisse ton âne, prend deux planches, trois clous, ton marteau, et viens avec moi sur la colline qui surplombe le village.
Ne t’inquiète pas pour tes biens je vais demandé à l’un des miens de venir protéger et garder ce qui m’appartient.
L’homme un peu décontenancé lui dit mais que va t’on faire la haut ? Ou m’emmènes tu ? Tu verras, quand tu y seras, puisque d’ici on ne voit que l’âne le bois et les clous.
Je t’emmène sur le chemin, ils arrivent tout deux sur la colline, puis l’homme dit !
Sais tu pourquoi je t’ai fais venir ici ?! Non, c’est toi qui m’as demandé de te suivre alors je t’ai suivis.
L’homme lui dit, qui aurait laissé son bien avec un inconnu pour suivre l’inconnu sur la colline au pied du talus?
Le marchand dit, que veux tu me dires ? Ton âne est mort ton bois et le mien ton âne est vivant tes clous sont les miens parce que c’est ici que je vais reconstruite ma maison et c’est ici que j’accueillerais les miens et ceux qu’il veulent bien prendre le même chemin.
Le marchand dit, et qui construira ta maison ?
C’est moi répond l’homme !!
Tu es charpentier ?!!
Oui !mais le charpentier aujourd’hui c’est toi puisque tu m’a suivit le chemin de l’âne.
C’est donc ici à cet endroit que j’ai marqué d’une croix ou tu déposeras l’endroit de la tienne le fardeau du marchand.
Je sais qui tu es maintenant j’ai entendu parler de toi on te nommes celui qui console le marchand d’ânes et l’homme dit ! Qui a dit cela de moi.
J’ai entendu cela de mon cœur, c’est moi qui le dis, c’est comme cela que je colporterais ton nom désormais, l’homme dit alors !!
Laisse le colportage sur la place du village, va dire a celui qui veux entendre que la porte de ma maison s’ouvre.
Que celui qui veut voir ma nouvelle demeure suive le chemin de l’âne, et quand j’ouvrirai ma porte l’amour sera rendue au centuple à la maison du charpentier.
Ainsi l’âne devra au poids de l’autre la dîme du bois et la dîme du clou, quand je t’ai demandé de me suivre c’est bien l’âne mort qui a fait le chemin mais c’est bien le vivant qui arrive au bout du chemin.
Le marchand lui dit alors, pourquoi je t’ai suivi avec confiance ?
Tu étais perdu sur la place au milieu du chemin, alors j’ai guidé l’âne sur le chemin du marchand au pied du talus ou tu as planté la croix de ma nouvelle demeure, c’est désormais ici que je serais avec toi et avec tout ceux qui veulent suivre le chemin du marchand d’ânes.