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Bon retour;
Dans la Genèse, 49 : 10 il est écrit :
« Le bâton (de commandement) ne s'écartera pas de Juda, ni l'insigne du législateur d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent. »
Dans cette prophétie, l’image est celle du chef assis sur son trône, tenant en main et entre les jambes les insignes de son pouvoir.
A la venue de cette personne attendue par toutes les nations, le pouvoir, c'est-à-dire le pouvoir politique, et la législation seront transmis de Juda à cet homme : c'est-à-dire des Israélites à lui et bien sûr à son peuple.
Le verset mentionne deux choses : la venue de « Schilo » et ses conséquences qui sont : la transmission du « bâton de commandement et de législation » de Juda à cette personne et l’obéissance des peuples.
Or ces deux caractéristiques ne s’appliquent pas à Jésus.
Car celui-ci était descendant de Juda (voir la généalogie de Jésus dans Matthieu, 1 : 2 et Luc, 3 : 33) ce qui implique que sa venue ne serait pas une cause pour que le bâton de commandement et de législation soient transmis de Juda ; mais au contraire le pouvoir politique et législatif demeurerait dans les mains de Juda ; puisque sa venue ne serait qu’une continuité et non pas une rupture ou un éloignement du pouvoir de Juda, comme le dit le texte.
D’autre part, Jésus, en faisant des Apôtres, selon les Evangiles, des Juges chargés des douze tribus d’Israël, maintenait le pouvoir dans le peuple de Juda.
En outre, l’obéissance des peuples à Jésus n’est pas arrivée de son vivant ; puisqu’il fut crucifié et tué selon les Chrétiens.
En revanche, ces données s’appliquent parfaitement au Prophète Mohammad. Mohammad, lui ; n’est pas un descendant de Juda. En outre de son vivant et après sa mort des peuples lui ont obéi et lui obéissent encore.
Par ailleurs, quand nous examinons les interprétations données par les savants au terme « Schilo » nous constatons qu’elles s’appliquent parfaitement au Prophète Mohammad.
Dans une note réservée à ce terme, dans la nouvelle version Segond, édition « Alliance biblique universelle », Paris 1978, p. 54, il est écrit :
« Chilo » : « Le sens de ce mot reste mystérieux, comme on peut en juger par les versions et les interprétations modernes : « Celui à qui appartient » le bâton de commandement ; « Celui qui doit être envoyé » ; le pacifique ; le dominateur ; un cadeau pour lui ; ou encore, toute la phrase étant lue : jusqu’à ce que le tribut lui soit apporté. On considère en général que cette prédiction a un sens messianique. ».
Nous essayons de voir à qui ces interprétations s’appliquent parfaitement ; à Jésus ou à Mohammad.
1. « Schilo » : « Celui à qui appartient » le bâton de commandement.
Nous avons démontré plus haut que le bâton de commandement ne saurait concerné Jésus pour la simple raison que Jésus est un descendant de Juda. Par contre la contradiction disparaît lorsqu’on l’applique à Mohammad.
2. « Schilo » : « Celui qui doit être envoyé ».
Cette interprétation s’applique aussi bien à Jésus qu’à Mohammad. Mais elle suggère que ce Prophète sera le grand envoyé de Dieu.
3. « Schilo » : « Le Pacifique ».
On ne peut apprécier la valeur et les capacités d’un pacifique que si, en dépit de sa puissance militaire, il continue à préférer la paix. Quand on considère la vie de Mohammad on se rend compte qu’il préférait toujours la paix, et qu’il ne recourait à la guerre que lorsqu’il y était contraint.
Cependant, on ne peut pas qualifier de non pacifique celui qui luttera pour la cause de Dieu et pour la restauration de la paix. Jésus, par exemple, reviendra pour détruire les régimes politiques de la terre, et Mohammad a combattu l’ignorance et le mal en recourant à la force.
4. « Schilo » : « Le dominateur ».
C’est une caractéristique du Prophète Mohammad ; car lui-même et par le truchement de ses disciples il a dominé presque le monde entier de son époque. Par contre, Jésus n’avait pas pour mission de dominer le monde.
5. « Schilo » : « Un cadeau pour lui ».
Cette interprétation est une allusion manifeste à la réalité historique qu’avait connue l’Arabie. Les présents et les cadeaux ont été envoyés de toutes parts au Prophète Mohammad : d’Héraclius, l’empereur romain, du gouverneur de l’Egypte, du roi d’Abyssinie ainsi que d’autres rois. Par contre, Jésus n’a pas reçu de cadeaux des rois.
6. « Schilo » : « Jusqu’à ce que le tribut lui soit apporté ».
Cette donnée s’applique parfaitement au Prophète Mohammad car le Coran dit : « Combattez : ceux qui ne croient pas en Dieu et au Jour dernier ; ceux qui ne déclarent pas illicite ce que Dieu et son Prophète ont déclaré illicite ; ceux qui, parmi les gens du Livre, ne pratiquent pas la vraie religion. Combattez-les jusqu’à ce qu’ils payent directement le tribut après s’être humiliés. » 9 : 29.
Le tribut est imposé aux Juifs, aux Chrétiens, aux Persans et à d’autres ; qui ont été des non convertis et vivants dans l’état musulman.
Dans n’importe quel livre de la législation islamique on trouve un chapitre consacré aux directives et règles explicitant cette loi. Jésus, par contre, n’a perçu aucun tribut.
(Extrait du Livre: Mohammad dans la Bible et Jésus dans le Coran)
Conclusion: Le« Schilo » est bien Mohammad .D'autre prophéties encore confirme que Mohammad est le sceaux des prophètes.
Bon retour;
Dans la Genèse, 49 : 10 il est écrit :
« Le bâton (de commandement) ne s'écartera pas de Juda, ni l'insigne du législateur d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent. »
Dans cette prophétie, l’image est celle du chef assis sur son trône, tenant en main et entre les jambes les insignes de son pouvoir.
A la venue de cette personne attendue par toutes les nations, le pouvoir, c'est-à-dire le pouvoir politique, et la législation seront transmis de Juda à cet homme : c'est-à-dire des Israélites à lui et bien sûr à son peuple.
Le verset mentionne deux choses : la venue de « Schilo » et ses conséquences qui sont : la transmission du « bâton de commandement et de législation » de Juda à cette personne et l’obéissance des peuples.
Or ces deux caractéristiques ne s’appliquent pas à Jésus.
Car celui-ci était descendant de Juda (voir la généalogie de Jésus dans Matthieu, 1 : 2 et Luc, 3 : 33) ce qui implique que sa venue ne serait pas une cause pour que le bâton de commandement et de législation soient transmis de Juda ; mais au contraire le pouvoir politique et législatif demeurerait dans les mains de Juda ; puisque sa venue ne serait qu’une continuité et non pas une rupture ou un éloignement du pouvoir de Juda, comme le dit le texte.
D’autre part, Jésus, en faisant des Apôtres, selon les Evangiles, des Juges chargés des douze tribus d’Israël, maintenait le pouvoir dans le peuple de Juda.
En outre, l’obéissance des peuples à Jésus n’est pas arrivée de son vivant ; puisqu’il fut crucifié et tué selon les Chrétiens.
En revanche, ces données s’appliquent parfaitement au Prophète Mohammad. Mohammad, lui ; n’est pas un descendant de Juda. En outre de son vivant et après sa mort des peuples lui ont obéi et lui obéissent encore.
Par ailleurs, quand nous examinons les interprétations données par les savants au terme « Schilo » nous constatons qu’elles s’appliquent parfaitement au Prophète Mohammad.
Dans une note réservée à ce terme, dans la nouvelle version Segond, édition « Alliance biblique universelle », Paris 1978, p. 54, il est écrit :
« Chilo » : « Le sens de ce mot reste mystérieux, comme on peut en juger par les versions et les interprétations modernes : « Celui à qui appartient » le bâton de commandement ; « Celui qui doit être envoyé » ; le pacifique ; le dominateur ; un cadeau pour lui ; ou encore, toute la phrase étant lue : jusqu’à ce que le tribut lui soit apporté. On considère en général que cette prédiction a un sens messianique. ».
Nous essayons de voir à qui ces interprétations s’appliquent parfaitement ; à Jésus ou à Mohammad.
1. « Schilo » : « Celui à qui appartient » le bâton de commandement.
Nous avons démontré plus haut que le bâton de commandement ne saurait concerné Jésus pour la simple raison que Jésus est un descendant de Juda. Par contre la contradiction disparaît lorsqu’on l’applique à Mohammad.
2. « Schilo » : « Celui qui doit être envoyé ».
Cette interprétation s’applique aussi bien à Jésus qu’à Mohammad. Mais elle suggère que ce Prophète sera le grand envoyé de Dieu.
3. « Schilo » : « Le Pacifique ».
On ne peut apprécier la valeur et les capacités d’un pacifique que si, en dépit de sa puissance militaire, il continue à préférer la paix. Quand on considère la vie de Mohammad on se rend compte qu’il préférait toujours la paix, et qu’il ne recourait à la guerre que lorsqu’il y était contraint.
Cependant, on ne peut pas qualifier de non pacifique celui qui luttera pour la cause de Dieu et pour la restauration de la paix. Jésus, par exemple, reviendra pour détruire les régimes politiques de la terre, et Mohammad a combattu l’ignorance et le mal en recourant à la force.
4. « Schilo » : « Le dominateur ».
C’est une caractéristique du Prophète Mohammad ; car lui-même et par le truchement de ses disciples il a dominé presque le monde entier de son époque. Par contre, Jésus n’avait pas pour mission de dominer le monde.
5. « Schilo » : « Un cadeau pour lui ».
Cette interprétation est une allusion manifeste à la réalité historique qu’avait connue l’Arabie. Les présents et les cadeaux ont été envoyés de toutes parts au Prophète Mohammad : d’Héraclius, l’empereur romain, du gouverneur de l’Egypte, du roi d’Abyssinie ainsi que d’autres rois. Par contre, Jésus n’a pas reçu de cadeaux des rois.
6. « Schilo » : « Jusqu’à ce que le tribut lui soit apporté ».
Cette donnée s’applique parfaitement au Prophète Mohammad car le Coran dit : « Combattez : ceux qui ne croient pas en Dieu et au Jour dernier ; ceux qui ne déclarent pas illicite ce que Dieu et son Prophète ont déclaré illicite ; ceux qui, parmi les gens du Livre, ne pratiquent pas la vraie religion. Combattez-les jusqu’à ce qu’ils payent directement le tribut après s’être humiliés. » 9 : 29.
Le tribut est imposé aux Juifs, aux Chrétiens, aux Persans et à d’autres ; qui ont été des non convertis et vivants dans l’état musulman.
Dans n’importe quel livre de la législation islamique on trouve un chapitre consacré aux directives et règles explicitant cette loi. Jésus, par contre, n’a perçu aucun tribut.
(Extrait du Livre: Mohammad dans la Bible et Jésus dans le Coran)
Conclusion: Le« Schilo » est bien Mohammad .D'autre prophéties encore confirme que Mohammad est le sceaux des prophètes.