Credo a écrit:Jesus dit bien "Qui honore le Fils honore le Père". Donc chaque fois que l'on prononce le nom du Fils pour l'honorer on honore le Père. Aussi ce n'est pas imposer cette prononciation du nom du Dieu d'Israel qui sauvera quiconque. C'est notre foi qui doit se traduire dans nos oeuvres car la foi sans les oeuvres est vaine.
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Il ne s'agit pas d'imposer mais de faire comme Dieu veut, c'est sa volonté d'employer respectueusement son saint nom.
Quelques exemples sur ce que tu contestes pour te montrer que ça ne justifie pas pour autant :
les juifs à la sortie d'Egypte bien que sachant le nom de Jéhovah s'étaient fait un veau d'or en disant "c'est Jéhovah" cela leur a-t-il valu la faveur de Dieu ?
Bien que sachant prononcer le nom de Jéhovah, l'employant comme un fétiche capable de fournir une protection divine mais violant la loi, furent-ils épargnés par la parole de Jéhovah amenant l'exil et la destruction du temple ?
En l'an 70 de notre ère, pas de différence n'est-ce pas et ils connaissaient à coup sûr la bonne prononciation puisque Jésus et ses disciples prononcaient.
Pourtant le nom fut bien employé pour faire la distinction entre Baal et ses prêtres et Jéhovah.
Peut-on raisonnablement penser que Jean le baptiste ne l'ait jamais employé ?
Au fait, en Exode 3:15 il est dit que c'est là mon nom (celui de Jéhovah) de génération en génération et Jésus n'est-il pas la génération de la semence promise ? Par conséquent, lui aussi était sous le coup de cette parole et n'a donc pas changé le nom de Dieu en "Dieu" ou "Père".
Question : n'est-ce pas la volonté de Dieu que son saint nom soit employé ?
Ce qui amène une autre question : peut-on dire que ceux qui refusent d'employer son nom [ou trouvent tout un tas de justifications pour ne pas l'employer] fassent sa volonté ?
Juste un exemple, celui des invités et du mariage cité par Jésus, les excuses pouvaient paraitre justifiées aux yeux des hommes mais quel fut la réaction du roi ?