Tétraèdre a écrit:l'Église catholique n'a jamais eu d'armée et si les prêtres bénissent les soldats elle benit les soldats de tous les camps, mais n'approuve aucune guerre qui depuis Luther ont toutes été les mauvaises oeuvres des menteurs sectaires protestants contre l'humanité entière contre presque tous les pays et spécialement contre les catholiques des trois Amériques. De 1939-45 les nazis protestants ont massacré 40 millions de catholique
Voilà une réalité historique vérifiable
La réalité historique ? Les Nazis protestants ?
On croit réver !
Hitler était catholique et un bon catholique puisqu'il n'a jamais été excommunié, ni lui, ni les autres chefs nazis catholiques !
Les chiffres officiels 32 millions de catholiques allemands dont 15 millions et demi d'hommes vivaient en Allemagne nazie, sur ce nombre 7 ont refusé de servir le Reich dont 6 habitaient l'Autriche.
Les Témoins de Jéhovah ont tous refusé de participer à l'effort de guerre et de faire le salut nazi, cela leur a valu d'être interné dans des camps avec le triangle violet.
Petit rappel historique :
Le 20 juillet 1933, le Vatican révéla tout l’intérêt qu’il portait à la montée du nazisme quand le cardinal Pacelli (qui devint plus tard le pape Pie XII) signa à Rome un concordat entre le Vatican et l’Allemagne nazie. C’est von Papen qui signa le document au nom de Hitler, et Pacelli lui remit une haute décoration papale, la grand-croix de l’Ordre de Pie. Dans son livre (Satan in Top Hat), Tibor Koeves relate ce fait, en disant : “ Le concordat était une victoire importante pour Hitler. Il lui accordait le premier des soutiens d’ordre moral qu’il reçut de l’étranger, et ce de la source la plus glorieuse qui soit. ” Le concordat exigeait du Vatican qu’il retire son soutien au Centre allemand (parti catholique), ratifiant ainsi l’“ État totalitaire ” dirigé par un parti unique, celui de Hitler. De plus, l’article 14 du concordat stipulait : “ Les nominations d’archevêques, d’évêques et toute autre nomination ne deviendront définitives que lorsque le représentant du Reich aura donné son accord pour ce qui est de savoir si ces nominations ne présentent pas d’inconvénients au point de vue politique générale. ” Vers la fin de 1933 (proclamée “ Année sainte ” par Pie XI), le soutien du Vatican était devenu pour Hitler un facteur primordial dans sa marche en avant pour la domination mondiale.
“En cette heure décisive, nous exhortons nos soldats catholiques à faire leur devoir en obéissant au Führer [Hitler].” — Les évêques catholiques d’Allemagne, citation tirée du New York Times du 25 septembre 1939.Le 07 décembre 1941 le New York Times publiait ce rapport: “La Conférence des évêques catholiques allemands tenue à Fulda a recommandé l’introduction d’une ‘prière pour la guerre’, prière spéciale qui doit être lue au début et à la fin de chaque office. Cette prière supplie la Providence de bénir les armes allemandes en leur accordant la victoire, et de protéger la vie et la santé de tous les soldats. Les évêques ont également donné des instructions aux prêtres pour qu’au moins une fois par mois, dans un sermon dominical spécial, ils aient une pensée pour les soldats allemands qui combattent ‘sur terre, sur mer et dans les airs’.”
“Vous savez, mon père, l’un des membres de l’équipage de notre avion est catholique, et vous le bénissez quand nous partons en mission pour bombarder l’Allemagne. Mais là-bas, la même religion bénit un aviateur catholique qui vient détruire nos villes à bord d’un appareil allemand. La question que je me pose est donc celle-ci: ‘Et Dieu, de quel côté est-il?’” Ainsi s’exprima un officier de l’armée de l’air britannique, David Walker, lors d’une discussion qu’il eut pendant la Seconde Guerre mondiale avec un prêtre catholique.
Dans son livre L’Église catholique et l’Allemagne nazie, Guenter Lewy écrit : “ Lorsque, le 13 avril [1933], les Témoins de Jéhovah furent interdits en Bavière, l’Église accepta même d’être chargée par le ministère de l’Éducation et des Cultes de signaler tout membre de la secte qui pratiquerait encore la religion interdite. ” L’Église catholique a donc une part de responsabilité dans l’internement de milliers de Témoins dans les camps de concentration ; ses mains sont souillées du sang des centaines de Témoins qui ont été exécutés.
“L’attitude du Vatican à l’égard de l’Holocauste constitue l’une des grandes faillites morales de l’Histoire, une faillite dont l’Église catholique ne s’est pas encore remise”, écrit le chroniqueur James Carroll dans le Boston Globe. Et d’étayer son jugement par cette énumération de dates: “1929: les accords du Latran conclus entre Mussolini et Pie XI donnent au Vatican liberté et argent, et à Mussolini le prestige dont il a besoin. [1933]: le Vatican signe un concordat avec Hitler, dont c’est là le premier succès international. (...) 1935: Mussolini envahit l’Abyssinie. Les évêques catholiques bénissent les troupes italiennes (...). 1939: Mussolini suspend les droits des Juifs en Italie. Le pape garde le silence. (...) 1942: le pape reçoit des rapports d’aumôniers italiens sur l’extermination des Juifs. Dans son message de Noël, il déplore le sort des ‘pauvres gens’ qu’on tue à cause de leur race, mais ne mentionne ni Hitler, ni l’Allemagne, ni les camps de la mort. Là encore, le terme ‘Juif’ n’est pas prononcé. (...) 1943: les Allemands commencent à procéder à des rafles de Juifs en Italie, y compris à Rome, près du Vatican. Le pape ne dit toujours rien.”
Friedrich Heer, catholique et professeur d’histoire à l’université de Vienne, reconnaît: “L’histoire allemande montre incontestablement que la Croix et le svastika [la croix gammée] se rapprochèrent toujours plus, jusqu’à ce que le svastika proclame le message de la victoire du haut des tours des cathédrales allemandes, que des drapeaux à croix gammée apparaissent autour des autels et que des théologiens catholiques et protestants, des pasteurs, des ecclésiastiques et des hommes d’État accueillent favorablement l’alliance avec Hitler.”
À propos du soutien total du clergé aux guerres hitlériennes, le professeur catholique Gordon Zahn a écrit: “Le catholique allemand qui se tournait vers ses supérieurs religieux pour trouver une direction spirituelle et l’attitude à adopter vis-à-vis de la participation aux guerres de Hitler recevait pratiquement la même réponse que s’il avait interrogé le chef nazi en personne.”
Dans son livre Histoire du christianisme (angl.), Paul Johnson décrit l’attitude qu’adoptèrent la plupart des ecclésiastiques: “En général, les deux Églises [catholique et protestante] apportèrent leur soutien massif au régime. (...) Sur 17 000 pasteurs évangéliques, jamais plus d’une cinquantaine à la fois ne purgèrent de longues peines [pour avoir refusé de soutenir le régime nazi].
Chez les catholiques, un évêque fut banni de son diocèse, et un autre fut condamné à une courte incarcération pour avoir propagé des idées dissidentes.” À propos de ceux qui restèrent attachés à leurs principes, Paul Johnson écrit: “Les plus courageux furent les Témoins de Jéhovah qui, dès le début, opposèrent ouvertement leurs doctrines au régime et souffrirent en conséquence. Ils refusèrent toute coopération avec l’État nazi.”
Comment peux t'on nier le sang versé par l'Eglise catholique directement ou indirectement ?
Les croisades en terre sainte, les massacres des albigeois, des protestants, les guerres de religion, l'implication totale dans la politique, les bénédictions des guerres de conquête de colonisation, l'inquisition.
Même dans l'histoire la plus moderne, le génocide du Rwanda a été perpétré par des catholiques et des protestants !
Les deux grands conflits mondiaux ont vu des catholiques s'entretuer avec la bénédiction des clergés nationaux, c'est ça la vérité historique !
Et nous pourrions faire un post entier sur l'histoire pas toujours glorieuse de la papauté !