Madame Salwa al-Mutairi, une femme politique koweïtienne, se prononce en faveur de l’esclavage sexuel. Salwa al-Mutairi déclare qu’une telle initiative permet d’empêcher les musulmans « décents, dévoués et virils » de succomber à la tentation de l’adultère. Elle justifie sa position en s’appuyant sur l’exemple historique d’Haroun al-Rashid, un chef musulman du VIIIe siècle qui possédait 2’000 concubines
Salwa al-Mutairi confirme que lorsqu’elle se rend à la Mecque, les leaders religieux musulmans saoudiens lui assurent que cette initiative n’est pas interdite dans la tradition islamique. Salwa al-Mutairi propose que des bureaux de vente d’esclaves sexuelles soient ouverts sur le modèle des agences de recrutement de femmes de ménage. Salwa al-Mutairi a une idée précise de l’origine des femmes devant servir à ce commerce sexuel : « Par exemple, il y a sûrement eu des prisonnières russes lors de la guerre de Tchétchénie », explique-t-elle.
Madame al-Mutairi applaudie lorsqu’elle propose l’esclavage sexuel
« Alors allons les acheter pour les importer », lance-t-elle. En clair, les esclaves sexuelles doivent être des non-musulmanes. Salwa al-Mutairi ajoute : l’esclavage sexuel, « c’est mieux que de voir nos hommes avoir des relations sexuelles interdites ». Salwa al-Mutairi met une condition au trafic de femmes : aucune de celles-ci ne doit être âgée de moins de quinze ans. Autrement dit, une chrétienne de 16 ans peut devenir l’esclave sexuelle d’un musulman. Madame Salwa al-Mutairi affirme que cela fait du bien à ces femmes car une telle situation (l’esclavage sexuel) les empêche de mourir de faim…
Salwa al-Mutairi confirme que lorsqu’elle se rend à la Mecque, les leaders religieux musulmans saoudiens lui assurent que cette initiative n’est pas interdite dans la tradition islamique. Salwa al-Mutairi propose que des bureaux de vente d’esclaves sexuelles soient ouverts sur le modèle des agences de recrutement de femmes de ménage. Salwa al-Mutairi a une idée précise de l’origine des femmes devant servir à ce commerce sexuel : « Par exemple, il y a sûrement eu des prisonnières russes lors de la guerre de Tchétchénie », explique-t-elle.
Madame al-Mutairi applaudie lorsqu’elle propose l’esclavage sexuel
« Alors allons les acheter pour les importer », lance-t-elle. En clair, les esclaves sexuelles doivent être des non-musulmanes. Salwa al-Mutairi ajoute : l’esclavage sexuel, « c’est mieux que de voir nos hommes avoir des relations sexuelles interdites ». Salwa al-Mutairi met une condition au trafic de femmes : aucune de celles-ci ne doit être âgée de moins de quinze ans. Autrement dit, une chrétienne de 16 ans peut devenir l’esclave sexuelle d’un musulman. Madame Salwa al-Mutairi affirme que cela fait du bien à ces femmes car une telle situation (l’esclavage sexuel) les empêche de mourir de faim…