Bonjour crédo,
Concernant la vénération relative, Lactance, un Père de l’Église du IVe siècle, les païens disaient: “Nous ne craignons pas les images elles-mêmes, mais les êtres à la ressemblance de qui elles ont été faites et au nom de qui elles sont dédiées.”
Faut-il en conclure que le commandement de Dieu concernant l’adoration des idoles ne s’appliquait pas dans leur cas? De fait, si la plupart des idolâtres raisonnent de cette façon,à qui ces commandements s’adressent-ils donc?
Crédo une question se pose : Dieu approuve-t-il l’usage des icônes, même s’il ne s’agit que de les vénérer indirectement ? La Bible n’autorise nulle part une telle pratique. Je me répète , quand les Israélites ont érigé l’image d’un veau — prétendument dans le but de vénérer leur Créateur — Jéhovah a exprimé sa vive réprobation, déclarant qu’ils avaient apostasié. Ex. 32:4-7.
L’interdiction d’Exode 20 :4,5 était une protection contre les dangers latents de changer l’image en idole. L’église est tombée dans le piège contre lequel Dieu voulait préserver ses adorateurs. A moins de changer radicalement de pratique l’église devra rendre des comptes au créateur.
Il est dangereux de se servir d’objets tangibles pour le culte. On peut facilement être tenté d’adorer l’objet plutôt que le Dieu qu’il est censé représenter. Autrement dit, l’icône devient une idole en soi.
C’est ce qui s’est produit avec un certain nombre d’objets à l’époque des Israélites. Par exemple, durant leurs pérégrinations dans le désert, Moïse avait forgé un serpent de cuivre. À l’origine, ce serpent placé en haut d’une perche était un moyen de guérison. Ceux qui, en punition, étaient mordus par un serpent pouvaient regarder le serpent de cuivre et recevoir l’aide de Dieu. Mais, apparemment, une fois installé en Terre promise, le peuple a fait de ce symbole une idole, comme si le serpent de cuivre lui-même avait le pouvoir de guérir. Il brûlait de l’encens en son honneur et est allé jusqu’à lui donner un nom : Nehoushtân. — Nombres 21:8, 9 ; 2 Rois 18:4.
Tu dis que les icônes sont de simples supports d’une forme de vénération relative. Ce point de vue est très discutable. Pourquoi ? Réfléchi Crédo : n’est-il pas vrai que l’on juge certaines icônes de Marie et de “ saints ” plus influentes et dignes d’une plus grande dévotion que d’autres images représentant pourtant le même personnage décédé depuis longtemps ?
Prends l’exemple de cette icône de Marie, à Tinos (Grèce), et de ses adeptes orthodoxes, face à cette autre icône à Soumela, dans le nord du même pays, dont les partisans sont tout aussi sincères. Ces deux groupes de personnes croient que leur icône est supérieure à l’autre, qu’elle accomplit de plus grands miracles, même si toutes deux représentent le même personnage défunt. Ainsi donc, dans la pratique, les gens attribuent des pouvoirs réels à certaines icônes qu’ils adorent.
Concernant la vénération ou la médiation des “ saints ” et de Marie, la Bible est claire.
En réaction à une tentation de Satan, Jésus a mentionné Deutéronome 6:13, en disant : “ C’est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. ” (Matthieu 4:10). Plus tard, il a déclaré que les véritables adorateurs adoreraient “ le Père ”, et personne d’autre (Jean 4:23). Conscient de cela, un ange a réprimandé l’apôtre Jean pour avoir voulu l’adorer. “ Non, attention [...] ; c’est Dieu qu’il faut adorer ”, lui a-t-il dit. Apo. 22:9.
Convient-il de prier Marie, la mère humaine de Jésus, ou des “ saints ” en particulier, pour leur demander d’intercéder auprès de Dieu ? La Bible répond franchement : “ Unique [est] le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus. ” — 1 Timothée 2:5.
Bon dimanche-Edmond77
Concernant la vénération relative, Lactance, un Père de l’Église du IVe siècle, les païens disaient: “Nous ne craignons pas les images elles-mêmes, mais les êtres à la ressemblance de qui elles ont été faites et au nom de qui elles sont dédiées.”
Faut-il en conclure que le commandement de Dieu concernant l’adoration des idoles ne s’appliquait pas dans leur cas? De fait, si la plupart des idolâtres raisonnent de cette façon,à qui ces commandements s’adressent-ils donc?
Crédo une question se pose : Dieu approuve-t-il l’usage des icônes, même s’il ne s’agit que de les vénérer indirectement ? La Bible n’autorise nulle part une telle pratique. Je me répète , quand les Israélites ont érigé l’image d’un veau — prétendument dans le but de vénérer leur Créateur — Jéhovah a exprimé sa vive réprobation, déclarant qu’ils avaient apostasié. Ex. 32:4-7.
L’interdiction d’Exode 20 :4,5 était une protection contre les dangers latents de changer l’image en idole. L’église est tombée dans le piège contre lequel Dieu voulait préserver ses adorateurs. A moins de changer radicalement de pratique l’église devra rendre des comptes au créateur.
Il est dangereux de se servir d’objets tangibles pour le culte. On peut facilement être tenté d’adorer l’objet plutôt que le Dieu qu’il est censé représenter. Autrement dit, l’icône devient une idole en soi.
C’est ce qui s’est produit avec un certain nombre d’objets à l’époque des Israélites. Par exemple, durant leurs pérégrinations dans le désert, Moïse avait forgé un serpent de cuivre. À l’origine, ce serpent placé en haut d’une perche était un moyen de guérison. Ceux qui, en punition, étaient mordus par un serpent pouvaient regarder le serpent de cuivre et recevoir l’aide de Dieu. Mais, apparemment, une fois installé en Terre promise, le peuple a fait de ce symbole une idole, comme si le serpent de cuivre lui-même avait le pouvoir de guérir. Il brûlait de l’encens en son honneur et est allé jusqu’à lui donner un nom : Nehoushtân. — Nombres 21:8, 9 ; 2 Rois 18:4.
Tu dis que les icônes sont de simples supports d’une forme de vénération relative. Ce point de vue est très discutable. Pourquoi ? Réfléchi Crédo : n’est-il pas vrai que l’on juge certaines icônes de Marie et de “ saints ” plus influentes et dignes d’une plus grande dévotion que d’autres images représentant pourtant le même personnage décédé depuis longtemps ?
Prends l’exemple de cette icône de Marie, à Tinos (Grèce), et de ses adeptes orthodoxes, face à cette autre icône à Soumela, dans le nord du même pays, dont les partisans sont tout aussi sincères. Ces deux groupes de personnes croient que leur icône est supérieure à l’autre, qu’elle accomplit de plus grands miracles, même si toutes deux représentent le même personnage défunt. Ainsi donc, dans la pratique, les gens attribuent des pouvoirs réels à certaines icônes qu’ils adorent.
Concernant la vénération ou la médiation des “ saints ” et de Marie, la Bible est claire.
En réaction à une tentation de Satan, Jésus a mentionné Deutéronome 6:13, en disant : “ C’est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte. ” (Matthieu 4:10). Plus tard, il a déclaré que les véritables adorateurs adoreraient “ le Père ”, et personne d’autre (Jean 4:23). Conscient de cela, un ange a réprimandé l’apôtre Jean pour avoir voulu l’adorer. “ Non, attention [...] ; c’est Dieu qu’il faut adorer ”, lui a-t-il dit. Apo. 22:9.
Convient-il de prier Marie, la mère humaine de Jésus, ou des “ saints ” en particulier, pour leur demander d’intercéder auprès de Dieu ? La Bible répond franchement : “ Unique [est] le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus. ” — 1 Timothée 2:5.
Bon dimanche-Edmond77