Le rôle de Jack Lang, Hubert Védrine, Jean-Louis Bianco, Jacques Attali, dirigeant et conseillers sous le gouvernement de Mitterrand a été très déterminant dans l’arrêt du processus électoral en janvier 1992 qui a reçu le feu vert de François Mitterrand.
Ces hommes sont les bons conseillers du pouvoir de l’ombre en Algérie, autour de Larbi Belkheir, Khaled Nezzar, Mohammed Lamari, Mohammed Touati et le restant des anciens éléments de l'armée française, devenus généraux et "maîtres" de l'Algérie depuis 1992
Jack Lang, Hubert Védrine, Jean-Louis Bianco, Jacques Attali sont donc, à des degrés divers, les architectes de l’œuvre de cet homme : la destruction de l’Algérie et le renvoi de son peuple dans les affres d’une colonisation pire que la colonisation, et qui n’ose pas dire ce qu’elle est…
Belkheir a sous-traité cette affaire pour le compte de l'Élysée sous l'œil vigilant de son maître Jacques Attali. Les services français à l'époque ne pouvaient pas se permettre d'abandonner l'Algérie aux Américains
Belkheir est fier aussi d'affirmer qu'il assume pleinement son engagement pour le coup d'Etat de janvier 1992 pour "épargner à l'Algérie le sort de l'Afghanistan" !
La vérité est que la répression aveugle qu'il a instauré contre le peuple algérien avec ses généraux éradicateurs entre 1992 et 2002 a eu des conséquences dramatiques sur tous les plans.
www.algeria-watch.org/farticle/1954-62/mitterand.htm lequotidienalgerie.org/2012/.../il-y-a-20-ans-les-camps-de-la-honte
www.djazairess.com/.../Constitution++la+voie+pérenne+REFORMES+ET+ GOUVERNANCE
www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-16162.html