moslima a écrit:et après?
ça ne va convaincre personne tu doit d'abord prouver que ce qui est dans la bible c'est la parole de dieu avant de l'utilisé comme argument
tu va chez un athée, par exemple, tu lui dis voilà, tu doit devenir un chrétien parce que dieu a dit et jésus a dit ....
il va te répondre: non je te crois pas, prouve moi que dieu existe, puis prouve moi qu'il a dit ça, puis dis moi si je te croirais pas après tout, est ce que dieu va me pardonner ou non?
(Un nouveau message sera posté sur les découvertes archéologiques concordant avec les événements de la bible)
Authenticité de la bible. La véracité de la Bible a été contestée de nombreux côtés, mais aucune attaque n’a jamais affaibli sa position.
Histoire biblique. Sir Isaac Newton a dit un jour : “ Je trouve davantage de signes d’authenticité dans la Bible que dans aucune autre histoire profane. ” (Two Apologies, par R. Watson, Londres, 1820, p. 57). Sa véracité est attestée, quel que soit le domaine dans lequel on la met à l’épreuve. Son exposé de l’Histoire est exact et digne de foi. Par exemple, ce qu’elle déclare au sujet de la chute de Babylone qui tomba entre les mains des Mèdes et des Perses ne peut être contesté (Jr 51:11, 12, 28 ; Dn 5:28), ni ce qu’elle dit à propos de personnages comme le Babylonien Neboukadnetsar (Jr 27:20 ; Dn 1:1), le roi égyptien Shishaq (1R 14:25 ; 2Ch 12:2), les Assyriens Tiglath-Piléser III et Sennakérib (2R 15:29 ; 16:7 ; 18:13), les empereurs romains Auguste, Tibère et Claude (Lc 2:1 ; 3:1 ; Ac 18:2), des Romains tels que Pilate, Félix et Festus (Ac 4:27 ; 23:26 ; 24:27), ni ce qu’elle affirme concernant le temple d’Artémis à Éphèse et l’Aréopage d’Athènes (Ac 19:35 ; 17:19-34). Ce que la Bible dit sur ces lieux, ces personnages, ces événements-là, ou d’autres, est historiquement exact dans les moindres détails.
Races et langues. Ce que la Bible déclare à propos des races et des langues de l’humanité est également vrai. Tous les humains, quelles que soient leur taille, leur culture, leur couleur ou leur langue, font partie de la même famille humaine. La division de la famille humaine en trois races : japhétique, chamitique et sémite, toutes trois issues d’Adam par Noé, ne peut être remise en question (Gn 9:18, 19 ; Ac 17:26). Sir Henry Rawlinson déclare : “ Si nous devions nous laisser guider par la simple intersection des sentiers linguistiques, et indépendamment de toute référence au texte des Écritures, nous serions encore obligés de choisir les plaines de Shinéar comme centre à partir duquel les différents sentiers ont rayonné. ” — The Historical Evidences of the Truth of the Scripture Records, par G. Rawlinson, 1862, p. 287 ; Gn 11:2-9.
Valeur pratique. Les enseignements, les exemples et les doctrines de la Bible ont une très grande valeur pratique pour l’homme d’aujourd’hui. Les principes justes et les normes morales élevées qu’elle contient la placent bien au-dessus de tous les autres livres. Non seulement la Bible répond aux questions importantes, mais elle fournit également de nombreux conseils pratiques qui, si les habitants de la terre les suivaient, favoriseraient grandement leur santé physique et mentale. La Bible énonce des principes qui établissent ce qui est bien et mal, et qui servent d’étalon pour garantir l’équité dans les relations d’affaires (Mt 7:12 ; Lv 19:35, 36 ; Pr 20:10 ; 22:22, 23), l’ardeur au travail (Ép 4:28 ; Col 3:23 ; 1Th 4:11, 12 ; 2Th 3:10-12), la pureté morale dans la conduite (Ga 5:19-23 ; 1Th 4:3-8 ; Ex 20:14-17 ; Lv 20:10-16), des compagnies constructives (1Co 15:33 ; Hé 10:24, 25 ; Pr 5:3-11 ; 13:20), de bonnes relations familiales (Ép 5:21-33 ; 6:1-4 ; Col 3:18-21 ; Dt 6:4-9 ; Pr 13:24). William Phelps, éducateur connu, a dit un jour : “ Je crois que la connaissance de la Bible sans études supérieures a bien plus de valeur que des études supérieures sans Bible. ” (The New Dictionary of Thoughts, p. 46). À propos de la Bible, John Quincy Adams a écrit : “ C’est, de tous les livres du monde, celui qui contribue le plus à rendre les hommes bons, sages et heureux. ” — Letters of John Quincy Adams to His Son, 1849, p. 9.
Exactitude scientifique. Pour ce qui est de l’exactitude scientifique, la Bible est sans faille.
À l’époque où l’on rédigeait la Bible, les hommes émettaient beaucoup de conjectures sur la façon dont la terre était soutenue dans l’espace. Par exemple, certains croyaient qu’elle reposait sur quatre éléphants qui se tenaient eux-mêmes sur une énorme tortue de mer. Loin de se faire l’écho des idées extravagantes et peu scientifiques de ce temps-là, la Bible dit tout simplement: “[Dieu] étend le nord sur le lieu vide, suspendant la terre sur le néant.” (Job 26:7). Il y a donc plus de 3 000 ans, la Bible disait fort justement que la terre ne reposait sur rien de matériel, ce qui est tout à fait conforme à la connaissance la plus récente des lois de la pesanteur et du mouvement. “Comment Job savait-il cela? fit remarquer un bibliste. Celui qui nie l’inspiration des Saintes Écritures aura bien du mal à répondre3.”
Concernant la forme de la terre, l’Encyclopédie américaine déclare: “Selon l’image la plus ancienne que s’en faisaient les hommes, la terre était un disque rigide et plat situé au centre de l’univers. (...) L’idée d’une terre de forme sphérique ne fut largement acceptée qu’à partir de la Renaissance4.” Certains d’entre les premiers navigateurs craignaient même de s’aventurer à proximité des bords du disque terrestre! Mais grâce à l’introduction de la boussole et à d’autres progrès, il fut bientôt possible d’entreprendre de plus longs voyages sur l’océan. Ces “voyages de la découverte, explique une autre encyclopédie, apportèrent la preuve que le monde est sphérique, et non pas plat comme l’avaient cru la plupart des gens5”.
Cependant, longtemps avant que les hommes n’entreprennent de tels voyages, il y a quelque 2 700 ans, la Bible disait déjà: “Il y a Quelqu’un qui habite au-dessus du cercle de la terre, dont les habitants sont comme des sauterelles.” (Ésaïe 40:22). Le mot hébreu ḥough, traduit ici par “cercle”, peut également signifier “sphère”, comme l’indiquent certains ouvrages de référence (par exemple l’Analytical Hebrew and Chaldee Lexicon de Davidson). Ainsi, d’autres traductions portent “le globe de la terre” (Douay Version) ou “la terre ronde”. (Moffatt.) La Bible n’a donc pas été influencée par l’idée qui prévalait à l’époque de sa rédaction et selon laquelle la terre était plate. Elle est exacte.
Les humains ont observé depuis longtemps que les fleuves se déversent dans les mers et les océans sans que la profondeur de ceux-ci ne varie. Avant que l’on découvre la rotondité de la terre, certains croyaient que la même quantité d’eau se déversait aux extrémités de la terre. On a appris plus tard que le soleil “pompe” chaque seconde dans les mers des milliards de litres d’eau sous forme de vapeur. Les nuages formés par cette vapeur d’eau sont entraînés par les vents au-dessus des continents où elle retombe en pluie ou en neige. Cette eau alimente les rivières et les fleuves qui se déverseront de nouveau dans la mer. Ce cycle extraordinaire, dont les anciens en général ignoraient tout, est décrit dans la Bible en ces termes: “Toute rivière se déverse dans la mer, mais la mer n’est pas encore pleine. L’eau retourne là où les rivières commencent, et elle recommence encore et encore.” — Ecclésiaste 1:7, Today’s English Version.
Concernant l’origine de l’univers, la Bible dit: “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre.” (Genèse 1:1). Cependant, bon nombre de scientifiques jugeaient cette déclaration contraire à la science parce que, selon eux, l’univers n’a pas eu de commencement. Mais, attirant l’attention sur des renseignements plus récents, l’astronome Robert Jastrow explique: “Le fait essentiel qui ressort de ces développements étonnants, c’est que, dans un sens, l’univers a eu un commencement — il a commencé à un certain moment dans le temps.” Là, Jastrow fait référence à une thèse généralement acceptée, la théorie du Big Bang ou explosion initiale, dont nous avons parlé au chapitre 9. Il ajoute: “Nous voyons comment les témoignages de l’astronomie nous conduisent à une conception biblique de l’origine du monde. Les détails donnés par l’astronomie et le récit biblique de la Genèse sont différents, mais les éléments fondamentaux sont identiques6.”
Quelle réaction ce genre de découverte a-t-il suscitée? Selon Jastrow, “elle émeut étrangement les astronomes dont les réactions fournissent d’ordinaire une démonstration intéressante du comportement de l’esprit scientifique — tenu pour très objectif — devant des faits établis se trouvant en conflit avec les articles de foi propres à notre profession. Il s’avère que les scientifiques réagissent comme les autres, comme nous tous lorsque nos croyances sont en opposition avec les faits. Nous nous irritons, nous prétendons qu’il n’y a pas de conflit ou bien nous le dissimulons par des phrases sans signification7”. Il n’en demeure pas moins que si “des faits établis” contredisent ce à quoi les scientifiques ont longtemps cru à propos de l’origine de l’univers, en revanche ils confirment ce qui a été écrit dans la Bible il y a plusieurs millénaires.
Selon la Bible, aux jours de Noé un déluge universel recouvrit les plus hautes montagnes de la terre et détruisit tous les humains qui ne se trouvaient pas dans l’immense arche construite par Noé (Genèse 7:1-24). Beaucoup de gens se sont moqués de ce récit. Pourtant, on trouve des coquillages sur les hautes montagnes. Qu’un déluge aux proportions immenses a bel et bien eu lieu dans un passé pas très lointain, c’est ce que prouve la découverte d’une très grande quantité de fossiles et d’ossements dans des amas de boue glacée. Le Saturday Evening Post écrivit: “Nombre de ces animaux ont été découverts parfaitement frais, intacts et sans blessures, soit debout, soit agenouillés. (...) Eu égard à nos conceptions antérieures, c’est là un tableau stupéfiant. Nous nous trouvons en présence d’immenses troupeaux de bêtes énormes et bien nourries, inadaptées aux climats froids, qui mangeaient paisiblement dans des pâturages ensoleillés (...). Soudain, elles ont toutes péri, sans aucun signe visible de violence et avant même qu’elles aient eu le temps d’avaler leur dernière bouchée de nourriture. Puis elles ont été congelées si rapidement que chaque cellule de leur corps est parfaitement conservée8.”
Cela correspond tout à fait à ce qui s’est passé lors du déluge universel. La Bible le décrit en ces termes: “Ce jour-là se fendirent toutes les sources des eaux de l’immense abîme et les écluses des cieux s’ouvrirent.” Les eaux torrentielles “submergèrent la terre”, et des vents glacials balayèrent sans doute les régions polaires (Genèse 1:6-8; 7:11, 19). C’est là que le changement de température fut le plus rapide et le plus considérable. Diverses formes de vie furent donc englouties et conservées dans de la boue glacée. Ce fut peut-être le cas du mammouth représenté ici et qui a été mis au jour en Sibérie. Il y avait encore de la verdure dans sa bouche et dans son estomac, et une fois décongelée sa chair était même comestible.
Plus on examine la Bible, plus on est étonné par son exactitude extraordinaire. Comme le font remarquer les pages 36 et 37 de ce livre, la Bible énumère les différentes étapes de la création dans un ordre qui est aujourd’hui confirmé par la science. Voilà qui s’expliquerait très difficilement si la Bible n’était qu’un simple livre d’origine humaine. C’est un exemple de plus des nombreux renseignements précis fournis par la Bible qui ont été confirmés grâce à une meilleure connaissance. Ce n’est donc pas sans raison qu’un des plus grands savants de tous les temps, Isaac Newton, déclara: “Aucune science n’est mieux démontrée que la religion de la Bible.”
Cultures et coutumes. Sur les détails relatifs aux cultures et aux coutumes, à aucun égard la Bible ne peut être prise en défaut. Dans le domaine de la politique, la Bible désigne toujours un dirigeant par le titre exact qu’il portait au moment de la rédaction. Par exemple, Hérode Antipas et Lysanias sont appelés chefs de district (tétrarques), Hérode Agrippa (II) roi et Gallion proconsul (Lc 3:1 ; Ac 25:13 ; 18:12). Les défilés triomphaux des armées victorieuses avec leurs prisonniers étaient courants à l’époque romaine (2Co 2:14). L’hospitalité manifestée aux étrangers, le mode de vie oriental, la façon d’acheter des biens fonciers, les procédures légales pour passer des contrats et la pratique de la circoncision chez les Hébreux et d’autres peuples sont mentionnés dans la Bible, et dans tous ces détails elle est exacte. — Gn 18:1-8 ; 23:7-18 ; 17:10-14 ; Jr 9:25, 26.
Franchise. Les rédacteurs de la Bible firent preuve d’une franchise qu’on ne trouve pas chez les autres auteurs de l’Antiquité. Dès le départ, Moïse rapporta honnêtement ses propres péchés ainsi que les péchés et les fautes de son peuple, et les autres rédacteurs hébreux l’imitèrent (Ex 14:11, 12 ; 32:1-6 ; Nb 14:1-9 ; 20:9-12 ; 27:12-14 ; Dt 4:21). Les péchés commis par des grands comme David et Salomon ne furent pas cachés, mais rapportés (2S 11:2-27 ; 1R 11:1-13). Yona avoua sa désobéissance (Yon 1:1-3 ; 4:1). Les autres prophètes firent montre de la même droiture, de la même franchise. Les rédacteurs des Écritures grecques chrétiennes veillèrent avec autant de scrupules que ceux des Écritures hébraïques à l’exactitude de ce qu’ils rapportaient. Paul parle de son ancien mode de vie marqué par le péché ; il est dit que Marc ne resta pas attaché à l’œuvre missionnaire ; les fautes de l’apôtre Pierre sont également relatées (Ac 22:19, 20 ; 15:37-39 ; Ga 2:11-14). La franchise de ces comptes rendus donne confiance en l’honnêteté et en la véracité que la Bible revendique.
Intégrité. Les faits attestent l’intégrité de la Bible. Son récit est indissociable de l’Histoire. Elle donne un enseignement franc et véridique dans une grande simplicité. La sincérité et la fidélité de ses rédacteurs, leur zèle ardent pour la vérité et leur application à donner des détails exacts correspondent à ce qu’on attend de la Parole véridique de Dieu. — Jn 17:17.
Prophéties. S’il est un domaine qui prouve à lui seul que la Bible est la Parole inspirée de Jéhovah, ce sont bien les prophéties. La Bible regorge de prophéties à long terme qui se sont accomplies. DE NOMBREUSES prophéties de la Bible se sont réalisées avec une précision telle que ses détracteurs prétendent qu’elles ont été écrites après coup. Ils se trompent. Dieu, qui est tout-puissant, est parfaitement en mesure d’énoncer des prophéties (Ésaïe 41:21-26; 42:8, 9; 46:8-10). L’accomplissement des prophéties bibliques n’est pas l’indice d’une rédaction tardive mais une preuve de leur origine divine. Considérons à présent quelques prophéties remarquables qui se sont réalisées; elles nous fourniront une preuve supplémentaire que la Bible est la Parole de Dieu, et pas simplement celle des hommes.
L’exil à Babylone
Ézéchias régna quelque 30 ans à Jérusalem. En 740 avant notre ère, il avait assisté à la chute d’Israël, son voisin septentrional, tombé sous les coups de l’Assyrie. En 732, il vit Dieu faire usage de son pouvoir protecteur en infligeant une cuisante défaite aux Assyriens qui tentaient de s’emparer de Jérusalem. — Ésaïe 37:33-38.
Pour l’heure, Ézéchias reçoit une délégation envoyée par Mérodach-Baladan, le roi de Babylone. Officiellement, les ambassadeurs viennent présenter leurs hommages à Ézéchias, qui se remet d’une grave maladie. Il est toutefois probable que Mérodach-Baladan songe à s’allier avec le roi de Juda contre la puissance mondiale assyrienne. Ézéchias ne fait rien pour l’en dissuader: Il fait voir à ses visiteurs babyloniens tous les trésors de sa maison et leur montre l’étendue de sa domination. Peut-être recherche-t-il lui aussi des alliés pour se garantir d’un éventuel retour des Assyriens. — Ésaïe 39:1, 2.
Ésaïe, le principal prophète de l’époque, comprend très vite l’imprudence d’Ézéchias. Il n’ignore pas que c’est Jéhovah, et non Babylone, le plus sûr appui du roi. Il lui révèle que l’exhibition de ses richesses devant les Babyloniens aura des conséquences tragiques. “Des jours viennent, dit Ésaïe, et tout ce qui est dans ta propre maison et qu’ont amassé tes ancêtres jusqu’à ce jour sera bel et bien transporté à Babylone.” Jéhovah a en effet décrété: “Il n’en restera rien.” — Ésaïe 39:5, 6.
En ce VIIIe siècle avant notre ère, la réalisation de cette prophétie pouvait sembler improbable. Pourtant, cent ans plus tard, le cours des événements se modifia. Babylone supplanta l’Assyrie au rang de puissance mondiale dominante, et la nation de Juda s’avilit tellement sur le plan religieux que Dieu lui retira sa bénédiction. Jérémie, un autre prophète, fut à son tour inspiré pour réitérer l’avertissement d’Ésaïe. Il proclama: “Je (...) ferai venir [les Babyloniens] contre ce pays, et contre ses habitants (...). Et tout ce pays devra devenir un lieu dévasté, un objet de stupéfaction, et ces nations devront servir le roi de Babylone soixante-dix ans.” — Jérémie 25:9, 11.
Environ quatre ans après que Jérémie eut énoncé cette prophétie, les Babyloniens annexèrent Juda à leur empire. Trois ans plus tard, ils conduisirent à Babylone quelques captifs d’entre les Juifs et emportèrent une partie des richesses du temple de Jérusalem. Huit ans passèrent, puis Juda se révolta et fut de nouveau envahi par l’armée de Nébucadnezzar, roi de Babylone. Cette fois, les Babyloniens détruisirent la ville et son temple. Toutes les richesses de Jérusalem, et les Juifs eux-mêmes, furent emmenés dans la lointaine Babylone, ce qui accomplissait à la lettre les prédictions d’Ésaïe et de Jérémie. — 2 Chroniques 36:6, 7, 12, 13, 17-21.
L’Encyclopédie archéologique de la terre sainte (angl.) signale qu’après l’assaut des Babyloniens “la ville [de Jérusalem] était complètement détruite1”. L’archéologue William Albright déclare: “Les fouilles et l’exploration en surface du pays de Juda ont prouvé que non seulement les villes de Juda furent entièrement détruites par les deux invasions chaldéennes, mais qu’elles ne furent plus habitées pendant des générations, — et bien souvent elles ne le furent plus jamais au cours de l’Histoire2.” Ainsi, l’archéologie confirme la réalisation stupéfiante de cette prophétie.
Le sort de Tyr
Parmi les écrivains de l’Antiquité qui mirent par écrit des prophéties inspirées par Dieu se trouve Ézéchiel, qui prophétisa de la fin du VIIe siècle avant notre ère jusqu’au VIe siècle, c’est-à-dire dans les années qui précédèrent la destruction de Jérusalem et les premières décennies de l’exil des Juifs à Babylone. Des critiques modernes font eux aussi remonter la rédaction du livre d’Ézéchiel à cette période.
Ézéchiel consigna une prophétie saisissante sur la destruction de Tyr, une ville qui avait autrefois entretenu des relations d’amitié avec son voisin méridional, Israël, mais dont elle était ensuite devenue l’ennemie (1 Rois 5:1-9; Psaume 83:2-8). Il écrivit: “Voici ce qu’a dit le Souverain Seigneur Jéhovah: ‘Me voici contre toi, ô Tyr, et je ferai monter contre toi beaucoup de nations, comme la mer fait monter ses vagues. Et, à coup sûr, elles saccageront les murs de Tyr et démoliront ses tours, et j’en raclerai sa poussière et j’en ferai une surface de rocher luisante et nue. (...) Et tes pierres, et tes charpentes, et ta poussière, ils les mettront au milieu de l’eau.’” — Ézéchiel 26:3, 4, 12.
Cette prophétie s’est-elle vraiment réalisée? Quelques années après qu’Ézéchiel l’eut énoncée, Nébucadnezzar, le roi de Babylone, assiégea Tyr (Ézéchiel 29:17, 18). Ce ne fut pas chose aisée, car Tyr était composée d’une partie continentale (appelée Tyr ancienne) et d’une partie insulaire (à environ 800 mètres des côtes). Nébucadnezzar n’obtint la capitulation de l’île qu’au terme d’un siège de 13 ans.
Il fallut toutefois attendre 332 avant notre ère pour que la prophétie d’Ézéchiel s’accomplisse dans les moindres détails. À cette époque, Alexandre le Grand, le conquérant macédonien, envahissait l’Asie. En sécurité sur son île, Tyr lui tenait tête. Alexandre ne voulait pas laisser un ennemi potentiel sur ses arrières, mais n’entendait pas non plus assiéger Tyr des années durant, comme l’avait fait Nébucadnezzar.
Comment allait-il résoudre cette difficulté stratégique? Il construisit une chaussée, ou jetée, en direction de l’île, pour permettre à ses soldats d’atteindre et d’attaquer la ville insulaire. Quels matériaux utilisa-t-il? L’Encyclopédie américaine l’explique: “Avec les décombres de la partie continentale de la ville, qu’il avait démolie, en 332 il construisit une énorme jetée pour relier l’île au continent.” À l’issue d’un siège relativement bref, la ville insulaire fut détruite. La prophétie d’Ézéchiel s’accomplissait jusqu’au plus petit détail, car même ‘les pierres, et les charpentes, et la poussière’ de la Tyr ancienne avaient été ‘mises au milieu de l’eau’.
Au XIXe siècle, un voyageur décrivit ce qu’il restait de la Tyr antique à son époque: “À l’exception des tombeaux creusés dans le roc, à flanc de montagne, et des murs de fondement, il ne subsiste plus aucun vestige de la ville de Tyr originelle que connaissaient Salomon et les prophètes d’Israël. (...) Même l’île, dont Alexandre le Grand avait fait un cap lors du siège de la ville en remblayant le chenal qui la séparait du continent, ne présente aucun vestige identifiable antérieur aux Croisades. Quant à la ville moderne, qui est dans sa totalité relativement récente, elle occupe la moitié nord de l’ancienne île, tandis que la surface restante est presque entièrement recouverte de décombres informes3.”
Au tour de Babylone
Au VIIIe siècle avant notre ère, le prophète Ésaïe, qui avait annoncé aux Juifs leur futur assujettissement à Babylone, prononça une autre prophétie stupéfiante: la destruction totale de Babylone! Il donna cette description saisissante: “Voici que je suscite contre eux les Mèdes (...). Et Babylone, la parure des royaumes, la beauté de l’orgueil des Chaldéens, devra devenir comme lorsque Dieu renversa Sodome et Gomorrhe. Elle ne sera jamais habitée, et elle ne résidera point de génération en génération.” — Ésaïe 13:17-20.
Le prophète Jérémie prédit lui aussi la chute de Babylone, qui n’aurait lieu que dans un avenir lointain, tout en apportant cette précision intéressante: “Il y a une dévastation sur ses eaux, et elles devront être desséchées. (...) Les hommes forts de Babylone ont cessé de combattre. Ils sont restés assis dans les lieux forts. Leur force a tari.” — Jérémie 50:38; 51:30.
En 539 avant notre ère, Babylone perdit le rang de Première Puissance mondiale lorsque Cyrus, le puissant roi de Perse, marcha sur la ville, appuyé par l’armée de Médie. Cyrus se heurta pourtant à un obstacle énorme: Babylone était entourée de gigantesques murailles et paraissait inexpugnable. En outre, la ville était traversée par le grand fleuve Euphrate, qui jouait un rôle important dans son appareil défensif.
L’historien grec Hérodote explique comment Cyrus résolut ces difficultés: “Il plaça le gros de ses troupes du côté de l’entrée du fleuve, au point où il pénètre en ville, plaça d’autres hommes en aval de l’autre côté de la ville, au point où il en sort, et commanda aux soldats, quand ils verraient le lit devenu guéable, de s’introduire dans la ville par ce chemin. (...) au moyen d’un canal il dirigea le fleuve dans l’étang qui était en état de marécage [un lac artificiel creusé précédemment par un dirigeant babylonien], et ainsi, les eaux ayant baissé, il rendit guéable l’ancien lit. Quand ce résultat fut obtenu, les Perses qui avaient été postés à cette fin suivirent le lit de l’Euphrate, où l’eau, ayant baissé, ne leur venait plus guère qu’au milieu de la cuisse, et par ce chemin entrèrent dans Babylone4.”
Ainsi tomba Babylone, conformément à ce que Jérémie et Ésaïe avaient annoncé. Mais examinons de plus près la réalisation de la prophétie. Il se produisit, au sens littéral, ‘une dévastation sur les eaux de Babylone, qui furent desséchées’. C’est la baisse des eaux de l’Euphrate qui permit à Cyrus d’accéder à la ville. ‘Les hommes forts de Babylone cessèrent-ils de combattre’, comme l’avait dit Jérémie? La Bible, ainsi que les historiens grecs Hérodote et Xénophon, rapportent qu’au moment de l’assaut perse les Babyloniens festoyaient5. Selon la chronique de Nabonide, une inscription cunéiforme officielle, les troupes de Cyrus entrèrent à Babylone “sans combat”, ce qui signifie probablement sans affrontement majeur6. Il semble que les hommes forts de Babylone n’aient pas mis beaucoup d’ardeur à défendre leur ville.
Que dire de la prédiction selon laquelle Babylone ne ‘serait jamais plus habitée’? Elle s’accomplit à la lettre, quoique pas immédiatement en 539. Après sa chute, Babylone devint le théâtre de nombreuses rébellions, jusqu’en 478, date où elle fut détruite par Xerxès. À la fin du IVe siècle, Alexandre le Grand envisagea de la rebâtir, mais il mourut avant que les travaux n’aient bien avancé. Dès lors, la ville sombra peu à peu dans l’oubli. Au Ier siècle de notre ère, elle comptait encore quelques habitants, mais aujourd’hui l’ancienne Babylone n’est plus qu’un tas de décombres en Iraq. Même si on restaurait partiellement ses ruines, Babylone ne serait qu’un objet de curiosité touristique, pas une cité pleine de vie. Le site désolé de cette ville antique témoigne de la complète réalisation des prophéties que Dieu inspira à son encontre.
La succession des puissances mondiales
Pendant que les Juifs se trouvaient en exil à Babylone au VIe siècle avant notre ère, Daniel, un autre prophète, consigna sous l’inspiration divine des visions remarquables qui annonçaient les événements mondiaux à venir. Dans l’une d’elles, il décrivit plusieurs animaux symboliques se succédant sur la scène terrestre. Un ange expliqua à Daniel que ces animaux préfiguraient la succession des puissances mondiales à compter d’alors, et lui déclara ce qui suit au sujet des deux dernières bêtes: “Le bélier que tu as vu et qui possédait les deux cornes représente les rois de Médie et de Perse. Et le bouc velu représente le roi de Grèce; et quant à la grande corne qui était entre ses yeux, elle représente le premier roi. Et comme celle-ci a été brisée, de sorte que quatre se sont finalement élevées à sa place, c’est que quatre royaumes de sa nation se lèveront, mais non pas avec sa puissance.” — Daniel 8:20-22.
Cette vision prophétique se réalisa mot pour mot. L’Empire babylonien fut renversé par les Mèdes et les Perses, qui, deux siècles plus tard, s’inclinèrent devant la Puissance mondiale grecque. L’Empire grec eut pour fer de lance Alexandre le Grand, “la grande corne”. À sa mort, cependant, ses généraux se disputèrent le pouvoir, si bien que son vaste empire éclata en quatre empires de moindre importance, “quatre royaumes”.
En Daniel chapitre 7, une vision assez semblable nous emmène dans un avenir lointain. Les puissances mondiales y sont figurées par des animaux: Babylone par un lion, la Perse par un ours et la Grèce par un léopard ayant quatre ailes sur son dos et quatre têtes. Daniel voit ensuite une quatrième bête sauvage, “terrible et effroyable, et extraordinairement forte (...), et elle avait dix cornes”. (Daniel 7:2-7.) Cette quatrième bête sauvage préfigurait le puissant Empire romain, qui commença à prendre forme trois siècles environ après que Daniel eut consigné sa prophétie.
À propos de Rome, l’ange prophétisa: “Quant à la quatrième bête, c’est un quatrième royaume qui se trouvera sur la terre, qui sera différent de tous les autres royaumes; et il dévorera toute la terre, et la piétinera, et l’écrasera.” (Daniel 7:23). Voici à ce sujet ce qu’on lit dans l’Abrégé de l’Histoire du monde de H. G. Wells: “La nouvelle puissance romaine qui devait régner sur le monde occidental au second et au premier siècle avant J.-C. était, sous plus d’un aspect, différente des grands empires qui avaient jusque-là dominé le monde civilisé7.” République au départ, elle devint monarchie. Contrairement aux empires qui l’avaient précédée, elle ne fut pas créée par un conquérant, mais connut une ascension irrésistible au fil des siècles. Elle dura bien plus longtemps et régna sur un territoire beaucoup plus étendu que celui de n’importe quel autre empire avant elle.
Mais que représentent les dix cornes de cette bête énorme? L’ange l’explique en ces termes: “Et quant aux dix cornes, ce sont dix rois qui se lèveront de ce royaume; et un autre encore se lèvera après eux, et il sera différent des premiers, et il humiliera trois rois.” (Daniel 7:24). Comment cela s’accomplit-il?
Lorsque l’Empire romain commença à décliner au Ve siècle, il ne fut pas immédiatement remplacé par une nouvelle puissance mondiale. Il se démembra plutôt en un certain nombre de royaumes, les “dix rois”. Avec le temps, l’Empire britannique triompha de ses trois empires rivaux, l’Espagne, la France et les Pays-Bas, et devint la principale puissance mondiale. C’est en ce sens qu’une nouvelle ‘corne’ humilia “trois rois”.
Les prophéties de Daniel — Écrites après coup?
La Bible place la rédaction du livre de Daniel au VIe siècle avant notre ère. Toutefois, l’accomplissement extrêmement précis des prophéties de Daniel incite des critiques à ramener sa rédaction vers 165 avant notre ère, à un moment où nombre de ses prophéties s’étaient déjà accomplies8. S’ils avancent cette date, c’est uniquement parce que les prophéties de Daniel se sont réalisées. Malgré cela, quantité d’ouvrages de référence la donnent pour certaine.
Cette théorie doit néanmoins s’analyser au regard des faits suivants: Tout d’abord, le livre de Daniel est mentionné dans des œuvres juives du IIe siècle avant notre ère, telles que le premier livre des Maccabées. Ensuite, il est inclus dans la version grecque des Septante, dont la traduction commença au IIIe siècle avant notre ère9. Troisièmement, des fragments du livre de Daniel, que l’on fait remonter à environ 100 avant notre ère, figurent parmi les pièces les plus abondantes qui composent les manuscrits de la mer Morte10. Il est donc clair que le livre de Daniel était déjà répandu et respecté très peu de temps après l’époque présumée de sa rédaction. C’est là une preuve convaincante qu’il fut achevé bien avant la date avancée par les critiques.
De surcroît, le livre de Daniel contient des détails historiques qu’un écrivain du IIe siècle ne pouvait connaître. L’exemple de Belschazzar, qui régnait à Babylone et fut tué lors de la prise de la ville en 539 avant notre ère, est des plus éloquents. En dehors de la Bible, nous connaissons la chute de Babylone grâce aux travaux d’Hérodote (Ve siècle), de Xénophon (Ve-IVe siècle) et de Bérose (IIIe siècle). Aucun d’eux n’avait entendu parler de Belschazzar11. Il est pour le moins improbable qu’un auteur du IIe siècle ait disposé d’informations auxquelles ces écrivains plus anciens n’auraient pas eu accès! Le récit concernant Belschazzar, en Daniel chapitre 5, atteste avec force que Daniel rédigea son livre longtemps avant que ces écrivains ne composent les leurs.
Enfin, de nombreuses prophéties de Daniel se sont accomplies bien après 165 avant notre ère. L’une d’elles concernait l’Empire romain, dont nous avons parlé plus haut. Une autre, remarquable, a trait à la venue de Jésus, le Messie.
La venue du Christ
Cette prophétie est consignée en Daniel, chapitre 9, où nous lisons: “Soixante-dix semaines [d’années, période de 490 ans] ont été décrétées sur ton peuple et sur ta ville sainte.” (Daniel 9:24, Fillion). Que devait-il se passer au cours de ces 490 années? Daniel poursuit: “Depuis l’ordre donné pour rebâtir Jérusalem, jusqu’au Christ chef, il y aura sept semaines [d’années] et soixante-deux semaines [d’années].” (Daniel 9:25, Fillion). Il s’agit par conséquent d’une prophétie annonçant la venue du “Christ”, ou Messie. Comment se réalisa-t-elle?
L’ordre de rebâtir Jérusalem fut “donné” dans “la vingtième année d’Artaxerxès, le roi” de Perse, soit en 455 avant notre ère (Néhémie 2:1-9). Au bout de 49 ans (7 semaines d’années), Jérusalem avait retrouvé une grande partie de son éclat. Si l’on compte maintenant la totalité des 483 ans (7 plus 62 semaines d’années) à partir de 455, on aboutit à l’an 29 de notre ère. Cette date correspond à “la quinzième année du règne de Tibère César”, année où Jésus fut baptisé par Jean le baptiseur (Luc 3:1). Jésus fut alors publiquement identifié au Fils de Dieu et entreprit son ministère consistant à prêcher la bonne nouvelle à la nation juive (Matthieu 3:13-17; 4:23). Il devint ainsi le “Christ” ou Messie.
La prophétie poursuit: “Et, après soixante-deux semaines [d’années], le Christ sera mis à mort.” Elle ajoute: “Il confirmera l’alliance avec un grand nombre pendant une semaine [d’années], et, au milieu de la semaine [de sept années], les victimes et le sacrifice cesseront.” (Daniel 9:26, 27, Fillion). Conformément à la prophétie, Jésus alla exclusivement vers le “grand nombre”, c’est-à-dire les Juifs selon la chair. Il prêcha aussi occasionnellement aux Samaritains, qui croyaient à une partie des Écritures, mais s’étaient séparés de la branche principale du judaïsme pour former leur propre secte. Puis, “au milieu de la semaine”, après avoir prêché trois ans et demi, Jésus offrit sa vie en sacrifice; il fut “mis à mort”, ce qui mit fin à la Loi de Moïse et à son système de sacrifices et d’offrandes (Galates 3:13, 24, 25). C’est ainsi que, par sa mort, Jésus fit cesser “les victimes et le sacrifice”.
Néanmoins, pendant trois ans et demi encore, la jeune congrégation chrétienne restreignit son témoignage aux Juifs, puis aux Samaritains, qui leur étaient apparentés. En l’an 36, à la fin des 70 semaines d’années, l’apôtre Pierre fut dirigé vers un Gentil nommé Corneille à qui il prêcha la bonne nouvelle (Actes 10:1-48). “L’alliance avec un grand nombre” n’était plus alors limitée aux Juifs. Le salut était aussi annoncé aux Gentils incirconcis.
Quand les Romains vinrent détruire Jérusalem en 70, Jéhovah ne protégea pas la nation juive, qui avait rejeté Jésus et tramé son exécution. S’accomplirent alors ces autres paroles de Daniel: “Un peuple, avec un chef qui doit venir, détruira la ville et le sanctuaire; et sa fin sera la ruine, et, après la fin de la guerre, viendra la désolation décrétée.” (Daniel 9:26b, Fillion). Ce second “chef” fut Titus, le général romain qui détruisit Jérusalem en 70.
Des prophéties inspirées par Dieu
La prophétie de Daniel relative aux 70 semaines s’est donc réalisée avec une précision remarquable. Quantité de prophéties des Écritures hébraïques se sont accomplies au Ier siècle, bon nombre sur la personne de Jésus. Son lieu de naissance, son zèle pour la maison de Dieu, sa prédication, sa trahison pour 30 pièces d’argent, la façon dont il mourut, le tirage au sort de ses vêtements, tous ces détails furent annoncés dans les Écritures hébraïques. Leur accomplissement prouve sans l’ombre d’un doute que Jésus était bien le Messie; elles attestent, une fois de plus, l’origine divine des prophéties. — Michée 5:2; Luc 2:1-7; Zacharie 11:12; 12:10; Matthieu 26:15; 27:35; Psaumes 22:18; 34:20; Jean 19:33-37.
Toutes les prophéties bibliques qui devaient s’accomplir jadis se sont réalisées. Les choses se sont passées exactement comme la Bible les avaient prédites. C’est là une preuve concluante que la Bible est la Parole de Dieu, car pareille exactitude ne peut avoir pour origine qu’une sagesse suprahumaine.
Il existe cependant des prédictions qui ne se sont pas réalisées dans le passé. Pourquoi donc? Parce qu’elles devaient s’accomplir à notre époque, et même plus tard encore. La fiabilité des prophéties que nous avons déjà examinées nous donne l’assurance que ces autres prédictions ne manqueront pas de devenir, elles aussi, des réalités. Et comme le montre le chapitre suivant, il en est bien ainsi.