par le Révérend J.B. Pranaitis
Ce que disent les juifs au sujet des Chrétiens
Chapitre 2
Au chapitre précédent, nous avons vu ce que les juifs pensent du Fondateur du Christianisme, et à quel point ils en méprisent jusqu’au nom même. Ceci étant, on ne peut s’attendre à ce qu’ils aient une meilleure opinion de ceux qui marchent dans les pas de Jésus de Nazareth. En réalité, rien d’assez abominable ne saurait être imaginé qui puisse correspondre aux horreurs qu’ils profèrent sur le compte des Chrétiens. Ils disent d’eux qu’ils sont des idolâtres, la pire engence qui soit, des bêtes à apparence humaine, qui ne méritent que d’être traités de bêtes, de vaches, d’ânes, de chiens, de pires que des chiens ; qu’ils se reproduisent comme des bêtes, qu’ils sont d’origine diabolique, que leurs âmes proviennent du diable et retournent dans le diable, en enfer, après leur mort, et même que le corps d’un Chrétien mort ne diffère en rien de la charogne d’un animal.
A / Des idolâtres
Etant donné que les Chrétiens suivent les enseignements de cet homme en qui les juifs voient un séducteur et un idolâtre, et étant donné, qui plus est, que les Chrétiens révèrent cet homme à l’égal de Dieu, il en découle à l’évidence qu’ils méritent pleinement le qualificatif d’idolâtres, ne différent en rien de ceux parmi lesquels les juifs vivaient avant la naissance du Christ, dont ils professaient qu’ils devaient être exterminés par tous les moyens possibles et imaginables.
La meilleure illustration de cette détestation est apportée par les noms dont ils affublent les Chrétiens, et par les propos très explicites de Maïmonide qui prouvent que (pour lui) tous ceux qui se disent chrétiens sont des idolâtres. Quiconque examine les traités juifs qui parlent des « adorateurs des étoiles et des planètes », des « épicuriens », des « samaritains », etc. ne pourra qu’en conclure que les idolâtres dont il est question ne sont autres que les Chrétiens. Les Turks [mieux traités] sont constamment appelés, quant à eux, « ismaëlites », et jamais « idolâtres ».
B / Les Chrétiens sont pires que les Turcs (= les musulmans)
Dans le Hilkoth Maakhaloth (ch. IX), Maimonide écrit :
« Il n’est pas licite de boire le vin d’un étranger qui devient un converti, c’est à dire, de quelqu’un qui accepte les sept préceptes de Noé, mais il est permis d’en obtenir quelque bénéfice. Il est permis de laisser du vin sans surveillance, en sa présence, mais non de placer du vin devant lui. La même chose est licite dans le cas de tous les Gentils qui ne soient pas des idôlatres, comme par exemple dans le cas des Turks (des Ismaëlites = des musulmans) [qui en principe, ne doivent pas boire de vin… mais bon…]. Un juif, par contre, ne doit pas boire leur vin, bien qu’il ait le droit de l’utiliser à son propre avantage. »
C / Les Chrétiens sont des assassins
Dans le Abhodah Zarah (22a), il est dit : « Un juif ne doit pas s’associer en quoi que ce soit à des Gentils, parce que ceux-ci sont enclins à verser le sang. »
De même, dans Iore Dea (153,2) : « Un Israélite ne doit pas s’associer avec les Akum (= les Chrétiens), parce qu’ils sont enclins à verser le sang. »
Dans le Abhodah Zarah (25b), il est dit :
« Les Rabbins ont enseigné (ce qui suit) : Si un Goy rencontre un Israélite sur son chemin, il (le juif) doit marcher à sa droite. Le Rabbin Ismaël, fils du Rabbin Jochanan, neveu de Beruka, dit : « S’il (le Goy) porte un glaive, que le juif passe à sa droite. Si le Goy porte un bâton, que le juif passe à sa gauche. Si le Goy gravit une côte ou descend une forte pente, le juif ne doit pas descendre devant lui, avec le Goy derrière lui, mais le juif doit être derrière et le Goy devant, et le juif doit bien se garder de se baisser devant le Goy de crainte que le Goy ne lui fracasse le crâne. Et au cas où le Goy demanderait au juif où il va (= s’il va loin), le juif devra prétendre qu’il va très loin, comme l’a dit notre Père Jacob à l’impie Esaü : (je vais très loin…) jusqu’à la rencontre de mon Seigneur à Seir (Genèse, XXXIII, 14-17), mais dans ce texte biblique, on ajoute immédiatement : en réalité, Jacob était en route pour Sukoth » (je suppose que c’était juste à côté…).
Dans le traité Orach Chaiim (20,2), il est dit :
« Ne vend pas ton pardessus (Talith) avec des franges à un Akum (un Chrétien), de peur qu’il ne s’approche (ainsi déguisé…) d’un juif qu’il risquerait de trouver sur sa route et qu’il ne l’occisse. Il est également interdit d’échanger ton châle (talith) avec un Gentil ou de le lui prêter, sauf, xceptionnellement, pour très peu de temps, et lorsqu’il n’y a rien à craindre de celui-ci. »
D / Les Chrétiens sont de grands fornicateurs (devant l’Eternel…)
Dans le Abhodah Zarah, il est dit (15b) :
« Les animaux mâles ne doivent pas être laissés dans les étables des Gentils avec leurs hommes, ni des animaux femelles avec leurs femmes ; et encore moins des animaux femelles avec leurs hommes et des animaux mâles avec leurs femmes. Il ne faut pas confier de moutons à la garde de leurs bergers, ni il ne doit y avoir aucun rapport (le terme anglais, ‘intercourse’, s’applique aux rapports sexuels, ndt) avec eux ; il ne faut pas non plus leur confier des enfants, ni pour apprendre à lire, ni pour apprendre un métier. » [J’espère que l’Education Nationale a été prévenue…]
Dans le même traité, un peu plus loin (22a), on explique pourquoi des animaux ne doivent pas être parqués dans les étables des Gentils, et pourquoi les juifs ne doivent pas avoir de relations sexuelles avec eux [les Gentils, bien sûr, qu’alliez-vous imaginer ?] :
« Il ne faut pas laisser nos animaux (le bétail) vadrouiller près des Goyim, parce qu’ils sont soupçonnés d’avoir des relations sexuelles avec eux (NB : cela n’a jamais engendré d’hybrides, pour des raisons biologiques, ndt). (Nos) femmes ne doivent pas cohabiter avec eux, parce qu’ils sont totalement priapiques. »
Dans le folio 22b toujours, du même traité, la raison pour laquelle les animaux, en particulier femelles, doivent être tenus à l’écart des femmes des Gentils est explicitée [attention : suivez bien, c’est subtil…] : « … c’est parce que des hommes Gentils vont chez leurs voisins pour commettre l’adultère avec les femmes de ceux-ci et que s’ils ne trouvent pas ces femmes chez elles, ils vont forniquer avec les brebis, dans l’écurie juste à côté, en lieu et place (faute de mieux ? Faute de grives… merles… ?) Et parfois, même lorsque les femmes de leurs voisins sont chez elles, ils préfèrent quand même aller forniquer avec les animaux. En effet, ils préfèrent (sexuellement, il ne s’agit pas ici de côtelettes, ndt) les brebis des Israélites aux femmes de leur propre engence ». [Rien n’est dit, dans ces citations, des femmes israélites. Why, my God ? (…) ?]
C’est pour cette même raison que des animaux (des juifs) ne doivent pas être confiés à des bergers Goys, ni des enfants (juifs) à des éducateurs Goys.
E / Les Chrétiens sont impurs
Le Talmud expose deux raisons pour lesquelles les Goyim sont impurs : c’est tout d’abord parce qu’ils mangent (ces gros dégoûtants…) des choses impures, et ensuite parce qu’eux-mêmes n’ont pas été purifiés (du péché originel) sur le Mont Sinaï (ce n’est tout de même pas de leur faute s’ils n’avaient pas été invités au grand show biblique du Mont Sinaï, puisqu’ils n’existaient pas encore ! Mais enfin, bon, passons…). Dans Schabbath, (145b), il est écrit :
« Pourquoi les Goyim sont-ils impurs ? [Notez que la question implique qu’ils le sont, sans discussion !] C’est parce qu’ils n’étaient pas présents sur le Mont Sinaï (et qu’ils n’ont pas apporté de mot d’excuse de leurs parents !). En effet, quand le serpent a pénétré dans Eve (a pénétré Eve ? Rocco, au secours !), il lui a infusé son impureté. Mais les juifs (eux, au moins) ont été lavés de cette souillure lorsqu’ils sont restés debout sur le Mont Sinaï. Les Goyim, en revanche, n’étaient pas sur le Mont Sinaï et, de ce fait, ils n’ont pas été purifiés (Et toc ! Et nous, les juifs, eh ben, on l’a été : Na-na-nanèèèreuh !) »
F / Les Chrétiens comparés aux ordures
« Lorsque dix personnes (des vraies personnes, des juifs…) prient ensemble en un même lieu et qu’elles récitent le Kaddish (ou la Kedoschah), tous, même ceux qui n’appartiennent pas à cette assemblée (= synagogue, ou s’ils viennent d’une autre ville ou un autre quartier) doivent répondre ‘Amen’. Certains, toutefois, disent qu’il faut qu’il n’y ait parmi eux aucun Akum (terme très péjoratif désignant un Chrétien) ni aucune autre sorte d’ordure dans l’assemblée (pour que cela soit une obligation) ».
Dans Iore Dea (198, 48), Hagah, il est écrit :
« Lorsque des femmes juives sortent du bain (rituel : le Mikvéh, ndt), elles doivent prendre grand soin à ce que la première personne qu’elles rencontrent en chemin soit un ou une ami(e) [= un juif ou une juive] et surtout pas quelque chose d’impur [genre : merde de chien] ou un Chrétien ! Car, dans ce cas, si la femme (juive, purifiée et sortant du bain) veut conserver son état de purification (sainteté ?), elle devra immédiatement retourner aux termes et se baigner à nouveau (se repurifier…) »
Il convient de noter que la liste ci-après de choses impures est donnée dans le Biur Hetib, un commentaire du Schulchan Arukh :
« Une femme (juive sortant du bain - voir plus haut) devra retourner se laver et se repurifier si elle voit quoique ce soit d’impur, comme un chien, un âne, des Gens de la Terre (des Chrétiens) ; un Chrétien (Akum) ; un chameau, un cochon, un cheval, ou un lépreux [Jusqu’à plus ample informé, on ne sait pas si les juifs, en plus, étaient naturellement vaccinés contre la lèpre…] ».
G / Les Chrétiens ne sont pas comparables aux hommes ; ce sont des
animaux
Dans les Kerithuth (6b, p. 78), on peut lire :
« L’enseignement des Rabbins est le suivant : Celui qui verse de l’huile sur un Goy (crevé), ou sur des charognes, est exempté de pénitence. Cela vaut pour un animal, parce qu’un animal n’est pas un être humain. Mais comment peut-on dire qu’en versant de l’huile sur un Goy (mort), on est exempté de pénitence, puisqu’un Goy est aussi un être humain ? (En réalité, il n’y a pas de problème car) cela n’est pas vrai [= non, les Goys ne sont pas des êtres humains], puisqu’il est écrit : ‘Tu es mon troupeau… Le troupeau de mon pâturage, ce sont les hommes’ (Ezechiel, XXXIV, 31). Ainsi (grâce à cette parole d’Ezechiel) vous, vous êtes qualifiés d’hommes, mais les Goys, eux, ne sont pas qualifiés de la sorte. »
Dans le traité Makkoth (7b), quelqu’un qui a tué quelqu’un d’autre ( = donc, un juif, car les non-juifs ne sont pas « quelqu’un », ndt…) est déclaré coupable, « sauf si, alors qu’il avait l’intention de tuer un animal, il a tué un homme (= un juif) par erreur ; ou bien si, alors qu’il avait l’intention de tuer un Goy, il a tué (par erreur) un Israélite. » [C’est fort de café casher, non ?]
Dans le Orach Chaiim (225, 10), on lit :
« Celui qui voit de belles créatures, s’agît-il même d’un Akum ou d’un animal, qu’il dise « Béni sois-Tu, Notre Seigneur Dieu, Roi de l’Univers, qui a placé des choses (si belles) sur la Terre ! » [Cela, c’est pour les juifs d’une extrême objectivité, qui iraient jusqu’à estimer que Claudia Schiffer est peut-être quand même moins moche que Barbara Streisand… Une toute petite poignée d’intellectuels, donc.]
H / Ce n’est que dans les apparences que les Chrétiens diffèrent des animaux
Il est écrit, dans le Midrasch Talpiot (fol. 225d) : « Dieu les a créés sous la forme d’hommes pour la gloire d’Israël. Mais les Akum (les Chrétiens) furent créés à la seule fin de les servir (les = les juifs) jour et nuit. Ils ne pourront jamais être exemptés de ce service (esclavage). Car il est bon pour tout fils de roi (= tout Israélite) que des animaux sous leur forme naturelle, et aussi des animaux sous la forme (apparente) d’êtres humains soient à son service. »
Nous pouvons citer, à ce propos, ce qui est dit dans Orach Chaiim, 57, 6a :
« S’il faut avoir pitié des cochons lorsqu’ils sont souffrants (lorsqu’ils ont mal au ventre), car leurs intestins sont semblables aux nôtres, combien plus encore faut-il avoir pitié des Akum (des Chrétiens) lorsqu’ils sont ainsi affectés… » [Condamnable sensiblerie. Je suppose que ce Orach Chaiim ne doit pas être mis entre toutes les mains…]
I / Les Chrétiens sont (positivement) des animaux
On lit, dans Zohar, II, 64b :
« … des gens qui adorent des idoles et qui sont appelés vache et âne,
conformément à ce qui est écrit : J’ai une vache et un âne… »
Rabbi Bechai, dans son ouvrage Kad Hakkemach, ch. I, commençant par le mot Geulah – rédemption – fait référence au Psaume 80, v. 13 : « Le sanglier, hors du bois, ravage tout », dit :
« La lettre « ayn » (une lettre de l’alphabet hébreu, ndt) est « suspendue » [Allusion à la déformation de Jéshua’ en Jéshu par suppression de la lettre « ayn » ?] de la même manière que ces idolâtres qui croient en celui qui a été suspendu (= Jésus, sur la croix) ».
Buxtorf (Lex.) commente :
« Par cochon sauvage, l’auteur désigne ici les Chrétiens qui mangent du porc et, comme les porcs, ont détruit le vignoble d’Israël, la Ville de Jérusalem, et qui croient en Christ le « suspendu ». D’ailleurs, la lettre ‘ayn’ est supprimée dans ce mot (Jeshua’ - Jeshu) parce qu’eux-mêmes, adorateurs du Christ qui fut suspendu, (Dieu) les laisse aussi tomber. » Rabbi Edels, en commentant le Kethuboth, (110b) écrit :
« Le Psalmiste compare les Akum aux bêtes sauvages impures (qui
rôdent) dans les bois. »
J / Les Chrétiens sont pires que des animaux
Le Rabbi Schelomo Iarchi (Rachi), célèbre commentateur juif, expliquant la loi de Moïse (Deutéronome XIV, 21) interdisant de consommer la viande d’animaux blessés, mais permettant que cette viande soit donnée aux « étrangers qui vivent dans tes murs » [= « dans Jérusalem »], ou que l’on devra, dit l’Exode (XXII, 30), ‘la jeter aux chiens’, trouve (encore) cela à ajouter :
« … car il (le Goy) est semblable à un chien. Devons-nous prendre ici le mot ‘chien’ au sens littéral du terme ? En aucun cas ! En effet, le texte (biblique), parlant des charognes, dit : « Ou tu peux les vendre à un étranger ». Cela s’applique à fortiori à la viande d’animaux blessés, contre laquelle il est licite d’accepter paiement. Pourquoi, ceci étant, l’Ecriture dit-elle que cette viande peut être jetée à « des chiens » ? [Mais] c’est afin de vous enseigner qu’un chien doit être plus respecté qu’un Nokri [= un Chrétien][bien sûr !] ».
K / Les Chrétiens se multiplient comme des bêtes
Dans Sanhédrin (74b) Tosephoth, il est dit :
« Le rapport sexuel d’un Goy est comme le rut d’animaux ». Et, dans
Kethuboth (3b), il est enseigné :
« La semence du Goy est plus immonde que celle d’un animal. »
Il faut donc en tirer la déduction que le mariage chrétien n’est en rien
un mariage digne de ce nom :
Dans Kidduschim (68a), on affirme :
« … Et qu’en savons-nous, comment le savons-nous ? Le Rabbi Huna nous l’explique : Vous pouvez lire : Restez ici avec l’âne – c’est-à-dire, avec des gens comme des ânes. Par conséquent, il apparaît qu’ils ne sont pas capable de contracter mariage. »
Dans Eben Haezer (44,8) :
« Si un juif veut se marier avec une Akum (une Chrétienne) ou avec son esclave, le mariage est nul. Car ces gens (les Akum) ne sont pas capables d’entrer en ménage. De même, si un Akum ou un esclave veut épouser une juive, le mariage est nul. »
Dans Zohar (II, 64b) :
« Le Rabbin Abba dit : « Si seuls les idolâtres avaient des relations sexuelles, le monde cesserait d’exister. Par conséquent, il nous est enseigné qu’un juif ne doit à aucun prix laisser l’ascendant à ces voleurs infâmes. En effet, si ceux-là continuent à se propager toujours plus nombreux, il nous sera impossible de continuer à exister, à cause d’eux. Car ils donnent naissance à des portées semblables à celles des chiots. »
L / Les Chrétiens sont les enfants du Diable
Nous lisons, dans Zohar (I, 28b) ce qui suit :
« Or le serpent était plus subtil que toute autre bête vivant dans le champ, etc. (Genèse, III, 1). « Plus subtil » indique le diable ; « que toute autre bête », cela désigne les peuples idolâtres vivant sur Terre. Car ils sont les descendants du lointain ancêtre des serpents (le premier…), qui séduisit naguère Eve. »
Le « meilleur » argument utilisé par les juifs afin de prouver que les Chrétiens sont de la race du diable est le fait qu’ils ne sont pas circoncis. Le prépuce des non-juifs leur interdit d’être qualifiés d’enfants du Très Haut. En effet, par la circoncision, le nom de Dieu – Schaddai – apparaît, dans la chair d’un juif circoncis. La forme de la lettre ‘Isch’ est dans ses narines, la lettre ‘Daleth’ dans ses bras recourbés, et le ‘ayn’ n’apparaît sur son organe sexuel que grâce à la circoncision. Chez les Gentils, non- circoncis, par conséquent, tels les Chrétiens, il n’y a que deux lettres, ‘Isch’ et ‘Dalet’, qui composent le mot « Sched », qui signifie « Diable ». Ils sont, par conséquent, (CQFD…) les enfants de Sched, du Diable. [Puis- je me permettre de rappeler, que sauf erreur de ma part, les enfants du Peuple Elu ne naissent pas circoncis. N’est-il pas un peu facile, d’un coup de scalpel, de transformer des enfants héréditaire du Peuple des Rois, certes, mais enfin, bon… en « Rois des Rois » du Peuple Elu ? N’y a-t-il pas de la triche, la-dedans ? De plus : les musulmans (mâles, bien sûr), sont souvent circoncis : lit-on aussi, sur leur organisme, « Schaddai », Dieu, ou bien sont-ils fabriqués autrement ? That is The Question…]
M / Les âmes des Chrétiens sont diaboliques et impures
L’enseignement juif est de dire que Dieu a créé deux natures, l’une bonne et l’autre mauvaise ; ou encore une nature à deux faces, une face pure et une face impure. C’est du côté impur, appelé Keliphah – couenne, ou croûte scrophuleuse – que sont censées provenir les âmes des Chrétiens.
Dans le Zohar (I, 131a), on lit à ce sujet :
« Les idolâtres, toutefois, depuis qu’ils existent, trompent le monde entier, parce que leur âme provient du côté impur (de la création). »
Et dans Emek Hammelech (23d), il est expliqué :
« Les âmes des impies proviennent de la Keliphah, qui est la mort et l’ombre de la mort. »
Zohar (I, 46a, 47a), va jusqu’à préciser que ce côté impur est le côté
gauche, d’où proviennent les âmes des Chrétiens :
« Et Il créa toute chose vivante, c’est-à-dire, les Israélites, car ils sont les enfants de Dieu, le Très Haut, et leurs âmes saintes procèdent de Lui. Mais d’où viennent donc les âmes des Gentils, ces idolâtres ? Le Rabbin Eliezer nous informe : « Elles viennent du côté gauche (de la création), ce qui en fait du même coup des âmes impures. Ils sont (eux- mêmes), par conséquent, tous impurs (même André Taguieff ?), et ils polluent tous ceux (des juifs, bien sûr…) qui entreraient en contact avec eux. »
N / Après leur mort, l’âme des Chrétiens descend en Enfer
Les Sages enseignent qu’Abraham est assis devant le portail de la Géhenne (attention = le Paradis juif …), et qu’il interdit à toute personne non circoncise d’y entrer. Tous les incirconcis sont envoyés au sous-sol, en enfer…
Dans Rosch Haschanah (17a), il est écrit :
« Les hérétiques, les épicuriens et les traîtres sont précipités en Enfer. »
O / Le sort des Chrétiens après leur mort
Les corps des Chrétiens morts sont qualifiés du terme odieux de Pegarim, qui est le mot utilisé dans les Saintes Ecritures pour désigner les cadavres des damnés et des animaux, mais jamais pour désigner les pieux morts, qui sont appelés Metim (voir l’arabe : *mayyitin (en réalité : mawtâ)). Ainsi le Schulchan Arukh prescrit que l’on doit parler d’un Chrétien mort en des termes semblables à ceux qu’on utiliserait pour parler d’un animal mort.
Dans Iore Dea (377, 1), on lit :
« Des condoléances ne doivent en aucun cas être présentées à quiconque en raison de la mort d’un de ses serviteurs mâles ou d’une de ses domestiques femelles (forcément Goyim, car un juif, étant lui-même par définition un Roi, ne saurait servir un autre juif). Tout ce qui pourra être dit, au maximum, c’est ‘Que Dieu remplace celui (celle) que vous avez perdu(e), de la même manière que nous pouvons souhaiter à un paysan qui a perdu une vache ou un âne de lui trouver un animal de remplacement d’aussi bon « rendement ». »
De même, il n’est nul besoin de tenir les Chrétiens en quarantaine pendant sept jours après qu’ils aient enterré quelqu’un, comme le commande la Loi de Moïse (à ses ouailles, les juifs, et les juifs, seulement), étant donné que les Chrétiens ne sont pas des hommes (combien de fois faudra-t-il vous le répéter ?). De plus, ces Chrétiens auront vraisemblablement enterré un autre chien de Chrétien : or, une charogne ne souille pas celui qui l’enterre. (Raison de plus !)
Dans Iebhammoth (61a), il est dit :
« Les Nokhrim (= les Chrétiens) ne sont pas rendus impurs par (le fait qu’ils aient assisté à) un enterrement. En effet, n’est-il pas écrit : ‘Vous êtes mon troupeau, le troupeau de ma pâture ; vous êtes des hommes. Ainsi, vous appelle-t-on des hommes. Mais ce n’est pas le cas des Nokhrim (Les Renégats = les Chrétiens). »
le premier chapitre il parle de Marie et son fils Jésus c'est encore plus grave.
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