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L'incohérence interne du Coran

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SAEL


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Le jour où cf Nasser parviendra à nous dire pourquoi il est fortement possible de dire MOU'MINUNA ou MOUMINUNA sans qu'il n'y ait de problème, et en nous apportant le "comment" de la chose, je lui tirerai chapeau même s'il me dirai que la terre est ronde quoique j'ai la preuve scientifique irréfutable qu'elle ne l'est pas.
Je te l'ai dit dans ce forum qu'il ne suffise nullement d'être agrégé en Langue arabe pour s'aventurer à  dire des faussetés sur l'oeuvre la plus phénoménale de l'univers.


Voilà ces différents rasms, Séleucide, qu'ils soient avec accentuation et points ou non, et essayes de me dire qu'est-ce-que tu remarques en s'aidant de tous les érudits de ce monde, pour me prouver, cette fois-ci à décharge, que MOU'MINUNA ET MOU     

SAEL

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... que MOU'MINUNA et MOUMINUNA c'est pareil au même: 

   أَمِنَ
  مُؤَمَّنْ
  آمَنَ
  مُؤْمِنْ

SAEL

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... que MOU'MINUNA et MOUMINUNA c'est pareil au même: 

   أَمِنَ
  مُؤَمَّنْ
  آمَنَ
  مُؤْمِنْ

SAEL

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@SAEL a écrit:
 
Dans ce cas, pour que tu puisses démolir ce paradoxe et demeurer tranquille, rend à la Langue arabe ce qui appartient à la Langue arabe: enlève l'accentuation (voyelles) et les points et lis ton Coran sans gêne si tu es un arabo-musulman.
 
@Séleucide a écrit :
 
Le problème d’un tel argument, c’est qu’il induit que le rasm du mushaf (en admettant que cette expression ait un sens puisqu’il existe des différences de rasm suivant les masahif al-amsar, différences minimes certes, mais tout de même présentes) ne peut se lire que d’une seule manière, ce que toute l’histoire de la transmission des Lectures infirme directement. Je veux dire, je veux bien admettre que dans la majorité des cas, le rasm ne peut se lire rationnellement que d’une seule façon, notamment en fonction de la syntaxe. Toutefois, il existe bien des cas litigieux dans lesquels plusieurs lectures sont possibles : on en trouve des exemples nombreux suivant les Lecteurs et les transmetteurs de ceux-ci. Il existe en effet, comme je le disais plus avant, des variantes qui prennent de toute évidence leur origine dans la scriptio defectiva du mushaf.
@Sael a écrit :
Des variantes qui prennent de toute évidence leur origine dans le scripto défectiva du mushaf !!!? …Des différences minimes !!!?... Des exemples nombreux !!!? Des cas litigieux (quoique humainement les cas litigieux ont été toujours à l’ordre du jour et le seront sans cesse).
 Donnes-moi des exemples, Séleucide, et tu verras que ça n’enlèvera par le moindre iota à l’âme du Texte.
@Séleucide a écrit :

Cela dit, tu as tout-à-fait raison de réagir ainsi. Dans la science islamique, le rasm coranique est mutawatir, mais pas les Lectures en tant que tel : en tout cas, ibn al-Jazari n'y croyait pas, et à juste titre ce me semble.
S. Nasser explique très bien ce paradoxe :

"In other words, one cannot read the Qur'ān without the canonical Readings; the Qur'ān is coded, and one needs these canonical Readings to decode it. In theory, the Qur'ān is mutawātir, i.e. it is absolute and it yields necessary and undisputed knowledge; however, the means by which the Qur'ān is decoded and read are not mutawātirah. That is to say, the consonantal outline of the Qur'ān, as it was written down and codified by 'Uthmān, is mutawātir."

Cf NASSER S. H., The Transmission of the Variant Readings of the Qur’ān. The Problem of Tawātur and the Emergence of Shawādhdh, Brill, Leiden, 2013, coll.
« Texts
@Sael a écrit
L’existence du Tawatur n’est qu’une question d’Ijtihad analytique voire même transphrastique. Sinon dis-moi pour quelle raison ce dernier existe dans notre esprit de culture, et assures-moi que tous les hommes sont égaux en termes d’efficience intellectuelle et perspicacité.  
 
@Séleucide a écrit

La conséquence logique serait de ne s'en tenir qu'au rasm du mushaf : mais aussi, malheureusement pour vous, de pouvoir le lire à sa guise concernant les passages litigieux (puisque l'on ne peut être certain que les Lectures reconnues soient justes), voire de le travestir en lisant certains passages d'une manière intéressée de manière à y introduire certaines sensibilités théologiques. Il y a aussi le cas de chercheurs occidentaux qui travaillent le rasm de certains passages difficiles du Coran et qui parviennent à des résultats probants (principalement J.A. Bellamy, mais aussi B. Bonnet-Eymard). Je pourrais si tu le souhaites donner quelques exemples de leurs travaux.

@Sael a écrit :
Tu veux dire à l’instar des érudits chrétiens qui ont cette liberté de traduire ou d’interpréter un texte en puisant, sans trembler, dans les sensibilités théologiques ? Si tu admets ça c’est que tu n’as aucune connaissance de la sévérité des musulmans à propos de leurs textes… Litige n’inclus aucunement vérité perdue, mais « force des uns et faiblesse des autres » en termes de perspicacité, don du Puissant qui guide.   
 
 
 
@SAEL a écrit:
 
Pour ton exemple qui change complètement le verset ça m'intéresse vraiment.
 
@Séleucide a écrit :
 
Par exemple, en 3:146,

Hafs lit "Combien de prophètes ont combattu (
قٰتل qâtala, 3e forme verbale à l'actif) avec beaucoup de leurs disciples ; ils n'ont pas désespéré pour ce qui les atteignit dans le chemin d'Allah, ils n'ont pas faibli ni n'ont cédé. Et Allah aime les patients, ceux qui endurent."

Warsh lit : "Combien de prophètes ont été combattu (
قُتِلَ qutila, première forme verbale au passif) avec beaucoup de leurs disciples ; ils n'ont pas désespéré pour ce qui les atteignit dans le chemin d'Allah, ils n'ont pas faibli ni n'ont cédé. Et Allah aime les patients, ceux qui endurent."

Voir :
http://nquran.com/index.php?group=AComp ... =3&aya=146

On a ici un bel exemple de variante de forme verbale et de voix active/passive, variante changeant le sens du verset. Je ne suis certes pas chicaneur, et veux bien croire que la pointe théologique reste la même, savoir l’approbation d’Allah pour les fidèles qui s’efforcent de lutter pour lui, mais les modalités de cette lutte changent entièrement selon la forme. Et cela peut également avoir des incidences sur la manière de considérer les prophètes.

@Sael a écrit :
Lis-toi dans le post précèdent : n’as-tu pas dit que ça change complètement le sens du verset ?...Quant à moi je ne vois que la forme active de Hafs qui s’est drapée d’un burnous de la forme passive de Warsh, Mais l’âme de l’enseignement du verset dans toute sa plénitude y est toujours et l’exhortation au combat y prédomine sans broncher.
Voici un exemple :
Tu es lieutenant et tu veux exhorter tes hommes au combat. Si tu as un brin de perspicacité de plus du point de vue structure textuelle, tu leurs diras ceci : Combien de lieutenants ont  combattu avec leurs hommes ; ils n’ont pas désespéré pour ce qui les atteignit dans le chemin, ils n’ont pas faibli ni n’ont cédé…
Mais si tu as un brin de perspicacité  de moins du point de vue structure textuelle tu leurs diras ceci : Combien de lieutenants ont été combattus avec leurs hommes ; ils n’ont pas désespéré pour ce qui les atteignit dans le chemin, ils n’ont pas faibli ni n’ont cédé…
Dans le 1er cas tu as raison de le dire, Séleucide. Dans le 2ème cas tu as raison aussi, et en parlant ainsi, tu ne tueras aucunement et (nullement) l’âme de ton affirmation qui précisément a pour but l’exhortation au combat.
 Pour le Coran, la forme active, qui est celle de Hafs, est meilleure, car si on tient compte de l’analyse transphrastique qui relève du livre en entier, celui-ci a toujours encouragé les croyants à aller vers le combat légitime et non à être combattu. Et c’est ce qu’on appelle la perspicacité la plus poussée face à un rasm où le choix à prendre une décision ne peut-être que d’une rationalité illimitée, indiscutable, mais il faut toujours s’attendre à une attaque litigieuse qui ne pourrait venir que de loin sans toutefois se confondre devant un auditoire ou lors d’un face-à-face.   
 
  
@SAEL a écrit:
 
Á quel degré d’importance vois-tu la basmallah chez les musulmans ?
 
@Séleucide a écrit :
Je ne sais pas.

Je sais juste qu’elle n’apparaît pas dans la sourate 9, et qu’elle est sujet à controverse entre les musulmans pour la considérer ou non comme un verset, et que cela est de nature à présenter certaines difficultés pour la théorie du tawâtur du Coran.

 
@Sael a écrit :
 
La basmalla pour un musulman est très importante.En dehors du Coran sublime et du point de vue de utilisation régulière, c’est l’oxygène qu’il respire.
La basmalla préislamique : Á Ton Nom ô Allah ( sans le Miséricordieux, le Très Miséricordieux).
T’ayant informé, je te demande de lire avec un vif intérêt la Sourate 9, essayes de me rapporter tes impressions analytiques si la basmalla devait y exister ou non, et tes remarques  de quoi ça traite.
 
 
@SAEL a écrit:

On dit 3alay’hum ou bien 3alay’him ? Et quel impact auront-elles sur le vrai sens du mot et du verset ?

 
@Séleucide a écrit :
 
Ma grammaire tient pour ‘alayhim, puisque le pronom personnel est précédé d’un ya silencieux.
@Sael a écrit :
Félicitation ! pour le « ya », non.
 
 
 
@Séleucide a écrit :
 Maintenant, je ne pense pas que le choix de l’une ou de l’autre possibilité puisse avoir une véritable incidence sur le sens du mot.
@Sael a écrit :
Exact.
 
@Séleucide a écrit :
 Est-ce la bonne réponse ?
 
@Sael a écrit :
C’est la bonne réponse sauf pour ton explication relative au « ya ».

SAEL

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Passionné
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 Pour le Coran, la forme active, qui est celle de Hafs, est meilleure, car si on tient compte de l’analyse transphrastique qui relève du livre en entier, celui-ci a

Correction:



toujours encouragé les croyants à aller vers le combat légitime et non à être combattu. Et c’est ce qu’on appelle la perspicacité la plus poussée face à un rasm où le choix à prendre une décision ne peut-être que d’une rationalité illimitée, indiscutable, mais il faut toujours s’attendre à une attaque litigieuse qui ne pourrait venir que de loin, non sans toutefois se confondre devant un auditoire ou lors d’un face-à-face.  

Tumadir

Tumadir
Averti
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Séleucide a écrit:
Tumadir a écrit:Défaut de transmission/transcription est un non sens.
Je viens de démontrer plus avant que les deux transmetteurs de ‘Asim diffère entre eux sur cette même lecture ; j’y ai également expliqué que cela va bien plus loin lorsque l’on envisage également les transmetteurs qui n’ont pas été reçu. Pardon mais que faut-il de plus, exactement ?
Il faut des arguments sérieux, aparemment t'en a pas.

Séleucide a écrit:J’ai expliqué plus avant qu’il y a eu des défauts de transmission dans la compréhension et le sens même du Coran.
Séleucide a écrit:Je vous rappelle que l'objet de mon précédent message réside dans le caractère faillible de la transmission des Lectures, pas dans les contradictions de sens entre deux variantes spécifiques.

Tumadir

Tumadir
Averti
Averti

SAEL a écrit: Pour le Coran, la forme active, qui est celle de Hafs, est meilleure, car si on tient compte de l’analyse transphrastique qui relève du livre en entier, celui-ci a

Correction:

toujours encouragé les croyants à aller vers le combat légitime et non à être combattu. Et c’est ce qu’on appelle la perspicacité la plus poussée face à un rasm où le choix à prendre une décision ne peut-être que d’une rationalité illimitée, indiscutable, mais il faut toujours s’attendre à une attaque litigieuse qui ne pourrait venir que de loin, non sans toutefois se confondre devant un auditoire ou lors d’un face-à-face.  
Encourager les croyants à aller vers le combat légitime même si ça peut leur coûter la vie et se font tués ce qui est en principe le sens de la forme passive.

Tumadir

Tumadir
Averti
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smile

https://www.youtube.com/watch?v=nP1Fi2zlty4&feature=youtu.be

SAEL

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Passionné
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@SAEL a écrit:
 
 Pour le Coran, la forme active, qui est celle de Hafs, est meilleure, car si on tient compte de l’analyse transphrastique qui relève du livre en entier, celui-ci a

Correction:

toujours encourager les croyants à aller vers le combat légitime et non à être combattu. Et c’est ce qu’on appelle la perspicacité la plus poussée face à un rasm où le choix à prendre une décision ne peut-être que d’une rationalité illimitée, indiscutable, mais il faut toujours s’attendre à une attaque litigieuse qui ne pourrait venir que de loi
n, non sans toutefois se confondre devant un auditoire ou lors d’un face-à-face.
 
@Tumadir a écrit :  
Encourager les croyants à aller vers le combat légitime même si ça peut leur coûter la vie et se font tués ce qui est en principe le sens de la forme passive.
 
@Sael a écrit :
Assalamu 3alaykum
Concernant la voix active, je parlais de la lecture de Hafs où il est dit : «  Combien de Prophètes ont combattu avec beaucoup de leurs disciples… » . Quant à encourager les croyants à aller vers le combat relève de ma petite tentative d’analyse pour répondre à Séleucide.
L’analyse complète doit prendre en compte la chronologie de la Sourate 3, qui a été révélée avant la bataille des coalisés, et de là on peut comprendre l’esprit dans lequel étaient les musulmans pour mieux valoriser de quelle forme s’agissait-il, active ou passive, dans le verset 3 : 146, quoiqu’en termes d’enseignement les 2 peuvent être dites.
Souvent le Tawatur d’un verset, vient d’une faiblesse d’ijtihad faute d’analyse approfondie. Ce qui entraîne, de par nature, un affrontement litigieux source de lumière Mais, en bref, nos salafs érudits, grâce à une guidance divine, ont fait un travail hors du commun appréciés même par les orientalistes.

SAEL

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@Tumadir


Mais ceci en revenant à la Langue française. Ce qui n'est le cas en Langue arabe.

Séleucide

Séleucide
Habitué
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SAEL a écrit:Des variantes qui prennent de toute évidence leur origine dans le scripto défectiva du mushaf !!!?
Oui, évidemment.

Le mushaf ancien ne notait ni voyelle courte, ni de voyelle longue parfois, typiquement le alif, ni signe orthoépique, ni diacritique, et possédait encore en plus une orthographe déficiente. Ces caractéristiques ont inévitablement mené à des variantes spécifiquement graphiques plutôt que orales, typiquement le changement de cas, de voix active/passive, de forme verbale, du préfixe de l’inaccompli ce qui se voit le plus souvent, ou du suffixe de l’accompli, etc. Il y a par exemple une variante très connue prenant son origine dans la non-notation du alif : partant de قل, on rendait soit qul (dis, impératif), soit qâla (il a dit, accompli). Un autre exemple, toutefois différent : en 2 :58, on peut lire dans les variantes canoniques trois façons de rendre un même rasm, en vocalisant et en diacritisant différemment : نَغفِر, naghfir ; يُغفَر, yughfar ; تُغفَر, tughfar. Comment ne pas voir ici des variantes qui prennent indubitablement leur origine dans la scriptio defectiva du mushaf ancien ?

SAEL a écrit:…Des différences minimes !!!?
Oui, il existait des variantes de rasm entre les différents masahif al-amsar.

Nous les connaissons par différentes listes qui sont parvenues jusqu’à nous, aujourd’hui : soit celle d’al-Dani, un des représentants de la science des lectures, soit celle d’Abu ‘Ubayd al Qasim ibn Sallam, l’un des fondateurs de cette discipline. On en retrouve la liste dans NÖLDEKE T. et al., The History of the Qurʾān (trad. ed. BEHN W. H.), Brill, Leiden, 2013, coll. « Texts and Studies on the Qurʾān », n° 8, pp. 392-402. Honnêtement, l’ensemble de ces variantes est minime et de peu de portée : la majeure partie est constituée par l’ajout d’un wa ou d’un fa, parfois d’un min fluidifiant le texte. Parfois, cependant, nous trouvons aussi des formes verbales différentes (par exemple, le mushaf damascène lit en 7 : 3 تتذكرون là les autres lisent تذكرون), des pronoms personnels différents (le mushaf damascène lit en 40 :21, منكم, là où les autres lisent منهم). Mais si les différences sont minimes, elles demeurent cependant problématiques pour qui prétend tenir à la lettre même de la Révélation. Est-il donc pertinent de parler de rasm othmanien si celui-ci différait dans le détail suivant les masahif al-amsar ?

SAEL a écrit:Donnes-moi des exemples, Séleucide, et tu verras que ça n’enlèvera par le moindre iota à l’âme du Texte.
Encore une fois, le problème n’est pas tant dans le sens même du texte que dans sa lettre. Si tu admets que le texte coranique a eu une transmission défectueuse dans sa lettre même, je veux bien ensuite passer à la question du sens comme je l’ai fait avec Tumadir.

SAEL a écrit:L’existence du Tawatur n’est qu’une question d’Ijtihad analytique voire même transphrastique.
Allons bon.

SAEL a écrit:Sinon dis-moi pour quelle raison ce dernier existe dans notre esprit de culture, et assures-moi que tous les hommes sont égaux en termes d’efficience intellectuelle et perspicacité.
Si l’on retire le tawatur comme attribut du Coran, il devient loisible de douter de lui.

SAEL a écrit:
Si tu admets ça c’est que tu n’as aucune connaissance de la sévérité des musulmans à propos de leurs textes…
Cette sévérité, toute relative au regard de l’histoire, n’a pas empêché une transmission défectueuse des Lectures ; j’en profite au passage pour rappeler que les critères permettant de valider une variante ont évolué avec le temps.

SAEL a écrit:Litige n’inclus aucunement vérité perdue, mais « force des uns et faiblesse des autres » en termes de perspicacité, don du Puissant qui guide.
Comme c’est beau…

SAEL a écrit:Lis-toi dans le post précèdent : n’as-tu pas dit que ça change complètement le sens du verset ?...Quant à moi je ne vois que la forme active de Hafs qui s’est drapée d’un burnous de la forme passive de Warsh, Mais l’âme de l’enseignement du verset dans toute sa plénitude y est toujours et l’exhortation au combat y prédomine sans broncher.
Si l’on prend le verset uniquement, on verra qu’il peut avoir deux significations en fonction de la forme active ou passive : soit qu’il est la nature des prophètes que de combattre, guerroyer ; soit qu’il est de leur nature que d’être persécutés. Les deux interprétations sont valables si l’on prend en compte le Coran en entier : Mahomet lui-même a combattu, comme on le sait, et il fut également persécuté comme, avant lui, Abraham, Noé, et d’autres encore.

SAEL a écrit:
La basmalla préislamique : Á Ton Nom ô Allah ( sans le Miséricordieux, le Très Miséricordieux).
Source ?

SAEL a écrit:
T’ayant informé, je te demande de lire avec un vif intérêt la Sourate 9, essayes de me rapporter tes impressions analytiques si la basmalla devait y exister ou non, et tes remarques  de quoi ça traite.
Yacine m’a déjà donné cet argument, et je le trouve très faible.

SAEL a écrit:
Félicitation ! pour le « ya », non.
Pourquoi non ?

Tumadir a écrit:
Il faut des arguments sérieux, aparemment t'en a pas.
Explique-moi en ce cas qui de Schu’ba ou de Hafs rapporte la Lecture authentique de ‘Asim, étant entendu que l’un contredit l’autre en rapportant la Lecture de son maître ?

Tumadir

Tumadir
Averti
Averti

Séleucide a écrit:Un exemple typique pourrait résider dans les fameuses lettres mises en avant de certaines sourates : si elles avaient un sens pour ceux qui les ont écrites, celui-ci fut rapidement perdu et aucun érudit musulman ne sait depuis 1400 ans nous expliquer la signification de ces lettres, sans tomber dans la spéculation farfelue et l’hypothèse ad hoc.
Ces lettres détachées n'ont absolument aucune signification particulière sinon le fait de rappeler aux lecteurs que le Coran est descendu avec ces lettres, i-e en langage arabe claire.

Sinon explique-nous quel sens peut avoir l'alphabet de la langue française ?

Il n'y a que les kabbalistes qui voient des mystères là où y a pas smile

Séleucide a écrit:En me creusant un peu la tête et en lisant davantage, je pourrais trouver bien d’autres exemples de mots ou d’expressions sur lesquels l’exégèse islamique a toujours buté, et tenté d’apporter des semblants de solution à vrai dire bien peu satisfaisants, sans compter les nombreux avis divergents qui se contredisent allègrement les uns les autres : comment expliquer cette pluralité exégétique sinon par le fait même que les exégètes ont parfois eu à DEVINER et à SUPPUTER le sens de certaines expressions qu’ils ne comprenaient pas ?
L'une des explications est que beaucoup de convertits ne maitrisant pas l'arabe contemporaine de la Révélation ont dû refaire l'interprétation des versets à leur sauce, c'est le cas des mutazili et des achairi parmi d'autres.

Avec tous mes respects à mes frères et soeurs convertis smile

https://www.youtube.com/watch?v=nP1Fi2zlty4&feature=youtu.be

Séleucide a écrit:
Tumadir a écrit:Il faut des arguments sérieux, aparemment t'en a pas.
Explique-moi en ce cas qui de Schu’ba ou de Hafs rapporte la Lecture authentique de ‘Asim, étant entendu que l’un contredit l’autre en rapportant la Lecture de son maître ?
A toi de nous expliquer le sens de la contradiction et quel impact ça peut avoir sur les fondements de la croyance musulmane.

@Sael

Wa aaleykom salam

La vidéo est adressée à "Séleucide", quant à ta tentative d'analyse je la trouve pertinente, comme la plupart de tes réflexions. smile

SAEL

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Passionné
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@SAEL a écrit:
 
Des variantes qui prennent de toute évidence leur origine dans le scripto défectiva du mushaf !!!?
 
@Séleucide a écrit :
 
Oui, évidemment. 

Le mushaf ancien ne notait ni voyelle courte, ni de voyelle longue parfois, typiquement le alif, ni signe orthoépique, ni diacritique, et possédait encore en plus une orthographe déficiente. Ces caractéristiques ont inévitablement mené à des variantes spécifiquement graphiques plutôt que orales, typiquement le changement de cas, de voix active/passive, de forme verbale, du préfixe de l’inaccompli ce qui se voit le plus souvent, ou du suffixe de l’accompli, etc. Il y a par exemple une variante très connue prenant son origine dans la non-notation du alif : partant de قل, on rendait soit qul (dis, impératif), soit qâla (il a dit, accompli). Un autre exemple, toutefois différent : en 2 :58, on peut lire dans les variantes canoniques trois façons de rendre un même rasm, en vocalisant et en diacritisant différemment : نَغفِر, naghfir ; يُغفَر, yughfar ; تُغفَر, tughfar. Comment ne pas voir ici des variantes qui prennent indubitablement leur origine dans la scriptio defectiva du mushaf ancien ?

@Sael a écrit :
 
Dans ce que tu appelles « accompli et inaccompli » les suffixes et les préfixes n’existent pas. Quoique c’est faiblement correct de les qualifier « d’accomplis et inaccomplis », il est plus judicieux à un orientaliste qui s’aventure dans une critique textuelle d’appeler le verbe de « l’inaccompli » par un « verbe d’ordre » (fi3l amr) ou celui du futur s’il comporte le préfixe « sa » ou ayant une forme propre à ce temps verbal.
Exemple : « Fais ce travail ! » dans le 1er cas, « ughfir ou sa’uzid » dans le 2ème cas.  
et le verbe de « l’accompli » par le « verbe au temps passé composé » à titre d’exemple
 
Quant aux autres temps que connaisse la Langue française, l’Arabe utilise un autre moyen ne permettant aucune erreur d’analyse syntaxique et surtout de compréhension.
 
Maintenant, à propos du verset 2 :58 :
 
Et [rappelez-vous] lorsque Nous dîmes : « Entrez dans cette ville, et mangez-y à l'envie où il vous plaira ; mais entrez par la porte en vous prosternant et demandez la « rémission » (de vos péchés) ; Nous vous pardonnerons vos fautes si vous faites cela et donnerons davantage de récompense pour les bienfaisants.
 
Verset 2 :58 en lettres latines
 
Wa ith Qulna udkhoulu hadhihi el-qaria fakoulu minha haythu schi’tum raghadan wa-dkhoulu el-baba soudjadan wa-Qoulu hittatun naghfir lakum khatayakum wa-sanazidu el-mouhsinine.
 
Je suis devant le « rasm » d’un tel verset où il n’y a ni accentuation ni point, et je me propose de faire une analyse syntaxique pour comprendre de quels pronoms personnels s’agissait-il, sujets des verbes, en gras, dire, pardonner et donner.
 
02 autres configurations, en dehors du Nous de Majesté, se présentent relatives au rasm de la lettre, ayant le même shème, qui pourrait être, à la fois, un « ya », un « ta » et un « nun de Majesté »… Le pronom personnel indéfini est hors question, car il supprime le rasm de la lettre dont on parle, et le verbe dire conjugué sera comme suit : « Qiyla (il est dit) »..
 
Configuration n°1
 
Le rasm est un « ya ». D’emblée, cette configuration ne pourrait être admise car elle représente le suffixe du « féminin », et le nom de dieu est au masculin. (Wa ith Quly).
 
Configuration n°2
 
Le rasm est un « ta »
 
« Wa ith Qultu (lorsque j’ai dit) » est correcte et pourrait être utilisée, mais l’analyse syntaxique des autres verbes du verset (pardonner et surtout donner) réfute catégoriquement ce « harf=variante). Pourquoi ? Parce que, tout simplement, le verbe « pardonner » est au futur, et doit avoir obligatoirement un rasm d’ « Aliph » et non un rasm de « ya ou ta ». Mais si le pronom personnel, relatif à ce verbe, est indéfini, et qu’on fait une sorte de mélange de pronoms personnels dans ce même verset, indéfini y compris, c’est littéralement possible que le rasm sera un « ya ou un ta », sauf que le 3ème verbe (donner) contrecarre une telle variante où dans le cas de l’indéfini le verbe « donner » sera de la forme « sa-tuzad li-elmuhsinine ». Non seulement il y a un « li », absent du rasm, qui s’ajoute et de plus une question s’interpose d’elle-même : « sa-tuzad quoi ??? ». Enfin, on ne peut utiliser la forme « sa-tazid el-mouhsinane », car subséquemment on supprime le sujet qui donnera davantage. Donc, qui donnera davantage !???
 
 Pour le cas du « ya » on peut l’utiliser pour 2ème et 3ème verbe, mais il aura un impact sur le 1er selon l’explication de la configuration n°1.
 
On peut aussi faire une analyse transphrastique en considérant les versets qui sont avant et après le 2 :58, sans toutefois oublier que le Coran sublime avait été transmis oralement selon un esprit de culture voulu divinement.
 
 
@SAEL a écrit:
 
…Des différences minimes !!!?
 
@Séleucide a écrit :
 
Oui, il existait des variantes de rasm entre les différents masahif al-amsar. 

Nous les connaissons par différentes listes qui sont parvenues jusqu’à nous, aujourd’hui : soit celle d’al-Dani, un des représentants de la science des lectures, soit celle d’Abu ‘Ubayd al Qasim ibn Sallam, l’un des fondateurs de cette discipline. On en retrouve la liste dans NÖLDEKE T. et al., The History of the Qurʾān (trad. ed. BEHN W. H.), Brill, Leiden, 2013, coll. « Texts and Studies on the Qurʾān », n° 8, pp. 392-402. Honnêtement, l’ensemble de ces variantes est minime et de peu de portée : la majeure partie est constituée par l’ajout d’un wa ou d’un fa, parfois d’un min fluidifiant le texte. Parfois, cependant, nous trouvons aussi des formes verbales différentes (par exemple, le mushaf damascène lit en 7 : 3
تتذكرون là les autres lisent تذكرون), des pronoms personnels différents (le mushaf damascène lit en 40 :21, منكم, là où les autres lisent منهم). Mais si les différences sont minimes, elles demeurent cependant problématiques pour qui prétend tenir à la lettre même de la Révélation. Est-il donc pertinent de parler de rasm othmanien si celui-ci différait dans le o
 
@Sael a écrit :
 
Sourate 7 :3
 
Suivez ce qui vous a été descendu venant de votre Seigneur et ne suivez pas d'autres alliés que Lui. Mais vous vous souvenez peu.
 
Là, ce que les orientalistes semble oublier ce sont les verbes qui commencent par un « ta » si on les met sur un nominatif du wazn « tafa3ul », et surtout…surtout si on les met sur le wazn de la 3ème personne du singulier et du pluriel « Yatafa3el et Yatafa3alun » pour comprendre qu’ils sont précédés d’une « ta » qui leurs est propre comme, par exemple, le verbe français tambouriner ou tacheter.
 
 
Exemples :
 
En 1(Tafa3ul)
 
Tatayur = vol en éclats
Tatawoul = constituer un affront
Ta3akub = succession ou bien le fait de défiler.
 
En 2 (Yatafa3el – Yatafa3alun)
 
Yatatayer – Yatatayarun
Yatatawul – Yatatawalun
Yata3akeb – Yata3akabun
 
Donc, à la 2ème personne du pluriel, comme il est mentionné dans les différents maasahif, tu peux utiliser, « Tatatayarun ou bien Tatayarun » ou « Tatadhakarun ou Tadhakkarun » (sujet de notre discussion).
 
La Langue arabe a ses mystères, qui parfois même promulguent la facilité de prononciation comme le H muet de la Langue française.
 
Qu’est je veux vraiment te signifier, si je te dis ceci : « Je suis le chemin » ?
 
Sourate 40 :21

Ne parcourent-ils pas la terre, pour voir ce qu'il est advenu de ceux qui ont vécu avant eux ? Ils étaient [pourtant] plus forts qu'eux et ont laissé sur terre bien plus de vestiges. Allah les saisit pour leurs péchés et ils n'eurent point de protecteur contre Allah.

Pourtant là, c’est facile à comprendre car ce verset s’adresse aux mécréants et non au Prophète y compris (Sala Allahu 3alayhi wa sallam), d’où l’utilisation de «  Minhum et non Minkum ».
 
 
 
@SAEL a écrit:
 
Donnes-moi des exemples, Séleucide, et tu verras que ça n’enlèvera par le moindre iota à l’âme du Texte.
 
@Séleucide a écrit :
 
Encore une fois, le problème n’est pas tant dans le sens même du texte que dans sa lettre. Si tu admets que le texte coranique a eu une transmission défectueuse dans sa lettre même, je veux bien ensuite passer à la question du sens comme je l’ai fait avec Tumadir. 


@Sael a écrit :
 
Je te parle de l’âme du texte. Et si quelqu’un du Hidjaz en bon transmetteur et ayant appris le Texte par cœur, à titre d’exemple, n’a jamais entendu parler du « sad » et le prononce en « Zed profond » comment veux-tu que j’y voie une transmission défectueuse même s’il le mentionne dans un écrit.
 
Le mot « suk » est féminin dans le Hidjaz, et masculin en Arabie orientale.
 
Le suk fait périr en moyenne, à cause de son agglutination, 3 à 4 femmes chaque semaine.
 
Le Hidjazi va érire cette phrase comme suit :
 
Taqtulu el-souk,,min katrat izdihamiha, 3 ila 4 nissa’ usbu3iyan
 
Celui de l’Arabie orientale l’écrira ainsi :
 
Yaqtulu el-souk, min katrat izdihamihi, 3 ila 4 nissa’ usbu3iyan.
 
Dans mon pays il y a de grandes régions pleines de gens qui parlent à l’homme au féminin, et à la femme au masculin ; et que devons-nous dire des variances dialectales, et surtout des grandes problématiques de ne pouvoir parvenir aucunement à se défaire d’une habitude, ancrée dans le sang, relative aux différentes prononciations, aux accents à particularité inextricable englobant la portée morphologique, syntaxique et autres.
 
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@SAEL a écrit:
 
Sinon dis-moi pour quelle raison ce dernier existe dans notre esprit de culture, et assures-moi que tous les hommes sont égaux en termes d’efficience intellectuelle et perspicacité.
 
@Séleucide a écrit :
 
Si l’on retire le tawatur comme attribut du Coran, il devient loisible de douter de lui. 



@SAEL a écrit:
 
Conclusion admise par réflexe et non par réflexion. « Et vous n’avez reçu de la science que peu » ; et ce peu c’est quoi au juste proportionnellement ?
 
@Séleucide a écrit :

Si tu admets ça c’est que tu n’as aucune connaissance de la sévérité des musulmans à propos de leurs textes…

 
@Séleucide a écrit :
 
Cette sévérité, toute relative au regard de l’histoire, n’a pas empêché une transmission défectueuse des Lectures ; j’en profite au passage pour rappeler que les critères permettant de valider une variante ont évolué avec le temps. 
 
@Sael a écrit :
 
Celui qui se poste loin du spectacle ne peut se proposer en bon admirateur… Valider c’est estimer tant le phénomène est aléatoire, alors que dire de ceux qui voient noir ce qui est blanc.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
 
@SAEL a écrit:
 
Litige n’inclus aucunement vérité perdue, mais « force des uns et faiblesse des autres » en termes de perspicacité, don du Puissant qui guide.
 
@Séleucide a écrit :
 
Comme c’est beau… 

@SAEL a écrit:
 
Le semblant de beauté n’est apprécié à sa juste valeur que par la majorité. Cependant la beauté, en elle-même, le sera par le tout, sauf ceux qui cherchent le défaut dans un seul cheveu blanchi par une canitie.
 
 
 
@Sael a écrit :
 
Lis-toi dans le post précèdent : n’as-tu pas dit que ça change complètement le sens du verset ?...Quant à moi je ne vois que la forme active de Hafs qui s’est drapée d’un burnous de la forme passive de Warsh, Mais l’âme de l’enseignement du verset dans toute sa plénitude y est toujours et l’exhortation au combat y prédomine sans broncher.
 
@Séleucide  a écrit :
 
Si l’on prend le verset uniquement, on verra qu’il peut avoir deux significations en fonction de la forme active ou passive : soit qu’il est la nature des prophètes que de combattre, guerroyer ; soit qu’il est de leur nature que d’être persécutés. Les deux interprétations sont valables si l’on prend en compte le Coran en entier : Mahomet lui-même a combattu, comme on le sait, et il fut également persécuté comme, avant lui, Abraham, Noé, et d’autres encore. 



@SAEL a écrit:
 
Janvier c’est le mois du verglas.
 
Là, je vois vraiment comment tu considères les verbes arabes « Qatala et Qutila » en leur collant un nouveau non-sens en pensant qu’il pourrait s’agir de persécutions. Tu as tout faux comme le disait GRIT.


Quand tu dis j’ai combattu, impérativement et logiquement cela sous-entend que tu as été combattu. Á moins que ton ennemi est un arbre qui ne riposte point. Et le tout ne se limite aucunement à ce que tu ailles vers lui ou il vient vers toi, quand la bataille s’annonce comme un orage précurseur.


Quand tu dis j’ai embrassé, impérativement et logiquement cela sous-entend que tu as été embrassé. Á moins que celle que tu embrasses n’est autre qu’une grande poupée esquissant un joli sourire.


Donc, où en vois-tu les 2 présumées significations !!!?
 
 
@Sael a écrit :

La basmalla préislamique : Á Ton Nom ô Allah ( sans le Miséricordieux, le Très Miséricordieux).

 
@Séleucide a écrit :
 
Source ?


@Sael a écrit:
 
Tape : « Plan de guerre économique  et embargo social contre les Banu Hashim et Banu El-Muttalib »
 
 
@Sael a écrit :

T’ayant informé, je te demande de lire avec un vif intérêt la Sourate 9, essayes de me rapporter tes impressions analytiques si la basmalla devait y exister ou non, et tes remarques  de quoi ça traite.

 
@Séleucide a écrit :
 
Yacine m’a déjà donné cet argument, et je le trouve très faible.

@Sael a écrit:
 
As-tu au moins fait ce que je te demande ?
 
 
@Sael a écrit :

Félicitation ! pour le « ya », non.

 
@Séleucide a écrit :
 
Pourquoi non ? 
 
@Sael a écrit :


Parce que la hamza indiquant le sujet subissant l’action (El-Maf3ul bihi) est précédée d’une préposition de lieu « 3ala = sur) et non uniquement d’une « ya ».
 
D’ailleurs le « ya » ne se prononce qu’en rajoutant le suffixe à la préposition « 3ala », et c’est pour cette raison que cette dernière s’écrive avec une « aliph maqsoura » à la fin, ressemblant graphiquement à une « ya sans point en dessous ».


As-une idée de la compétence orthoépique ? 

SAEL

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Correction:


Dans ce que tu appelles "l’accompli" les préfixes et les suffixes n’existent pas.

SAEL

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@Tumadir a écrit:



@Sael

Wa aaleykom salam

La vidéo est adressée à "Séleucide", quant à ta tentative d'analyse je la trouve pertinente, comme la plupart de tes réflexions. coran - L'incohérence interne du Coran  - Page 6 3022355415

@Sael a écrit:

Quant à moi, je m'abstiens d'en dire la même chose; sinon la belle Grit va s'amener comme un orang-outan pour nous qualifier d'enfants se partageant des calembours "copieux".

GRIT

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http://www.forumreligion.com/t3726p225-tous-les-musulmans-iront-en-enfer-d-apres-le-coran
grit a écrit:Il n'y a pas que les musulmans qui  vont en enfer, mais tous les humains mortels car l'enfer est le nom en GREC de la tombe commune à TOUS LES HOMMES !
Romains 5: 12

Job, à cause de ses souffrances a prié Dieu pour aller dans "l'enfer" BIBLIQUE pour ne plus souffrir de sa maladie = Job 14: 13, 14, 15

Shéol en hébreu = Hadès en grec = Enfer en latin.

Le dieu Hades , chez les GRECS, était le dieu des enfers = lieu où reposaient les morts.

Le coran enseigne que  l'Enfer est un "lieu de repos" où les morts dorment en attendant la résurrection dans le Paradis terrestre = sourate 36: 52 = 7: 41 à 43

Mais Dieu a promis que la "MORT ET L'ENFER seront détruit après le Jugement dernier = Apocalypse 20: 11 à 15

Amicalement 

GRIT

GRIT
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SAEL a écrit:@Tumadir a écrit:



@Sael

Wa aaleykom salam

La vidéo est adressée à "Séleucide", quant à ta tentative d'analyse je la trouve pertinente, comme la plupart de tes réflexions. coran - L'incohérence interne du Coran  - Page 6 3022355415

@Sael a écrit:

Quant à moi, je m'abstiens d'en dire la même chose; sinon la belle Grit va s'amener comme un orang-outan pour nous qualifier d'enfants se partageant des calembours "copieux".
GRIT a écrit:Et comme toi , je m'abstiens de palabrer sur des sujets qui ne mènent à rien car ils ne sont que du bla bla bla HUMAIN ET INUTILE !

Que le coran soit une compilation ordonnée/désordonnée par X ou Y , cela ne change RIEN quand à sa valeur !  Il est ce qu'il EST = sourate 16: 64   =  27: 76   =  81: 27  = un livre écrit en Arabe POUR LES ARABES de la Mecque idolâtres  = sourate 41: 43, 44  =  42: 7

Amicalement  !

SAEL

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@Yassine -@Séleucide - @Tumadir - @Salah Ed-Dine- @Averroès - @Wahrani - @Stiten

Pour un but fondamental, lisez-moi ce rasm:

سمىىا هدا العطر قىل حعله فى قرورىه

SAEL

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@Ashtar aussi - @Grit - @Credo - @Iskander et à tous mes amis forumeurs.

Quant à Credo, je te demande de te débrouiller.

Je préfère, plutôt, que vous lisiez celui-ci en essayant de le traduire en français.

سمىىا هدا العطر قىل وصعه فى قرورىه

SAEL

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@Séleucide


Parce que la hamza indiquant le sujet subissant l’action (El-Maf3ul bihi) est précédée d’une préposition de lieu « 3ala = sur) et non uniquement d’une « ya ».



Je veux dire par ce que j'ai barré  (هاء = h ) et non "hemza)

GRIT

GRIT
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SAEL a écrit:@Ashtar aussi - @Grit - @Credo - @Iskander et à tous mes amis forumeurs.

Quant à Credo, je te demande de te débrouiller.

Je préfère, plutôt, que vous lisiez celui-ci en essayant de le traduire en français.

سمىىا هدا العطر قىل وصعه فى قرورىه
grit a écrit:
Et toi, comment le traduis-tu ?

Merci !

SAEL

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@GRIT


Nous avons . . . . . ce parfum avant sa mise en boute bouteille.

SAEL

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@GRIT:



Nous avons . . . . . . . ce parfum avant sa mise en bouteille.

GRIT

GRIT
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SAEL a écrit:@GRIT:



Nous avons . . . . . . . ce parfum avant sa mise en bouteille.

La langue arabe , c'est Babel qui signifie la confusion !


Il y a plusieurs façons de parler et d'écrire l'arabe : le littéral et le dialectal. 
Dans le dialectal , il y a l'arabe marocain , algérien, tunisien, égyptien, libanais, et j'en passe ! 
TOUS  différents dans la compréhension du langage.


Cette langue est apparue à Babel , quand Jéhovah a multiplié les langues au temps de Nimrod = Genèse 11: 1 à 9


As salaam ,  ismi Youarnina ,  ana mou min .
ANA FARHAN NCHOUFIK


Bis salaama !

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Séleucide a écrit:
Yassine a écrit:Mais le Coran en soi est comme ça, tout comme il a été révélé, l'ordre des sourates l'a été, et l'ordre des versets dans chaque sourate l'a été aussi.
Tu as une approche ingénue de la question, vraiment.

Le fait est que le Coran n'a pas été rédigé selon l'ordre de révélation des sourates, et donc qu'il est en désordre chronologique complet. Le contestes-tu ?

Si oui, que fais-tu des différentes listes de chronologie de sourates proposées, ne serait-ce que par Al-Azhar ?

Si non, nous partons du postulat que le Coran n'a pas été assemblé par la manière dont il fut révélé.

D'où la question suivante : comment l'expliques-tu ?


Ça parait que tu es un intellectuel Séleucide, tu commence par ce qui n'est pas important, et en quoi ce n'est pas important? Dans le Fait que même si les verset ne sont pas dans le bon ordre, ça n'a aucune incidence sur la Vérité que ces versets donnent. C'est un coup d'épée dans l'eau, et comme ce coup d'épée est inutile, ainsi est inutile ton intervention.

Starheater

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SAEL a écrit:Le jour où cf Nasser parviendra à nous dire pourquoi il est fortement possible de dire MOU'MINUNA ou MOUMINUNA sans qu'il n'y ait de problème, et en nous apportant le "comment" de la chose, je lui tirerai chapeau même s'il me dirai que la terre est ronde quoique j'ai la preuve scientifique irréfutable qu'elle ne l'est pas.
Je te l'ai dit dans ce forum qu'il ne suffise nullement d'être agrégé en Langue arabe pour s'aventurer à  dire des faussetés sur l'oeuvre la plus phénoménale de l'univers.


Voilà ces différents rasms, Séleucide, qu'ils soient avec accentuation et points ou non, et essayes de me dire qu'est-ce-que tu remarques en s'aidant de tous les érudits de ce monde, pour me prouver, cette fois-ci à décharge, que MOU'MINUNA ET MOU     



Cher Saël, toi qui a l'esprit scientifique, considère avec soin ce que je vais te dire. La Bible parle du "Cercle de la Terre", par ailleurs, tu vois que toutes les Étoiles dans le Ciel sont ronde comme des Globes de Feu, comment peut-tu dire chose pareil en sachant que tes yeux ne voient point d'hallucination.
Si c'est le Coran qui te fait croire pareil Fantaisie, sache que Mahomet ne savis pas que la Terre était Ronde, il a mis sa connaissance dans le Coran, ceci est une erreur flagrante, te t'Y laisse pas prendre devant la Vérité que tu vois de tes propre yeux.

Starheater Détruis les Étoiles.

Starheater

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