Enquête: Au Pakistan, les jeunes préfèrent la charia à la démocratie - News Vivre: Société - 24heures.ch
Les Pakistanais doivent élire le 11 mai leurs députés au parlement
national et aux assemblées provinciales dans les premières élections à
intervenir après qu'un gouvernement civil eut complété son mandat de
cinq ans sans élections, d'où l'importance de ce scrutin pour la
transition démocratique dans ce pays abonné au coups d'Etat.Mais
une étude du British Council parue mercredi et réalisée auprès de 5271
personnes âgées entre 18 et 29 ans, montre le pessimisme de la jeunesse
pakistanaise.
Quelque 96% des sondés affirment que le Pakistan est
actuellement sur la mauvaise voie. Et à la question de savoir quel est
le meilleur régime politique pour le pays, 38% des répondants favorisent
un pouvoir fondé sur l'application de la loi islamique, un tiers
préfèrent un gouvernement militaire et seulement 29% optent pour la
démocratie.
«En tant que musulman, je préfère le califat. La
démocratie, c'est l'équivalent de donner son pays et sa foi aux
Etats-Unis», affirme Muhammad Usama, un des jeunes cités dans l'étude.
«Le
Pakistan se développait et progressait sous la dictature. Maintenant,
il n'y a pas d'électricité, de gaz naturel, d'eau potable et encore plus
important, il n'y a plus de loi dans ce pays», déplore Waqas Razzaq, un
étudiant aussi cité dans ce rapport.
Le Parti du peuple
pakistanais (PPP) avait remporté les dernières élections générales en
2008, mais son bilan au pouvoir est entaché par des accusations de
fraude, la montée en puissance des talibans et l'aggravation de la crise
énergétique qui plombe le secteur industriel et affecte la vie de
millions de gens au quotidien.
Le général à la retraite Pervez
Musharraf, à la tête du Pakistan de 1999 à 2008, est rentré récemment
d'exil pour participer aux élections, espérant capitaliser sur la
nostalgie de son régime et le désenchantement face au gouvernement civil
sortant.
Pervez Musharraf n'a pas été en mesure d'organiser de
grands rassemblements depuis son retour au Pakistan. Et les analystes
doutent de sa capacité à rebondir lors de ces élections. Les Pakistanais doivent élire le 11 mai leurs députés au parlement
national et aux assemblées provinciales dans les premières élections à
intervenir après qu'un gouvernement civil eut complété son mandat de
cinq ans sans élections, d'où l'importance de ce scrutin pour la
transition démocratique dans ce pays abonné au coups d'Etat.Mais
une étude du British Council parue mercredi et réalisée auprès de 5271
personnes âgées entre 18 et 29 ans, montre le pessimisme de la jeunesse
pakistanaise.
Quelque 96% des sondés affirment que le Pakistan est
actuellement sur la mauvaise voie. Et à la question de savoir quel est
le meilleur régime politique pour le pays, 38% des répondants favorisent
un pouvoir fondé sur l'application de la loi islamique, un tiers
préfèrent un gouvernement militaire et seulement 29% optent pour la
démocratie.
«En tant que musulman, je préfère le califat. La
démocratie, c'est l'équivalent de donner son pays et sa foi aux
Etats-Unis», affirme Muhammad Usama, un des jeunes cités dans l'étude.
«Le
Pakistan se développait et progressait sous la dictature. Maintenant,
il n'y a pas d'électricité, de gaz naturel, d'eau potable et encore plus
important, il n'y a plus de loi dans ce pays», déplore Waqas Razzaq, un
étudiant aussi cité dans ce rapport.
Le Parti du peuple
pakistanais (PPP) avait remporté les dernières élections générales en
2008, mais son bilan au pouvoir est entaché par des accusations de
fraude, la montée en puissance des talibans et l'aggravation de la crise
énergétique qui plombe le secteur industriel et affecte la vie de
millions de gens au quotidien.
Le général à la retraite Pervez
Musharraf, à la tête du Pakistan de 1999 à 2008, est rentré récemment
d'exil pour participer aux élections, espérant capitaliser sur la
nostalgie de son régime et le désenchantement face au gouvernement civil
sortant.
Pervez Musharraf n'a pas été en mesure d'organiser de
grands rassemblements depuis son retour au Pakistan. Et les analystes
doutent de sa capacité à rebondir lors de ces élections.
Les Pakistanais doivent élire le 11 mai leurs députés au parlement
national et aux assemblées provinciales dans les premières élections à
intervenir après qu'un gouvernement civil eut complété son mandat de
cinq ans sans élections, d'où l'importance de ce scrutin pour la
transition démocratique dans ce pays abonné au coups d'Etat.Mais
une étude du British Council parue mercredi et réalisée auprès de 5271
personnes âgées entre 18 et 29 ans, montre le pessimisme de la jeunesse
pakistanaise.
Quelque 96% des sondés affirment que le Pakistan est
actuellement sur la mauvaise voie. Et à la question de savoir quel est
le meilleur régime politique pour le pays, 38% des répondants favorisent
un pouvoir fondé sur l'application de la loi islamique, un tiers
préfèrent un gouvernement militaire et seulement 29% optent pour la
démocratie.
«En tant que musulman, je préfère le califat. La
démocratie, c'est l'équivalent de donner son pays et sa foi aux
Etats-Unis», affirme Muhammad Usama, un des jeunes cités dans l'étude.
«Le
Pakistan se développait et progressait sous la dictature. Maintenant,
il n'y a pas d'électricité, de gaz naturel, d'eau potable et encore plus
important, il n'y a plus de loi dans ce pays», déplore Waqas Razzaq, un
étudiant aussi cité dans ce rapport.
Le Parti du peuple
pakistanais (PPP) avait remporté les dernières élections générales en
2008, mais son bilan au pouvoir est entaché par des accusations de
fraude, la montée en puissance des talibans et l'aggravation de la crise
énergétique qui plombe le secteur industriel et affecte la vie de
millions de gens au quotidien.
Le général à la retraite Pervez
Musharraf, à la tête du Pakistan de 1999 à 2008, est rentré récemment
d'exil pour participer aux élections, espérant capitaliser sur la
nostalgie de son régime et le désenchantement face au gouvernement civil
sortant.
Pervez Musharraf n'a pas été en mesure d'organiser de
grands rassemblements depuis son retour au Pakistan. Et les analystes
doutent de sa capacité à rebondir lors de ces élections. Les Pakistanais doivent élire le 11 mai leurs députés au parlement
national et aux assemblées provinciales dans les premières élections à
intervenir après qu'un gouvernement civil eut complété son mandat de
cinq ans sans élections, d'où l'importance de ce scrutin pour la
transition démocratique dans ce pays abonné au coups d'Etat.Mais
une étude du British Council parue mercredi et réalisée auprès de 5271
personnes âgées entre 18 et 29 ans, montre le pessimisme de la jeunesse
pakistanaise.
Quelque 96% des sondés affirment que le Pakistan est
actuellement sur la mauvaise voie. Et à la question de savoir quel est
le meilleur régime politique pour le pays, 38% des répondants favorisent
un pouvoir fondé sur l'application de la loi islamique, un tiers
préfèrent un gouvernement militaire et seulement 29% optent pour la
démocratie.
«En tant que musulman, je préfère le califat. La
démocratie, c'est l'équivalent de donner son pays et sa foi aux
Etats-Unis», affirme Muhammad Usama, un des jeunes cités dans l'étude.
«Le
Pakistan se développait et progressait sous la dictature. Maintenant,
il n'y a pas d'électricité, de gaz naturel, d'eau potable et encore plus
important, il n'y a plus de loi dans ce pays», déplore Waqas Razzaq, un
étudiant aussi cité dans ce rapport.
Le Parti du peuple
pakistanais (PPP) avait remporté les dernières élections générales en
2008, mais son bilan au pouvoir est entaché par des accusations de
fraude, la montée en puissance des talibans et l'aggravation de la crise
énergétique qui plombe le secteur industriel et affecte la vie de
millions de gens au quotidien.
Le général à la retraite Pervez
Musharraf, à la tête du Pakistan de 1999 à 2008, est rentré récemment
d'exil pour participer aux élections, espérant capitaliser sur la
nostalgie de son régime et le désenchantement face au gouvernement civil
sortant.
Pervez Musharraf n'a pas été en mesure d'organiser de
grands rassemblements depuis son retour au Pakistan. Et les analystes
doutent de sa capacité à rebondir lors de ces élections.