Le mot de Jésus en hébreux "YESHUA" signifie: "celui que Dieu a sauvé". Nous lisons dans l'Evangile de Jean, 7/versets 32-36, que les juifs voulurent capturer le Messie sans pour autant y parvenir et Jésus leur disait (avant sa prétendue CRUCI-FICTION): "Vous me chercherez, mais vous ne pourrez venir là où je vais" (Jésus savait que Dieu allait l'élever à Lui et le sauver de ses ennemis).
Les juifs ne comprenaient pas ses paroles: "Où faut-il qu'il aille pour que nous ne le retrouvions plus" ô Jésus avait dit à ses disciples: "Vous m'abandonnerez tous, mais Dieu ne m'abandonnera jamais" (Evangile de Jean, 16/versets 32-33 et 8/verset 29). Dieu lui avait promis: " Qu'il ne sera jamais livré à la fureur de ses ennemis, que l'Eternel le gardera et lui conservera la vie" (c'est Jean chap. 13/verset 18 qui cite le psaume 41) ; "Qu'aucun mal ne l'atteindra, car Ses Anges le protégeront de peur que son pied ne heurte une pierre…" (C'est Luc, chap. 4/versets 9-11 qui cite le psaume 91).
Ces merveilleuses prophéties ne peuvent jamais concerner un homme qui meurt crucifié sur une croix et qui, désespérant de la Miséricorde divine, dit: "O mon Dieu, pourquoi m'as-Tu abandonné ?". Les chrétiens prétendent que ce "sacrifice" est une œuvre d'amour, mais nous lisons dans l'Evangile de Jean, chap. 8/versets 39-45, que Jésus n'était pas d'accord avec les juifs qui voulaient le faire mourir: "Mais, maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi un homme (le mot homme existe dans l'original grec, mais il manque dans les traductions) qui vous ai dit la vérité que j'ai entendue de Dieu. Si votre père était Dieu, vous m'aimeriez (……) car c'est Lui qui m'a envoyé. Le père dont vous êtes issus c'est le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement".
Faire mourir Jésus est donc une œuvre du diable: elle n'est pas agréée par Dieu et elle ne peut pas expier les crimes des humains. Dieu dit à Ezéchiel, 18/versets 20-21: "La justice du juste lui sera imputée et la méchanceté du méchant pèsera sur lui" et JESUS le confirme (Matthieu 25/Versets 34 à 46). Le sublime Coran le rappelle: "Quiconque fait un bien fut-ce du poids d'un atome le verra, et quiconque fait le mal fût-ce le poids d'un atome le verra". (Sourate 99/versets 7-8).
Les juifs ne comprenaient pas ses paroles: "Où faut-il qu'il aille pour que nous ne le retrouvions plus" ô Jésus avait dit à ses disciples: "Vous m'abandonnerez tous, mais Dieu ne m'abandonnera jamais" (Evangile de Jean, 16/versets 32-33 et 8/verset 29). Dieu lui avait promis: " Qu'il ne sera jamais livré à la fureur de ses ennemis, que l'Eternel le gardera et lui conservera la vie" (c'est Jean chap. 13/verset 18 qui cite le psaume 41) ; "Qu'aucun mal ne l'atteindra, car Ses Anges le protégeront de peur que son pied ne heurte une pierre…" (C'est Luc, chap. 4/versets 9-11 qui cite le psaume 91).
Ces merveilleuses prophéties ne peuvent jamais concerner un homme qui meurt crucifié sur une croix et qui, désespérant de la Miséricorde divine, dit: "O mon Dieu, pourquoi m'as-Tu abandonné ?". Les chrétiens prétendent que ce "sacrifice" est une œuvre d'amour, mais nous lisons dans l'Evangile de Jean, chap. 8/versets 39-45, que Jésus n'était pas d'accord avec les juifs qui voulaient le faire mourir: "Mais, maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi un homme (le mot homme existe dans l'original grec, mais il manque dans les traductions) qui vous ai dit la vérité que j'ai entendue de Dieu. Si votre père était Dieu, vous m'aimeriez (……) car c'est Lui qui m'a envoyé. Le père dont vous êtes issus c'est le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement".
Faire mourir Jésus est donc une œuvre du diable: elle n'est pas agréée par Dieu et elle ne peut pas expier les crimes des humains. Dieu dit à Ezéchiel, 18/versets 20-21: "La justice du juste lui sera imputée et la méchanceté du méchant pèsera sur lui" et JESUS le confirme (Matthieu 25/Versets 34 à 46). Le sublime Coran le rappelle: "Quiconque fait un bien fut-ce du poids d'un atome le verra, et quiconque fait le mal fût-ce le poids d'un atome le verra". (Sourate 99/versets 7-8).