Ibn Taïmiya a dit :
Il y a trois étapes pour avoir accès aux « Écritures saintes » :
Premièrement : il faut prouver l’affiliation des textes aux différents prophètes.
Deuxièmement : la traduction doit être fidèle que ce soit en arabe ou dans la langue des personnes intéressées comme le Romain et le syriaque. Il faut savoir que Moïse, David, Jésus, et les prophètes des tribus d’Israël en général parlaient l’Hébreu. Prétendre que le Messie était d’origine syriaque ou romaine, c’est commettre une erreur.
Troisièmement : il faut veiller à la bonne interprétation du texte à traduire et à sa bonne compréhension.
Ainsi, la Thora est descendue uniquement en Hébreu. Moïse (u) ne parlait que l’Hébreu. De la même manière, le Messie a communiqué la Thora et l’Évangile uniquement en Hébreu. Les Livres sacrés en général ont été révélés par Dieu en une seule langue. Il n’existe sur terre aucune bible (Thora et Évangile) traduite en Arabe qui remonterait de l’époque des apôtres. Quatre apôtres ont retranscrit les Évangiles : deux d’entre eux ont rencontré Jésus (Mathieu et Jean) et les deux autres ne l’ont jamais vu (Marc et Luc). Celles-ci ont été retranscrites après sa mort un peu comme les Hadith du Prophète. Les chrétiens prétendent pourtant que les Évangiles ont été d’abord écrits dans quatre langues par chacun des apôtres : l’hébreu, le Romain, le Grec, et le Syriaque.Pourtant, il n’existe pas d’Évangile original. Certains d’entre eux détiennent des passages inexistants dans les autres, comme le Verset : « Baptisez les hommes au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. »Mathieu; 28.19
Bien qu’il soit le premier fondement de leur dogme, ce Verset se trouve uniquement dans l’Évangile de Mathieu. En outre, les chrétiens assument que la Bible a été traduite en soixante-douze langues, mais nous allons démontrer ultérieurement si Dieu le veut, que cette légende est à la fois un mensonge et à la fois incohérente.
Il est notoire qu’avant notre époque et toujours encore, les Écritures saintes sont traduites de l’Hébreu à l’Arabe ou du Syriaque, du Romain, et du Grec à l’Arabe, etc.
Dès lors, il n’est pas possible de savoir pour une copie quelconque si celle-ci a été traduite en Arabe après l’époque des apôtres ou bien si elle provient de l’original qui était entre les mains des apôtres, en admettant bien sûr qu’ils l’aient traduite en Arabe (ce qui n’est pas le cas). Il n’est matériellement pas possible de rassembler toutes les copies arabes (depuis les premiers siècles) pour les comparer les unes aux autres. J’en ai moi-même eu en ma possession plusieurs exemplaires dont la traduction différencie énormément de l’une à l’autre au point d’être pour le moins suspectes, pour certaines. J’ai eu sous les yeux plusieurs versions des Psaumes traduites en Arabe présentant entre elles de différences telles qu’elles sont tout simplement incohérentes. Elles accusent ainsi un manque de crédibilité comme elles sont l’aveu que la main de l’homme les a altérées (bien qu’il ne soit pas possible de prétendre qu’elles le soient toutes ou tout au moins qu’elles aient le même degré de falsification). J’ai feuilleté certaines copies de la Thora en Arabe dont la traduction est contestée par un nombre non négligeable de chrétiens.
Il y a trois étapes pour avoir accès aux « Écritures saintes » :
Premièrement : il faut prouver l’affiliation des textes aux différents prophètes.
Deuxièmement : la traduction doit être fidèle que ce soit en arabe ou dans la langue des personnes intéressées comme le Romain et le syriaque. Il faut savoir que Moïse, David, Jésus, et les prophètes des tribus d’Israël en général parlaient l’Hébreu. Prétendre que le Messie était d’origine syriaque ou romaine, c’est commettre une erreur.
Troisièmement : il faut veiller à la bonne interprétation du texte à traduire et à sa bonne compréhension.
Ainsi, la Thora est descendue uniquement en Hébreu. Moïse (u) ne parlait que l’Hébreu. De la même manière, le Messie a communiqué la Thora et l’Évangile uniquement en Hébreu. Les Livres sacrés en général ont été révélés par Dieu en une seule langue. Il n’existe sur terre aucune bible (Thora et Évangile) traduite en Arabe qui remonterait de l’époque des apôtres. Quatre apôtres ont retranscrit les Évangiles : deux d’entre eux ont rencontré Jésus (Mathieu et Jean) et les deux autres ne l’ont jamais vu (Marc et Luc). Celles-ci ont été retranscrites après sa mort un peu comme les Hadith du Prophète. Les chrétiens prétendent pourtant que les Évangiles ont été d’abord écrits dans quatre langues par chacun des apôtres : l’hébreu, le Romain, le Grec, et le Syriaque.Pourtant, il n’existe pas d’Évangile original. Certains d’entre eux détiennent des passages inexistants dans les autres, comme le Verset : « Baptisez les hommes au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. »Mathieu; 28.19
Bien qu’il soit le premier fondement de leur dogme, ce Verset se trouve uniquement dans l’Évangile de Mathieu. En outre, les chrétiens assument que la Bible a été traduite en soixante-douze langues, mais nous allons démontrer ultérieurement si Dieu le veut, que cette légende est à la fois un mensonge et à la fois incohérente.
Il est notoire qu’avant notre époque et toujours encore, les Écritures saintes sont traduites de l’Hébreu à l’Arabe ou du Syriaque, du Romain, et du Grec à l’Arabe, etc.
Dès lors, il n’est pas possible de savoir pour une copie quelconque si celle-ci a été traduite en Arabe après l’époque des apôtres ou bien si elle provient de l’original qui était entre les mains des apôtres, en admettant bien sûr qu’ils l’aient traduite en Arabe (ce qui n’est pas le cas). Il n’est matériellement pas possible de rassembler toutes les copies arabes (depuis les premiers siècles) pour les comparer les unes aux autres. J’en ai moi-même eu en ma possession plusieurs exemplaires dont la traduction différencie énormément de l’une à l’autre au point d’être pour le moins suspectes, pour certaines. J’ai eu sous les yeux plusieurs versions des Psaumes traduites en Arabe présentant entre elles de différences telles qu’elles sont tout simplement incohérentes. Elles accusent ainsi un manque de crédibilité comme elles sont l’aveu que la main de l’homme les a altérées (bien qu’il ne soit pas possible de prétendre qu’elles le soient toutes ou tout au moins qu’elles aient le même degré de falsification). J’ai feuilleté certaines copies de la Thora en Arabe dont la traduction est contestée par un nombre non négligeable de chrétiens.
Dernière édition par rachid le Jeu 14 Juil - 19:26, édité 1 fois