An 64, Rome est incendiée
L'empereur Néron n'a que 17 ans lorsqu'en l'an 54, sa mère Agrippine l'installe sur le trône, elle sera assassinée en l'an 59 sur l'instigation de son propre fils.
En l'an 64, Rome est ravagée par un terrible incendie, une légende tenace a depuis lors fait de Néron, qu'on aurait vu déclamer des vers au milieu des flammes, le responsable de cette catastrophe. Les sources latines ne permettent cependant pas d'établir sa culpabilité.
L'incendie se déclara dans la seonde quinzaine du mois de juillet de l'an 64,, il ravagea Rome, détruisant ou endomageant dix des quatorze régions institués par Auguste. Il commença dans la nuit du 18 au 19 juillet 64, et dura neuf jours. L'étendu du désastre marqua les esprits.
Néron se trouvait à la station balnéaire d'Antium, il n'en serait rentré que deux ou trois jours après le début de l'incendie, au moment où on l'avertit des menaces que le feu faisait peser sur son palais.
Il prit aussitôt des mesures, il offrit à la foule des sans-abri un refuge dans les zones préservées, il fit construire des centres d'hébergements d'urgence.
Qu'un incendie ait éclaté à Rome en plein été, au moment où la chaleur et la sécheresse ne peuvent que favorisé la propagation des flammes, sous l'effet du sirocco, il n'y a rien de suprenant, la première idée en est de l'attribuer à de malheureuses circonstances.
Les chrétiens accusés
Les mesures d'urgence prises par Néron pour soulager les souffrances des populations sinistrées, les gigantesques travaux de déblaiement, le plan d'urbanisme et enfin les cérémonies expiatoires envers les dieux romains ne purent faire cesser les rumeurs malveillantes. Alors, sans doute conseillé par son épouse Poppée, l'empereur crut devoir se laver des soupçons en accusant les adeptes du christianisme.
C'est ainsi que bon nombre de chrétiens furent sacrifiés, dans des spectacles effroyables, qui se déroulaient souvent de nuit et où l'on brulait des suppliciés transformés en torches vivantes. La réputation de l'empereur, quant à elle, est restée entachée des lueurs sanglantes de ces évènements.
L'empereur Néron n'a que 17 ans lorsqu'en l'an 54, sa mère Agrippine l'installe sur le trône, elle sera assassinée en l'an 59 sur l'instigation de son propre fils.
En l'an 64, Rome est ravagée par un terrible incendie, une légende tenace a depuis lors fait de Néron, qu'on aurait vu déclamer des vers au milieu des flammes, le responsable de cette catastrophe. Les sources latines ne permettent cependant pas d'établir sa culpabilité.
L'incendie se déclara dans la seonde quinzaine du mois de juillet de l'an 64,, il ravagea Rome, détruisant ou endomageant dix des quatorze régions institués par Auguste. Il commença dans la nuit du 18 au 19 juillet 64, et dura neuf jours. L'étendu du désastre marqua les esprits.
Néron se trouvait à la station balnéaire d'Antium, il n'en serait rentré que deux ou trois jours après le début de l'incendie, au moment où on l'avertit des menaces que le feu faisait peser sur son palais.
Il prit aussitôt des mesures, il offrit à la foule des sans-abri un refuge dans les zones préservées, il fit construire des centres d'hébergements d'urgence.
Qu'un incendie ait éclaté à Rome en plein été, au moment où la chaleur et la sécheresse ne peuvent que favorisé la propagation des flammes, sous l'effet du sirocco, il n'y a rien de suprenant, la première idée en est de l'attribuer à de malheureuses circonstances.
Les chrétiens accusés
Les mesures d'urgence prises par Néron pour soulager les souffrances des populations sinistrées, les gigantesques travaux de déblaiement, le plan d'urbanisme et enfin les cérémonies expiatoires envers les dieux romains ne purent faire cesser les rumeurs malveillantes. Alors, sans doute conseillé par son épouse Poppée, l'empereur crut devoir se laver des soupçons en accusant les adeptes du christianisme.
C'est ainsi que bon nombre de chrétiens furent sacrifiés, dans des spectacles effroyables, qui se déroulaient souvent de nuit et où l'on brulait des suppliciés transformés en torches vivantes. La réputation de l'empereur, quant à elle, est restée entachée des lueurs sanglantes de ces évènements.