Le Roi Arthur a écrit:NON, jésus ne demande pas qu'on utilise la force physique, la violence pour convaincre. Il ne l'a lui-même pas utiliser, alors je ne vois pas pourquoi il l'aurait conseillée
Arthur
Faux : le mot
anagkazo a été utilisé dans le sens de forcer quelqu'un physiquement
exemple comment Paul avait forcé les Chrétiens à blasphémer
Actes 26.11
je les ai souvent châtiés dans toutes les synagogues,
et je les forçais (anagkazo)
à blasphémer. Dans mes excès de fureur contre eux, je les persécutais même jusque dans les villes étrangères.
De même, Paul a été contraint de faire appel à César pour ne pas demeurer en prison :
Actes 28
17 Au bout de trois jours, Paul convoqua les principaux des Juifs; et, quand ils furent réunis, il leur adressa ces paroles: Hommes frères, sans avoir rien fait contre le peuple ni contre les coutumes de nos pères, j'ai été mis en prison à Jérusalem et livré de là entre les mains des Romains.
18 Après m'avoir interrogé, ils voulaient me relâcher, parce qu'il n'y avait en moi rien qui méritât la mort.
19 Mais les Juifs s'y opposèrent,
et j'ai été forcé (anagkazo)
d'en appeler à César, n'ayant du reste aucun dessein d'accuser ma nation.
Nous voyons bien que la signification du mot
anagkazo peut très bien s'appliquer à une réel contrainte.
Ce que beaucoup de gens ne savent pas c'est que les plus grands savant de la Chrétienté
on dit que le verset de cette parabole ordonnent aux chrétiens d'utiliser la force physique pour convertir tout le monde au Christianisme
Avec Dieu, il s'agit d'accueillir le don de son Amour qui ne peut se donner qu'à un coeur qui s'ouvre par amour et pas par peur. Ouvrir un coeur avec la peur, c'est forcer ce coeur, c'est le violer. Un coeur qui serait violer par l'Amour de Dieu, serait terriblement blessé et malheureux
Pourquoi l'Eglise ne forcerait-elle pas au retour les enfants qu'elle a perdus, puisque ces enfants perdus forcent les autres à périr?
Si au moyen de lois terribles, mais salutaires, elle retrouve ceux qui n'ont été que séduits, cette pieuse mère leur réserve de plus doux embrassements et se réjouit de ceux-ci beaucoup plus que de ceux qu'elle n'avait jamais perdus
Le devoir du pasteur n'est-il pas de ramener à la bergerie du maître, non-seulemen les brebis violemment arrachées mais même celles que des mains douces et caressantes ont enlevées au troupeau !!
et si elles viennent a résister, ne doit-il pas employer les coups et même les douleurs?