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Les ajouts et suppressions de chapitres dans la Bible par les théologiens chrétiens et la faiblesse de ce livre (Rahmatu Llâh Al Hindî)

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hakimuslim

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Salam aleykoum

Al Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit :



« Cher lecteur, sache que 8 livres de l'Ancien Testament étaient rejetés par les Chrétiens comme apocryphes jusqu'en
324 de l'ère chrétienne. Il s'agit de :







1. Esther,


2. Baruch,


3. Tobie,


4. Judith,


5. La
Sagesse,



6. L'Ecclésiastique,


7 et 8. les deux livres des Machabées.






En
325, l'Empereur Constantin convoqua un Concile à Nicée pour émettre une
décision concernant ces livres, et après la
plus mûre considération, il fut jugé qu'il fallait admettre le livre
de Judith tandis que les autres livres restèrent à l'état d'apocryphes.
Ce fait résulte de l'introduction dont Jérôme a fait
précéder le livre. Il y eut ensuite le Concile de Laodicée qui se
réunit en l'an 364, et les théologiens qui y assistèrent admirent les
conclusions du Concile antécédent à l'égard du livre de
Judith, et y ajoutèrent le livre d'Esther, décision qui fut notifié
par des lettres encycliques.




En
367 il y eut le Concile de Carthage, auquel assistèrent 127 des plus
grands théologiens et des plus distingués docteurs
de l'époque, parmi lesquels se trouvait l'illustre Augustin, qui
passe chez tous les chrétiens pour le plus éminent prélat de son temps.
Ce Concile admit les décisions des deux précédents, et, en
outre, reconnut la canonicité des autres livres, mais considéra le
livre de Baruch comme faisant partie du livre de Jérémie, parce que
Baruch était comme un vicaire de Jérémie ; par conséquent ce
livre en fut pas porté séparément dans la liste des livres
canoniques.




Il
y eut ensuite trois autres Conciles, à Trullo, à Florence et à Trente,
qui confirmèrent les décisions des trois
Conciles précédents, et ainsi ces livres furent reconnus comme
canoniques par la généralité des chrétiens pendant 1200 ans. Vint
ensuite la secte protestante qui rejeta les décisions des Conciles
à l'égard des livres de Baruch, Tobie, Judith, La Sagesse,
L'Ecclésiastique et les Macchabées, et décida que ces livres devaient
être retirés de la liste des livres canoniques ; et du livre
d'Esther, les 9 premiers chapitres et 3 versets du 10ème chapitre
furent admis comme canoniques, et 10 versets de ce chapitre, ainsi que 6
chapitres restants, furent rejetés comme apocryphes.
Pour cela, les protestants se basent sur cela :







1. Sur ce que l'historien Eusèbe a dit dans le chapitre 22 du 4ème livre de son histoire comme quoi ces
livres sont altérés, particulièrement les deux livres des Macchabées ;



2.
Sur ce que les hébreux ne les considèrent pas comme inspirés. Cependant
l'Église catholique,
qui compte beaucoup plus de partisans que le protestantisme, admet
ces livres et croit à leur inspiration. Ils font partie de la Vulgate,
qui est tenue en grande estime par les catholiques, et
forme la base de leur religion et de leur croyance.







Comme
on le voit, des livres qui, pendant 324 ans, avaient été considérés
comme corrompus et non divinement inspirés,
furent ensuite déclarés canoniques par les nombreux Conciles qui se
sont succédés, et admis au nombre des livres bien inspirés par des
milliers de théologiens chrétiens ainsi que par l'Église
catholique qui, jusqu'à ce jour, les conserve dans son canon. Cela
démontre que l'opinion des premiers chrétiens n'a aucune valeur. Il y a
là d'ailleurs un argument d'une importance capitale pour
les adversaires du christianisme. Les premiers chrétiens admettant
comme canoniques des livres dont le texte est altéré et peu authentique
ont donné preuve d'une telle faiblesse de sens critique
qu'il est alors permis de supposer que les Évangiles, acceptés par
eux et transmis à leur postérité, ne sont que les ouvrages apocryphes
qui avaient cours en leur temps. Les chrétiens des
premiers siècles croyaient en effet à l'authenticité de la version
grecque et à la corruption du texte hébraïque, qui aurait été falsifié
selon eux en 130 de l'ère chrétienne par les juifs.
Malgré cela, l'Église grecque et les Églises orientales continuent
de croire à l'authenticité de ce texte.




D'autre
part, les protestants renversent la question et disent de la version
grecque ce que les grecs disent du texte
hébraïque. De son côté, l'Église romaine soutient que la Vulgate
latine est le seul texte digne de foi, ce qui est démontré comme étant
faux par les protestants. Voici ce que dit Horne dans son
introduction : « De nombreuses altérations ont été introduites dans la version latine du 5ème au 15ème siècle. » ; et plus loin :
« Il ne faut pas oublier qu'il n'y
a point de texte aussi corrompu que celui de la version latine. Les
copistes ont souvent transposé des versets entiers et
confondu les notes marginales avec le texte. »
Si une
traduction, aussi généralement connue et adoptée que la version latine, a
pu subir de telles altérations, comment espérer
que le texte original, qui n'était pas aussi connu, se soit conservé
dans son intégralité ? Il est bien probable que ceux qui ont falsifié
la traduction aient, pour se garantir, falsifié aussi
l'original.





Enfin,
je ne comprends pas que les théologiens protestants n'aient rejeté
qu'une partie du livre d'Esther alors que ce
livre ne mentionne pas une seule fois le Nom de Dieu et qu'il ne
fait aucune allusion à Ses Attributs et à aucune de Ses lois. De plus,
l'auteur en est absolument inconnu et les commentateurs de
l'Ancien Testament l'attribuent, uniquement par simple supposition, à
l'un des théologiens du Temple qui se sont succédés d'Esdras à Siméon.
Philon l'attribue à Joachim fils de Josué, qui
retourna à Babylone après la captivité, et Augustin à Esdras
lui-même. D'autres encore l'attribuent à Mardochée ; quelques-uns disent
qu'il fut composé à la fois par Mardochée et par Esther. On
lit aussi dans le Catholic Herald : « Méliton
n'a pas porté ce livre dans sa liste des livres canoniques dont parle
Eusèbe, Grégoire de Nazianze
donne dans ses poèmes les noms des livres authentiques de l'Écriture
mais ne fait aucune mention de celui d'Esther ; Amphiloque (m.396 E.C),
dans les vers adressés à Séléucus, semble douter de
l'authenticité de ce livre ; Athanase, quant à lui, dans sa 39ème
Épître, parle avec dédain du livre d'Esther. »
. »




Source : Izhar Ul Haqq de l'Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde).

http://www.at-tawhid.net/article-les-ajouts-et-suppressions-de-chapitres-dans-la-bible-par-les-theologiens-chretiens-et-la-faiblesse--90905283.html

vulgate

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hakimuslim a écrit:Salam aleykoum

Al Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit :

« Cher lecteur, sache que 8 livres de l'Ancien Testament étaient rejetés par les Chrétiens comme apocryphes jusqu'en
324 de l'ère chrétienne. Il s'agit de :

1. Esther,
2. Baruch,
3. Tobie,
4. Judith,
5. La
Sagesse,
6. L'Ecclésiastique,
7 et 8. les deux livres des Machabées.
Le livre d'Esther n'a jamais été considéré comme un apocryphe. Ce sont les ajouts grecs apportés à ce livre par les traducteurs de la Septante qui sont apocryphes !

Ceux qui prétendent que le livre d’Esther n’est ni inspiré ni utile, qu’il n’est rien d’autre qu’une belle légende, fondent leur affirmation sur le fait que le nom de Dieu n’y figure pas. S’il est vrai que le nom de Dieu n’est pas cité dans ce livre, il se trouve néanmoins à quatre reprises dans le texte hébreu sous forme d'un acrostiche du Tétragramme, les lettres initiales de quatre mots successifs, à savoir YHWH (hébreu : %&%*). Ces initiales sont particulièrement accentuées dans au moins trois manuscrits hébreux anciens, et elles sont également marquées en rouge dans la massore. En outre, en Esther 7:5 il y a apparemment un acrostiche formé par la déclaration divine : "Je serai" !

D’un bout à l’autre, le livre souligne avec force que Mardochée accepta la loi de YHWH et y obéit. De nombreux faits établissent l’authenticité et la véracité du livre. Il était accepté par les Juifs qui lui donnèrent tout simplement le nom de Meghillah, qui signifie "rouleau, volume ". Il a été inclus dans le canon hébraïque par Ezdras, qui aurait certainement rejeté une fable. Aujourd’hui encore, les Juifs célèbrent la fête des Pourim, en souvenir de la grande délivrance opérée au temps d’Esther. Les us et coutumes des Perses décrits dans le livre le sont avec l’accent de la vérité et ils sont en accord avec les faits historiques connus et les découvertes archéologiques. Par exemple, le livre d’Esther décrit avec précision comment les Perses honoraient un homme (6:8). Les fouilles archéologiques ont attesté l’exactitude, dans les moindres détails, de la description du palais royal faite dans le livre d’Esther.

Voici les notes précisant les acrostiches apparaissant dans le texte hébreu :

"il (...) et toutes les femmes rendront". L’héb. H Wekhol-Hannashim Yittenou semble être un acrostiche inversé du Tétragramme, %&%* (YHWH). On connaît trois anciens mss héb. qui présentent ici, en majuscules et sous la forme d’un acrostiche, les lettres composant le nom divin. Cela donne : &0<* /*:0%A-+& !*%. C’est le premier de quatre acrostiches du nom "YHWH" sur lequel la massore attire l’attention par des lettres rouges. Note Esther 1:20.

"que le roi, avec Hamân, vienne aujourd’hui". Il semble que ce soit le deuxième acrostiche du Tétragramme, YHWH, que l’on rencontre en Esther. En héb. : Yavô´ Hammèlèkh Wehaman Hayyôm. On connaît trois anciens manuscrits hébreux qui présentent ici, en majuscules et sous la forme d’un acrostiche, les lettres hébraïques composant le nom divin %&%* (YHWH). Cela donne : /&*% 1.%& ,-.% !&"*. La massore attire l’attention sur ce fait par des lettres rouges. Note Esther 5:4.

"Mais tout cela — rien de cela ne me satisfait". Héb. : wekhol-zèH ´énènnOU showèH lI. Ici OU correspond à W et I correspond à Y. Il semble que ce soit le troisième acrostiche du Tétragramme, %&%* (YHWH), que l’on rencontre en Esther. On connaît trois anciens mss héb. qui présentent ici, en majuscules, dans l’ordre inverse et sous la forme d’un acrostiche, les lettres hébraïques composant le nom divin %&%*. Cela donne : *- %&: &00*! %'A-+&. La massore attire l’attention sur ce fait par des lettres rouges. Note Esther 5:13.

"ce, et où est-il, celui ?" Il semble que ce soit un acrostiche de cette parole divine : "Je serai." Cet acrostiche est formé par les lettres finales %*%! (´HYH). C’est ce qu’indiquent certains mss hébreu en utilisant des majuscules, ce qui donne : %'A*!& %' !&%. Note Esther 7:5.

"que le mal avait été décidé contre lui". Dans cet acrostiche, kI-kholthaH ´élaW hara`aH (héb.), le I correspond à Y. Il semble que ce soit le quatrième acrostiche du nom divin, %&%* (YHWH), que l’on rencontre en Esther. Il est formé de la dernière lettre des quatre mots héb. lus de droite à gauche. Cela donne : %39% &*-! %<-+A*+. Note Esther 7:7.

homme

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Habitué
Habitué

hakimuslim a écrit:Salam aleykoum

Al Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit :



« Cher lecteur, sache que 8 livres de l'Ancien Testament étaient rejetés par les Chrétiens comme apocryphes jusqu'en
324 de l'ère chrétienne. Il s'agit de :







1. Esther,


2. Baruch,


3. Tobie,


4. Judith,


5. La
Sagesse,



6. L'Ecclésiastique,


7 et 8. les deux livres des Machabées.






En
325, l'Empereur Constantin convoqua un Concile à Nicée pour émettre une
décision concernant ces livres, et après la
plus mûre considération, il fut jugé qu'il fallait admettre le livre
de Judith tandis que les autres livres restèrent à l'état d'apocryphes.
Ce fait résulte de l'introduction dont Jérôme a fait
précéder le livre. Il y eut ensuite le Concile de Laodicée qui se
réunit en l'an 364, et les théologiens qui y assistèrent admirent les
conclusions du Concile antécédent à l'égard du livre de
Judith, et y ajoutèrent le livre d'Esther, décision qui fut notifié
par des lettres encycliques.




En
367 il y eut le Concile de Carthage, auquel assistèrent 127 des plus
grands théologiens et des plus distingués docteurs
de l'époque, parmi lesquels se trouvait l'illustre Augustin, qui
passe chez tous les chrétiens pour le plus éminent prélat de son temps.
Ce Concile admit les décisions des deux précédents, et, en
outre, reconnut la canonicité des autres livres, mais considéra le
livre de Baruch comme faisant partie du livre de Jérémie, parce que
Baruch était comme un vicaire de Jérémie ; par conséquent ce
livre en fut pas porté séparément dans la liste des livres
canoniques.




Il
y eut ensuite trois autres Conciles, à Trullo, à Florence et à Trente,
qui confirmèrent les décisions des trois
Conciles précédents, et ainsi ces livres furent reconnus comme
canoniques par la généralité des chrétiens pendant 1200 ans. Vint
ensuite la secte protestante qui rejeta les décisions des Conciles
à l'égard des livres de Baruch, Tobie, Judith, La Sagesse,
L'Ecclésiastique et les Macchabées, et décida que ces livres devaient
être retirés de la liste des livres canoniques ; et du livre
d'Esther, les 9 premiers chapitres et 3 versets du 10ème chapitre
furent admis comme canoniques, et 10 versets de ce chapitre, ainsi que 6
chapitres restants, furent rejetés comme apocryphes.
Pour cela, les protestants se basent sur cela :







1. Sur ce que l'historien Eusèbe a dit dans le chapitre 22 du 4ème livre de son histoire comme quoi ces
livres sont altérés, particulièrement les deux livres des Macchabées ;



2.
Sur ce que les hébreux ne les considèrent pas comme inspirés. Cependant
l'Église catholique,
qui compte beaucoup plus de partisans que le protestantisme, admet
ces livres et croit à leur inspiration. Ils font partie de la Vulgate,
qui est tenue en grande estime par les catholiques, et
forme la base de leur religion et de leur croyance.







Comme
on le voit, des livres qui, pendant 324 ans, avaient été considérés
comme corrompus et non divinement inspirés,
furent ensuite déclarés canoniques par les nombreux Conciles qui se
sont succédés, et admis au nombre des livres bien inspirés par des
milliers de théologiens chrétiens ainsi que par l'Église
catholique qui, jusqu'à ce jour, les conserve dans son canon. Cela
démontre que l'opinion des premiers chrétiens n'a aucune valeur. Il y a
là d'ailleurs un argument d'une importance capitale pour
les adversaires du christianisme. Les premiers chrétiens admettant
comme canoniques des livres dont le texte est altéré et peu authentique
ont donné preuve d'une telle faiblesse de sens critique
qu'il est alors permis de supposer que les Évangiles, acceptés par
eux et transmis à leur postérité, ne sont que les ouvrages apocryphes
qui avaient cours en leur temps. Les chrétiens des
premiers siècles croyaient en effet à l'authenticité de la version
grecque et à la corruption du texte hébraïque, qui aurait été falsifié
selon eux en 130 de l'ère chrétienne par les juifs.
Malgré cela, l'Église grecque et les Églises orientales continuent
de croire à l'authenticité de ce texte.




D'autre
part, les protestants renversent la question et disent de la version
grecque ce que les grecs disent du texte
hébraïque. De son côté, l'Église romaine soutient que la Vulgate
latine est le seul texte digne de foi, ce qui est démontré comme étant
faux par les protestants. Voici ce que dit Horne dans son
introduction : « De nombreuses altérations ont été introduites dans la version latine du 5ème au 15ème siècle. » ; et plus loin :
« Il ne faut pas oublier qu'il n'y
a point de texte aussi corrompu que celui de la version latine. Les
copistes ont souvent transposé des versets entiers et
confondu les notes marginales avec le texte. »
Si une
traduction, aussi généralement connue et adoptée que la version latine, a
pu subir de telles altérations, comment espérer
que le texte original, qui n'était pas aussi connu, se soit conservé
dans son intégralité ? Il est bien probable que ceux qui ont falsifié
la traduction aient, pour se garantir, falsifié aussi
l'original.





Enfin,
je ne comprends pas que les théologiens protestants n'aient rejeté
qu'une partie du livre d'Esther alors que ce
livre ne mentionne pas une seule fois le Nom de Dieu et qu'il ne
fait aucune allusion à Ses Attributs et à aucune de Ses lois. De plus,
l'auteur en est absolument inconnu et les commentateurs de
l'Ancien Testament l'attribuent, uniquement par simple supposition, à
l'un des théologiens du Temple qui se sont succédés d'Esdras à Siméon.
Philon l'attribue à Joachim fils de Josué, qui
retourna à Babylone après la captivité, et Augustin à Esdras
lui-même. D'autres encore l'attribuent à Mardochée ; quelques-uns disent
qu'il fut composé à la fois par Mardochée et par Esther. On
lit aussi dans le Catholic Herald : « Méliton
n'a pas porté ce livre dans sa liste des livres canoniques dont parle
Eusèbe, Grégoire de Nazianze
donne dans ses poèmes les noms des livres authentiques de l'Écriture
mais ne fait aucune mention de celui d'Esther ; Amphiloque (m.396 E.C),
dans les vers adressés à Séléucus, semble douter de
l'authenticité de ce livre ; Athanase, quant à lui, dans sa 39ème
Épître, parle avec dédain du livre d'Esther. »
. »




Source : Izhar Ul Haqq de l'Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde).

http://www.at-tawhid.net/article-les-ajouts-et-suppressions-de-chapitres-dans-la-bible-par-les-theologiens-chretiens-et-la-faiblesse--90905283.html

Allah ne t a jamais demandé de mepriser la bible, au temps vers 600 ANS de Muhammad elle existait ,IL Y AVAIT DES COPIES AU TEMPS DE MUHAMMAD CE N EST PAS VIEUX;
Muhammad ne t a pas demandé de la mepriser meme au contraire pour lui c est un livre descendu.

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la Bible n'est pas descendue du ciel

le Coran ne reconnait pas la Bible

vulgate

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hakimuslim a écrit:Salam aleykoum

Al Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde) a dit :



« Cher lecteur, sache que 8 livres de l'Ancien Testament étaient rejetés par les Chrétiens comme apocryphes jusqu'en
324 de l'ère chrétienne. Il s'agit de :







1. Esther,


2. Baruch,


3. Tobie,


4. Judith,


5. La
Sagesse,



6. L'Ecclésiastique,


7 et 8. les deux livres des Machabées.






En
325, l'Empereur Constantin convoqua un Concile à Nicée pour émettre une
décision concernant ces livres, et après la
plus mûre considération, il fut jugé qu'il fallait admettre le livre
de Judith tandis que les autres livres restèrent à l'état d'apocryphes.
Ce fait résulte de l'introduction dont Jérôme a fait
précéder le livre. Il y eut ensuite le Concile de Laodicée qui se
réunit en l'an 364, et les théologiens qui y assistèrent admirent les
conclusions du Concile antécédent à l'égard du livre de
Judith, et y ajoutèrent le livre d'Esther, décision qui fut notifié
par des lettres encycliques.




En
367 il y eut le Concile de Carthage, auquel assistèrent 127 des plus
grands théologiens et des plus distingués docteurs
de l'époque, parmi lesquels se trouvait l'illustre Augustin, qui
passe chez tous les chrétiens pour le plus éminent prélat de son temps.
Ce Concile admit les décisions des deux précédents, et, en
outre, reconnut la canonicité des autres livres, mais considéra le
livre de Baruch comme faisant partie du livre de Jérémie, parce que
Baruch était comme un vicaire de Jérémie ; par conséquent ce
livre en fut pas porté séparément dans la liste des livres
canoniques.




Il
y eut ensuite trois autres Conciles, à Trullo, à Florence et à Trente,
qui confirmèrent les décisions des trois
Conciles précédents, et ainsi ces livres furent reconnus comme
canoniques par la généralité des chrétiens pendant 1200 ans. Vint
ensuite la secte protestante qui rejeta les décisions des Conciles
à l'égard des livres de Baruch, Tobie, Judith, La Sagesse,
L'Ecclésiastique et les Macchabées, et décida que ces livres devaient
être retirés de la liste des livres canoniques ; et du livre
d'Esther, les 9 premiers chapitres et 3 versets du 10ème chapitre
furent admis comme canoniques, et 10 versets de ce chapitre, ainsi que 6
chapitres restants, furent rejetés comme apocryphes.
Pour cela, les protestants se basent sur cela :







1. Sur ce que l'historien Eusèbe a dit dans le chapitre 22 du 4ème livre de son histoire comme quoi ces
livres sont altérés, particulièrement les deux livres des Macchabées ;



2.
Sur ce que les hébreux ne les considèrent pas comme inspirés. Cependant
l'Église catholique,
qui compte beaucoup plus de partisans que le protestantisme, admet
ces livres et croit à leur inspiration. Ils font partie de la Vulgate,
qui est tenue en grande estime par les catholiques, et
forme la base de leur religion et de leur croyance.







Comme
on le voit, des livres qui, pendant 324 ans, avaient été considérés
comme corrompus et non divinement inspirés,
furent ensuite déclarés canoniques par les nombreux Conciles qui se
sont succédés, et admis au nombre des livres bien inspirés par des
milliers de théologiens chrétiens ainsi que par l'Église
catholique qui, jusqu'à ce jour, les conserve dans son canon. Cela
démontre que l'opinion des premiers chrétiens n'a aucune valeur. Il y a
là d'ailleurs un argument d'une importance capitale pour
les adversaires du christianisme. Les premiers chrétiens admettant
comme canoniques des livres dont le texte est altéré et peu authentique
ont donné preuve d'une telle faiblesse de sens critique
qu'il est alors permis de supposer que les Évangiles, acceptés par
eux et transmis à leur postérité, ne sont que les ouvrages apocryphes
qui avaient cours en leur temps. Les chrétiens des
premiers siècles croyaient en effet à l'authenticité de la version
grecque et à la corruption du texte hébraïque, qui aurait été falsifié
selon eux en 130 de l'ère chrétienne par les juifs.
Malgré cela, l'Église grecque et les Églises orientales continuent
de croire à l'authenticité de ce texte.




D'autre
part, les protestants renversent la question et disent de la version
grecque ce que les grecs disent du texte
hébraïque. De son côté, l'Église romaine soutient que la Vulgate
latine est le seul texte digne de foi, ce qui est démontré comme étant
faux par les protestants. Voici ce que dit Horne dans son
introduction : « De nombreuses altérations ont été introduites dans la version latine du 5ème au 15ème siècle. » ; et plus loin :
« Il ne faut pas oublier qu'il n'y
a point de texte aussi corrompu que celui de la version latine. Les
copistes ont souvent transposé des versets entiers et
confondu les notes marginales avec le texte. »
Si une
traduction, aussi généralement connue et adoptée que la version latine, a
pu subir de telles altérations, comment espérer
que le texte original, qui n'était pas aussi connu, se soit conservé
dans son intégralité ? Il est bien probable que ceux qui ont falsifié
la traduction aient, pour se garantir, falsifié aussi
l'original.





Enfin,
je ne comprends pas que les théologiens protestants n'aient rejeté
qu'une partie du livre d'Esther alors que ce
livre ne mentionne pas une seule fois le Nom de Dieu et qu'il ne
fait aucune allusion à Ses Attributs et à aucune de Ses lois. De plus,
l'auteur en est absolument inconnu et les commentateurs de
l'Ancien Testament l'attribuent, uniquement par simple supposition, à
l'un des théologiens du Temple qui se sont succédés d'Esdras à Siméon.
Philon l'attribue à Joachim fils de Josué, qui
retourna à Babylone après la captivité, et Augustin à Esdras
lui-même. D'autres encore l'attribuent à Mardochée ; quelques-uns disent
qu'il fut composé à la fois par Mardochée et par Esther. On
lit aussi dans le Catholic Herald : « Méliton
n'a pas porté ce livre dans sa liste des livres canoniques dont parle
Eusèbe, Grégoire de Nazianze
donne dans ses poèmes les noms des livres authentiques de l'Écriture
mais ne fait aucune mention de celui d'Esther ; Amphiloque (m.396 E.C),
dans les vers adressés à Séléucus, semble douter de
l'authenticité de ce livre ; Athanase, quant à lui, dans sa 39ème
Épître, parle avec dédain du livre d'Esther. »
. »




Source : Izhar Ul Haqq de l'Imâm Muhammad Ur Rahmatu Llâh Al Hindî (qu'Allâh lui fasse miséricorde).

[url=http://www.at-tawhid.net/article-les-ajouts-et-suppressions-de-chapitres-dans-la-bible-par-les-theologiens-chretiens-et-la-faiblesse--90905283.html
]http://www.at-tawhid.net/article-les-ajouts-et-suppressions-de-chapitres-dans-la-bible-par-les-theologiens-chretiens-et-la-faiblesse--90905283.html[/quote][/url]

Bof, tout ça est truffé de contre-vérités et d'imprécisions !

vulgate

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Averti
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Amat Allah a écrit:la Bible n'est pas descendue du ciel
Le Coran non-plus !

homme

homme
Habitué
Habitué

Amat Allah a écrit:la Bible n'est pas descendue du ciel

le Coran ne reconnait pas la Bible

IL FAUT SAVOIR QUE LA BIBLE AVAIT ETE DEJA CANONISER VERS LES ANNEES 300 ANS APJC PUIS AU TEMPS DE MuHAMMAD IL Y AVAIT DES COPIES TARDIVES VERS LES 600 ANS EN ARABIE. IL EST FACILE DE TROUVER DES TEXTES RECENT DU TEMPS DE MUHAMMAD.
DONC LE CORAN ENONCE BIEN DU LIVRE "bible" EXISTANT AU TEMPS DE MUHAMMAD vers les 600 ans

“Croyez en Dieu, en son apôtre (Muhammad) au Livre qu’Il lui a envoyé (le Coran), et aux Ecritures descendues avant lui (la Torah et l’Évangile).” (Coran IV; Les Femmes,136)

“Ceux à qui nous avons donné le Livre (la Bible), le lisent correctement. Ceux-ci y croient, et ceux qui n’y croient pas seront voués à la perdition…” (Coran II; La Vache,121)

“Si tu es (ô Muhammad) dans le doute sur ce qui t’a été envoyé d’En Haut, interroge ceux qui lisent les Ecritures envoyées avant toi. La vérité de la part de Dieu est descendue sur toi: ne sois pas de ceux qui doutent.” (Coran X; Jonas,94)

“Dis: Ô gens du Livre (Bible): Vous ne vous appuyez sur rien, tant que vous n’observez pas la Torah et l’Évangile.” (Coran V; La Table,68)

“Croyez à ce que J’ai révélé confirmant ce que vous avez déjà reçu (Bible).” (Coran II; la Vache,41)
(Voir aussi Coran II; la Vache, 89, 91, 97, 101)

“Il a fait descendre sur toi le Livre, en toute vérité, confirmant ce qui était avant lui (Bible), et Il fit descendre la Torah et l’Évangile auparavant comme orientation salutaire pour les hommes…” (Coran III; la Famille d’Imran,3)

Tumadir

Tumadir
Averti
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la Thora et l'Evangile ont été falsifiés

jbpo

jbpo
Passionné
Passionné

Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés

Ce n'est pas ce que montre l'archeologie et les manuscrits existants.

vulgate

vulgate
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Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés
Tu voudrais bien que ça soit vrai, mais pas de chance (pour toi), c'est faux !

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si ça te fait plaisir que je ne puisse avoir de chance..

je réponds à "homme" qui essaie d'authentifier la Bible par le Coran..

jbpo

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L'AT que nous avons actuellement est en parfaite concordance avec les manuscrits de la mer morte ou de Qunran découverts en 1947 et qui sont les plus vieux écrits bibliques et historiques jamais retrouvés dans l'Histoire archéologique, ce qui fait de la Bible certainement un exemple du sérieux de la transmission biblique faisant de ce fait partie intégrante de la tradition biblique. Pour exemple, le livre d'Isaie retrouvé complet ne diverge ne serais-ce q'un mot par rapport à nos Bibles actuelles! L'Ancien Testament est donc un livre tout à fait authentique et non falsifié.
La plus vieille Bible complète (AT + NT) est le codex sinaiticus qui date du milieu du IVème siècle soit donc 300 avant avant l'apparition de l'Islam et qui ne fait aucune référence à la venue du prophète Muḥammad.
Si nous n'avons pas de NT complets postérieurs cela est du au fait que le support utilisé à cette époque était principalement le papyrus qui hélas supporte très mal le fluctuations climatiques et l'humidité,il ne reste donc plus que des fragments, des partie incomplète comme ce fut le cas pour les manuscrits de la mer morte.
Le plus vieux fragment du NT date de la deuxième moitié du 2ème siècle il s'agit du papyri P52. En tout, il existe 100 fragments postérieur au IVème siècle. (ou l'utilisation du parchemin devient plus courant, c'est d'ailleurs à partir de ce siècle que l'on retrouve les plus vieux écrits de l'antiquité (Guerre des Gaules, Platon etc inutile de vous dire que les seuls textes qui font exceptions sont les textes de la Bible).
Les Papyrus Cheaster Beatty sont le splus remarquables car ils datent du troisième siècle et ce ne sont pas de minuscules fragments mais bien des pages pratiquement entières mais cela dépend du texte. Le mieux conservé est l'épitre de Paul: 86 pages sur 104 conservées, puis l'Apocalypse (chp 9 à 17), l'Évangile de Matthieu (chapitres 20/21 et 25/26), l'Évangile de Marc (chapitres 4-9, 11-12), l'Évangile de Luc (6-7, 9-14) , l'Évangile de Jean (chapitres 4-5, 10-11), Actes des Apôtres (4-17).

Il y a également les papyrus Bodmer avec son papyrus 66, un texte de l'évangile de Jean daté de 200 ap J-C, c'est le plus et plus complet après le P52 (qui fait partie de la même collection), le P72 est la plus ancienne copie connue de l'Épître de Jude, et de l'Épître 1 et 2 de Pierre; le P75 qui est un codex partiel contenant la plus grande partie des évangiles selon Luc et selon Jean (moitié du texte des 2 évangiles et datés du début du 3ème siècle= on est loin du concile de Nicée tout de même^^); la plus vielle copie de la troisième lettre aux corinthiens.

Pour infos, les papyrus cités sont tous postérieurs au IVème siècle et date majoritairement du début du Troisième siècle soit le P52 qui date du IIème.



Dernière édition par jbpo le Lun 20 Mai - 17:25, édité 1 fois

Credo

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La Bible n' à pas besoin du Coran. Vous essayez toujours de trouver trace de la prédiction de la venue de Mohamed dans la Bible et comme il n'y en a pas, vous la pensez falsifiee. Mais la Bible commence par la création et finit par le retour du Christ dans toute sa gloire à la fin des temps. Ainsi elle contient toute la révélation divine dans toute sa plénitude.

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Credo a écrit:La Bible n' à pas besoin du Coran. Vous essayez toujours de trouver trace de la prédiction de la venue de Mohamed dans la Bible et comme il n'y en a pas, vous la pensez falsifiee. Mais la Bible commence par la création et finit par le retour du Christ dans toute sa gloire à la fin des temps. Ainsi elle contient toute la révélation divine dans toute sa plénitude.

je n'essaie rien du tout avec la Bible bien qu'elle contienne la parole d'Allah

homme

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Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés
Ah maintenant tu changes de versions voyant tous ses versets qui encourage à lire le livre. Donc pour toi alors c est apres la mort de Muhammad "paix est son ame" que le livre fut falsifier ?

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homme a écrit:
Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés
Ah maintenant tu changes de versions voyant tous ses versets qui encourage à lire le livre. Donc pour toi alors c est apres la mort de Muhammad "paix est son ame" que le livre fut falsifier ?

ça peut être avant comme ça peut être après, je ne cherche pas à savoir quand

dans la Bible on parle du nouveau et ancien testament, on entend parler de l'Evangile mais jamais de la Thora

étant donné que les prophètes hébreux parlaient hébreu, et la parole d'Allah fût révélée à eux en hébreux, j'aimerais bien retrouver la Thora et l'Evangile originels "hébreux".. mais je crois que c'est impossible... mmm, ils sont cachés..

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dis-moi "homme", pourquoi est-ce que tu es contre que la parole d'Allah soit contenue dans un livre mais tu approuves qu'elle soit contenue dans la Bible ?

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Amat Allah a écrit:dis-moi "homme", pourquoi est-ce que tu es contre que la parole d'Allah soit contenue dans un livre mais tu approuves qu'elle soit contenue dans la Bible ?

Je crois que Dieu peut nous parler à travers la lecture du coran ou de la bible ou par des poemes par son esprit .Mais ces ecrits ne peuvent etre pas la parole de Dieu car ils ne peuvent etre aussi pur que Allah.

La sagesse est de tout sonder car rien est caparable à Allah meme le coran ou la bible.

Personnellement j aime lire le coran et la bible et les ecrits de savants.

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donc quand je dis que le Coran ne reconnait pas la Bible en principe ça ne devrait pas te déranger puisque selon ton raisonnement ces deux livres ne contiennent pas d'ailleurs la parole d'Allah..

jbpo

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Amat Allah a écrit:
homme a écrit:
Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés
Ah maintenant tu changes de versions voyant tous ses versets qui encourage à lire le livre. Donc pour toi alors c est apres la mort de Muhammad "paix est son ame" que le livre fut falsifier ?

ça peut être avant comme ça peut être après, je ne cherche pas à savoir quand

dans la Bible on parle du nouveau et ancien testament, on entend parler de l'Evangile mais jamais de la Thora

étant donné que les prophètes hébreux parlaient hébreu, et la parole d'Allah fût révélée à eux en hébreux, j'aimerais bien retrouver la Thora et l'Evangile originels "hébreux".. mais je crois que c'est impossible... mmm, ils sont cachés..

L'AT que tu peux lire dans la Bible de Jérusalem est l'originelle car sa traduction correspond aux manuscrits de la mer morte, une Bible en hébreux doit bien se trouver.
Il n'y a aucune trace d'Evangile en hébreux, les écrits du NT sont en grecs. Pourquoi? Car la langue "internationale" et intellectuelle à l'époque est le grec, cependant on remarque que le les évangiles contiennent des expressions et styles propre à l'hébreux, nazaréen...

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jbpo a écrit:Il n'y a aucune trace d'Evangile en hébreux, les écrits du NT sont en grecs. Pourquoi? Car la langue "internationale" et intellectuelle à l'époque est le grec, cependant on remarque que le les évangiles contiennent des expressions et styles propre à l'hébreux, nazaréen...

c'est bien ça le problème majeur et on se demande bien pourquoi alors que le messie a été envoyé aux enfants d'Israel à l'époque..

dire que le grec était la langue international à l'époque est bien comme argument, mais ton dieu Jésus ne savait pas que la langue internationale après 2000 ans deviendras une langue inventée des siècles après lui..



Dernière édition par Amat Allah le Lun 20 Mai - 19:18, édité 1 fois

EP

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vulgate a écrit:Le livre d'Esther n'a jamais été considéré comme un apocryphe. Ce sont les ajouts grecs apportés à ce livre par les traducteurs de la Septante qui sont apocryphes !

Ceux qui prétendent que le livre d’Esther n’est ni inspiré ni utile, qu’il n’est rien d’autre qu’une belle légende, fondent leur affirmation sur le fait que le nom de Dieu n’y figure pas. S’il est vrai que le nom de Dieu n’est pas cité dans ce livre, il se trouve néanmoins à quatre reprises dans le texte hébreu sous forme d'un acrostiche du Tétragramme, les lettres initiales de quatre mots successifs, à savoir YHWH (hébreu : %&%*). Ces initiales sont particulièrement accentuées dans au moins trois manuscrits hébreux anciens, et elles sont également marquées en rouge dans la massore. En outre, en Esther 7:5 il y a apparemment un acrostiche formé par la déclaration divine : "Je serai" !

D’un bout à l’autre, le livre souligne avec force que Mardochée accepta la loi de YHWH et y obéit. De nombreux faits établissent l’authenticité et la véracité du livre. Il était accepté par les Juifs qui lui donnèrent tout simplement le nom de Meghillah, qui signifie "rouleau, volume ". Il a été inclus dans le canon hébraïque par Ezdras, qui aurait certainement rejeté une fable. Aujourd’hui encore, les Juifs célèbrent la fête des Pourim, en souvenir de la grande délivrance opérée au temps d’Esther. Les us et coutumes des Perses décrits dans le livre le sont avec l’accent de la vérité et ils sont en accord avec les faits historiques connus et les découvertes archéologiques. Par exemple, le livre d’Esther décrit avec précision comment les Perses honoraient un homme (6:8). Les fouilles archéologiques ont attesté l’exactitude, dans les moindres détails, de la description du palais royal faite dans le livre d’Esther.

Voici les notes précisant les acrostiches apparaissant dans le texte hébreu :

"il (...) et toutes les femmes rendront". L’héb. H Wekhol-Hannashim Yittenou semble être un acrostiche inversé du Tétragramme, %&%* (YHWH). On connaît trois anciens mss héb. qui présentent ici, en majuscules et sous la forme d’un acrostiche, les lettres composant le nom divin. Cela donne : &0<* /*:0%A-+& !*%. C’est le premier de quatre acrostiches du nom "YHWH" sur lequel la massore attire l’attention par des lettres rouges. Note Esther 1:20.

"que le roi, avec Hamân, vienne aujourd’hui". Il semble que ce soit le deuxième acrostiche du Tétragramme, YHWH, que l’on rencontre en Esther. En héb. : Yavô´ Hammèlèkh Wehaman Hayyôm. On connaît trois anciens manuscrits hébreux qui présentent ici, en majuscules et sous la forme d’un acrostiche, les lettres hébraïques composant le nom divin %&%* (YHWH). Cela donne : /&*% 1.%& ,-.% !&"*. La massore attire l’attention sur ce fait par des lettres rouges. Note Esther 5:4.

"Mais tout cela — rien de cela ne me satisfait". Héb. : wekhol-zèH ´énènnOU showèH lI. Ici OU correspond à W et I correspond à Y. Il semble que ce soit le troisième acrostiche du Tétragramme, %&%* (YHWH), que l’on rencontre en Esther. On connaît trois anciens mss héb. qui présentent ici, en majuscules, dans l’ordre inverse et sous la forme d’un acrostiche, les lettres hébraïques composant le nom divin %&%*. Cela donne : *- %&: &00*! %'A-+&. La massore attire l’attention sur ce fait par des lettres rouges. Note Esther 5:13.

"ce, et où est-il, celui ?" Il semble que ce soit un acrostiche de cette parole divine : "Je serai." Cet acrostiche est formé par les lettres finales %*%! (´HYH). C’est ce qu’indiquent certains mss hébreu en utilisant des majuscules, ce qui donne : %'A*!& %' !&%. Note Esther 7:5.

"que le mal avait été décidé contre lui". Dans cet acrostiche, kI-kholthaH ´élaW hara`aH (héb.), le I correspond à Y. Il semble que ce soit le quatrième acrostiche du nom divin, %&%* (YHWH), que l’on rencontre en Esther. Il est formé de la dernière lettre des quatre mots héb. lus de droite à gauche. Cela donne : %39% &*-! %<-+A*+. No
te Esther 7:7.

Ça c'est très intéressant. Cette inversion de "YHWH",me rappell les dires d'un Rabbin,qui spéculait sur la signification de "YHWH".

http://www.wiki-protestants.org/

Azzedine

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vulgate a écrit:
Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés
Tu voudrais bien que ça soit vrai, mais pas de chance (pour toi), c'est faux !
celle qui est Archi fausse cest la votre de bible ! celle des TJ ! je vous suggere d'arreter de harceler les pauvres gens en faisant du porte a porte ! conducteurs aveugles !

jbpo

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Amat Allah a écrit:
jbpo a écrit:Il n'y a aucune trace d'Evangile en hébreux, les écrits du NT sont en grecs. Pourquoi? Car la langue "internationale" et intellectuelle à l'époque est le grec, cependant on remarque que le les évangiles contiennent des expressions et styles propre à l'hébreux, nazaréen...

c'est bien ça le problème majeur et on se demande bien pourquoi alors que le messie a été envoyé aux enfants d'Israel à l'époque..

dire que le grec était la langue international à l'époque est bien comme argument, mais ton dieu Jésus ne savait pas que la langue internationale après 2000 ans deviendras une langue inventée des siècles après lui..

Pa seulement aux enfants d'Israel, au monde entier, et ce sont les disciples du Christ, les croyants qui mettront par écrit ce qu'ils ont vu après 70 ap J-C probablement à cause de la répression romaine contre la rébellion juive, il y a tjrs un temps de transmission orale. Ce n'est donc absolument pas un problème que les écrits soient en grec c'est même assez logique après tout, les Apôtres pour la plupart sont partis aux quatre coins de l'Empire romain notamment en Grèce.
Quant à dire que Jésus ne savait pas que la langue internationale aujourd'hui serait l'anglais...je ne vois pas l'intérêt surtout que Jésus n'a pas écris d'Evangile car il accomplit les Ecritures avant lui.

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Azzedine a écrit:
vulgate a écrit:
Amat Allah a écrit:la Thora et l'Evangile ont été falsifiés
Tu voudrais bien que ça soit vrai, mais pas de chance (pour toi), c'est faux !
celle qui est Archi fausse cest la votre de bible ! celle des TJ ! je vous suggere d'arreter de harceler les pauvres gens en faisant du porte a porte ! conducteurs aveugles !

les livres dit "sacré" continuent à faire des disputes et des guerres au milieu meme des religions. Il n y a rien de nouveau sous le soleil

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