AMMAN, Jordanie (Sipa) - Le conflit syrien, qui dure depuis 18 mois, pèse très lourd sur les enfants, victimes de meurtres ou de tortures selon un rapport de l'organisation britannique Save The Children qui compile 18 cas d'atrocités racontés par des enfants syriens réfugiés.
Parmi les cas recensés, celui d'Hassan, 14 ans, qui a vu les membres de sa famille décimés lorsqu'une roquette a atteint une procession funéraire dans son village. "J'ai retrouvé des morceaux de corps les uns sur les autres. Les chiens ont mangé les cadavres pendant deux jours après le massacre", raconte le jeune homme réfugié dans un camp en Jordanie.
Wael, 16 ans, décrit le meurtre à petit feu d'un enfant de six ans, Alaa, torturé et privé d'eau et de nourriture car son père était recherché par le régime du président Bachar el-Assad. "Je l'ai vu mourir. Il a survécu pendant trois jours puis il est simplement mort", se souvient Wael.
Si le rapport ne précise pas systématiquement d'où viennent les violences, la plupart, tels des bombardements de civils ou des enlèvements, ont été attribués par le passé aux forces gouvernementales ou aux milices alliées à Bachar el-Assad.
"Chaque crime commis contre des enfants doit être enregistré pour envoyer un message clair à toutes les parties prenantes du conflit selon lequel ces atrocités ne seront pas tolérées", martèle Save The Children, qui demande aux Nations unies d'accroître sa présence sur le terrain pour enquêter sur ces violations des droits de l'Homme.
Des témoignages similaires à ceux recueillis par l'organisation britannique ont été recensés par l'ONU ou d'autres défenseurs des droits de l'Homme, souligne Save The Children qui décrit des actes "répétés".
Environ 30.000 personnes dont près de 2.000 enfants ont été tués dans le conflit syrien selon des militants.
AMMAN, Jordanie (Sipa) - Le conflit syrien, qui dure depuis 18 mois, pèse très lourd sur les enfants, victimes de meurtres ou de tortures selon un rapport de l'organisation britannique Save The Children qui compile 18 cas d'atrocités racontés par des enfants syriens réfugiés.
Parmi les cas recensés, celui d'Hassan, 14 ans, qui a vu les membres de sa famille décimés lorsqu'une roquette a atteint une procession funéraire dans son village. "J'ai retrouvé des morceaux de corps les uns sur les autres. Les chiens ont mangé les cadavres pendant deux jours après le massacre", raconte le jeune homme réfugié dans un camp en Jordanie.
Wael, 16 ans, décrit le meurtre à petit feu d'un enfant de six ans, Alaa, torturé et privé d'eau et de nourriture car son père était recherché par le régime du président Bachar el-Assad. "Je l'ai vu mourir. Il a survécu pendant trois jours puis il est simplement mort", se souvient Wael.
Si le rapport ne précise pas systématiquement d'où viennent les violences, la plupart, tels des bombardements de civils ou des enlèvements, ont été attribués par le passé aux forces gouvernementales ou aux milices alliées à Bachar el-Assad.
"Chaque crime commis contre des enfants doit être enregistré pour envoyer un message clair à toutes les parties prenantes du conflit selon lequel ces atrocités ne seront pas tolérées", martèle Save The Children, qui demande aux Nations unies d'accroître sa présence sur le terrain pour enquêter sur ces violations des droits de l'Homme.
Des témoignages similaires à ceux recueillis par l'organisation britannique ont été recensés par l'ONU ou d'autres défenseurs des droits de l'Homme, souligne Save The Children qui décrit des actes "répétés".
Environ 30.000 personnes dont près de 2.000 enfants ont été tués dans le conflit syrien selon des militants.
AMMAN, Jordanie (Sipa) - Le conflit syrien, qui dure depuis 18 mois, pèse très lourd sur les enfants, victimes de meurtres ou de tortures selon un rapport de l'organisation britannique Save The Children qui compile 18 cas d'atrocités racontés par des enfants syriens réfugiés.
Parmi les cas recensés, celui d'Hassan, 14 ans, qui a vu les membres de sa famille décimés lorsqu'une roquette a atteint une procession funéraire dans son village. "J'ai retrouvé des morceaux de corps les uns sur les autres. Les chiens ont mangé les cadavres pendant deux jours après le massacre", raconte le jeune homme réfugié dans un camp en Jordanie.
Wael, 16 ans, décrit le meurtre à petit feu d'un enfant de six ans, Alaa, torturé et privé d'eau et de nourriture car son père était recherché par le régime du président Bachar el-Assad. "Je l'ai vu mourir. Il a survécu pendant trois jours puis il est simplement mort", se souvient Wael.
Si le rapport ne précise pas systématiquement d'où viennent les violences, la plupart, tels des bombardements de civils ou des enlèvements, ont été attribués par le passé aux forces gouvernementales ou aux milices alliées à Bachar el-Assad.
"Chaque crime commis contre des enfants doit être enregistré pour envoyer un message clair à toutes les parties prenantes du conflit selon lequel ces atrocités ne seront pas tolérées", martèle Save The Children, qui demande aux Nations unies d'accroître sa présence sur le terrain pour enquêter sur ces violations des droits de l'Homme.
Des témoignages similaires à ceux recueillis par l'organisation britannique ont été recensés par l'ONU ou d'autres défenseurs des droits de l'Homme, souligne Save The Children qui décrit des actes "répétés".
Environ 30.000 personnes dont près de 2.000 enfants ont été tués dans le conflit syrien selon des militants.
http://www.985fm.ca/international/nouvelles/les-enfants-syriens-victimes-d-atrocites-selon-un-174524.html