Parfois, il y a dans le bien imaginé d’une action actuelle une conséquence grave dans le futur de la détresse. C’est au moment où l’être vivant se trouve seul, loin de ces mains qui lui caressaient, jadis, les cheveux, qu’il commence, vide de réserves protectrices, à voir le côté sombre de la lumière prodiguée durant l’enfance. Le cristallin des yeux égayés d’antan se rétrécit et, à un instant nullement attendu, le malheureux découvrit la supercherie qui le prédispose à douter même de son existence. L’amour édifié dans son soi durant une décennie, prend son essor, à tire d’ailes, et s’engouffre dans les nuages de l’anxiété. De son noir d’encre, où mugissait un grandement d’orage, il ne peut distinguer, en un clin d’œil, que les éclairs minces de la spiritualité et finira, sans aucune explication, par rejeter la présence de l’Impérissable.
L’envie entre cette décision entraînant le plein d’agréments de l’existence transitoire habillée d’une parure attirante et qui l’invite à prendre part à une table garnie d’opium procurant l’ivresse de la joie, et l’inconnu contenant l’agressivité des ultraviolets et le bonheur éternel, il préfère prendre ce qui est à proximité de la main que de chercher dans les profondeurs du terrier. De loin, l’apparence est envoûtante, mais de prés, il y a ce « trouble mental » causé par l’évidence du néant.
Encore jeune et l’esprit perturbé par une telle évidence, toutes les portes s’ouvriront devant lui. Celles du mal comme celles du bien. Alors, il empruntera le chemin le moins tortueux qui plait à mourir au genre humain, et se retrouve dans un désert plein de mirages où le friselis des feuillages de la belle vie distillait une mélodie ensorceleuse. Il vivra dans cette oasis somptueuse de longues années et finira par abhorrer la consommation répétitive de ses fruits délicieux.
En quittant son train de vie dispendieux et à moins qu’il ne se réveille, l’opprobre lui rendra visite dans sa chambrette de vieillesse, habillé d’un abominable manteau de gâtisme. Dans ses mains, le regard fuyant et couvant une méprise, il tenait un bouquet de verres qui puait l’odeur nauséabonde de la liqueur.
A suivre...
L’envie entre cette décision entraînant le plein d’agréments de l’existence transitoire habillée d’une parure attirante et qui l’invite à prendre part à une table garnie d’opium procurant l’ivresse de la joie, et l’inconnu contenant l’agressivité des ultraviolets et le bonheur éternel, il préfère prendre ce qui est à proximité de la main que de chercher dans les profondeurs du terrier. De loin, l’apparence est envoûtante, mais de prés, il y a ce « trouble mental » causé par l’évidence du néant.
Encore jeune et l’esprit perturbé par une telle évidence, toutes les portes s’ouvriront devant lui. Celles du mal comme celles du bien. Alors, il empruntera le chemin le moins tortueux qui plait à mourir au genre humain, et se retrouve dans un désert plein de mirages où le friselis des feuillages de la belle vie distillait une mélodie ensorceleuse. Il vivra dans cette oasis somptueuse de longues années et finira par abhorrer la consommation répétitive de ses fruits délicieux.
En quittant son train de vie dispendieux et à moins qu’il ne se réveille, l’opprobre lui rendra visite dans sa chambrette de vieillesse, habillé d’un abominable manteau de gâtisme. Dans ses mains, le regard fuyant et couvant une méprise, il tenait un bouquet de verres qui puait l’odeur nauséabonde de la liqueur.
A suivre...