Lettre ouverte à ceux qui ont la haine de la France
Créatures d’Allah, la cause de tous vos malheurs ceux des autres qui vous tendent une main charitable et qui plutôt que vous leur témoignez de votre gratitude, vous crachez sur eux votre poison venimeux pour en faire le bouc-émissaire de votre état chronique de misère psycho-affective, votre incurie intellectuelle, vos échecs personnels et votre incapacité à vous vous remettre en question.
Ces pays qui vous ont accueillis ne sont pas vos ennemis contrairement aux préceptes infâmes de votre religion, vos vrais ennemis sont vos pays d’origine qui vous ont rejetés et tous les pays qui professent la même foi que vous.
Vous vous proclamez de l’islam et de vos pays d’origine qui ne vous ont strictement rien donné et vous vous vivez dans la détestation des pays qui sont une chance inouïe pour vous mais qui ne savent qu’en vous couvrant leurs portes ils creusent leur tombe.
Le malheur de ces pays est de nourrir les monstres qui caressent le dessein de les dépecer un jour jusqu’au dernier ossement afin qu’il n’y ait plus de trace de leur existence biologique.
Pourquoi tant d’acharnement pour la France ? Que vous a-t-elle fait pour que vous ayez autant de haine à son égard ? Pourquoi vous œuvrez à sa destruction en s’en prenant à son mode de vie et sa façon d’être comme en cette nuit d’effroi du 13 novembre 2015 ?
Cherchez-vous à en faire un pays sur le modèle des pays fuis par vos parents qui comme vous ne pouvez l’ignorer ne sont pas connus pour leur générosité sociale et leur respect de la dignité humaine ?
Ce pays a beau vous traiter avec dignité et humanité mais vous révérez l’islam qui quand vous êtes malades, ce n’est pas lui qui vous prodigue des soins.
Quand vous êtes démunis ce n’est pas lui non plus qui vous verse le RSA.
Quand vous n’avez pas les moyens de vous soigner vous avez le droit au CMU. Et comme le disait un jour un jeune marocain primo arrivant en France on vous soigne d’abord et on vous envoie la facture des soins chez vous après, au Maroc on vous demande de passer à la caisse d’abord même si vous êtes à l’agonie en me parlant de l’exemple de son cousin au pronostic vital engagé avant même son arrivée à l’hôpital.
Quand vous n’avez pas de toit ce n’est pas lui qui vous loge et vous verse l’APL.
Si les pays d’origine de vos parents que vous idéalisez tant n’étaient pas musulmans ils n’auraient pas été un enfer sur terre que tout le lobdet veut quitter pour des milieux moins hostiles et plus vivables.
Si vos parents les ont fuis souvent au péril de leur vie et en profitant des lois trop généreuses et laxistes de ce pays que vous honnissez comme s’il était votre souffre-douleur, c’est bien justement parce que leurs conditions de vie misérables étaient insoutenables.
Vous ne pouvez jamais comprendre que là où sévit l’islam c’est un désert de désolation et une morne plaine. Sans perspectives pour la jeunesse que le djihad ou la mort dans la traversée de la Méditerranée à bord des barques de fortune.
La France n’est pas votre ennemie et ne vous demande pas non plus de l’aimer mais vous avez l’obligation simplement de la respecter.
Vous ruminez de la rancœur envers elle comme si vous aviez des griefs contre elle.
N’a-t-elle pas fait de vous des citoyens de plein droit contrairement à vos parents dans leurs pays d’origine où ils étaient privés des droits les plus élémentaires.
Vous brûlez son drapeau et vous huez son hymne national.
Vous ne l’aimez pas c’est votre droit mais autant la quitter si vous éprouvez un mal-être chez elle.
Qu’ont-ils fait pour vous en revanche ces pays dont vous arborez les couleurs dans les rues de France qui ne dépensent pas un cent pour vous et qui ont jeté vos patents sur le chemin de l’exil auxquels la France leur a donnés des droits fondamentaux ?
Pourquoi vous ne retournerez pas dans les pays de Cocagne imaginaire de vos parents ? Mais vous le savez bien que tous ceux qui sont là bas rêvent d’être ici et vous envient cette chance que vous avez de vivre votre humanité en toute liberté.
Si vous-mêmes étiez nés de l’autre côté de la Méditerranée vous n’auriez rêvé que d’elle.
Créatures d’Allah, la cause de tous vos malheurs ceux des autres qui vous tendent une main charitable et qui plutôt que vous leur témoignez de votre gratitude, vous crachez sur eux votre poison venimeux pour en faire le bouc-émissaire de votre état chronique de misère psycho-affective, votre incurie intellectuelle, vos échecs personnels et votre incapacité à vous vous remettre en question.
Ces pays qui vous ont accueillis ne sont pas vos ennemis contrairement aux préceptes infâmes de votre religion, vos vrais ennemis sont vos pays d’origine qui vous ont rejetés et tous les pays qui professent la même foi que vous.
Vous vous proclamez de l’islam et de vos pays d’origine qui ne vous ont strictement rien donné et vous vous vivez dans la détestation des pays qui sont une chance inouïe pour vous mais qui ne savent qu’en vous couvrant leurs portes ils creusent leur tombe.
Le malheur de ces pays est de nourrir les monstres qui caressent le dessein de les dépecer un jour jusqu’au dernier ossement afin qu’il n’y ait plus de trace de leur existence biologique.
Pourquoi tant d’acharnement pour la France ? Que vous a-t-elle fait pour que vous ayez autant de haine à son égard ? Pourquoi vous œuvrez à sa destruction en s’en prenant à son mode de vie et sa façon d’être comme en cette nuit d’effroi du 13 novembre 2015 ?
Cherchez-vous à en faire un pays sur le modèle des pays fuis par vos parents qui comme vous ne pouvez l’ignorer ne sont pas connus pour leur générosité sociale et leur respect de la dignité humaine ?
Ce pays a beau vous traiter avec dignité et humanité mais vous révérez l’islam qui quand vous êtes malades, ce n’est pas lui qui vous prodigue des soins.
Quand vous êtes démunis ce n’est pas lui non plus qui vous verse le RSA.
Quand vous n’avez pas les moyens de vous soigner vous avez le droit au CMU. Et comme le disait un jour un jeune marocain primo arrivant en France on vous soigne d’abord et on vous envoie la facture des soins chez vous après, au Maroc on vous demande de passer à la caisse d’abord même si vous êtes à l’agonie en me parlant de l’exemple de son cousin au pronostic vital engagé avant même son arrivée à l’hôpital.
Quand vous n’avez pas de toit ce n’est pas lui qui vous loge et vous verse l’APL.
Si les pays d’origine de vos parents que vous idéalisez tant n’étaient pas musulmans ils n’auraient pas été un enfer sur terre que tout le lobdet veut quitter pour des milieux moins hostiles et plus vivables.
Si vos parents les ont fuis souvent au péril de leur vie et en profitant des lois trop généreuses et laxistes de ce pays que vous honnissez comme s’il était votre souffre-douleur, c’est bien justement parce que leurs conditions de vie misérables étaient insoutenables.
Vous ne pouvez jamais comprendre que là où sévit l’islam c’est un désert de désolation et une morne plaine. Sans perspectives pour la jeunesse que le djihad ou la mort dans la traversée de la Méditerranée à bord des barques de fortune.
La France n’est pas votre ennemie et ne vous demande pas non plus de l’aimer mais vous avez l’obligation simplement de la respecter.
Vous ruminez de la rancœur envers elle comme si vous aviez des griefs contre elle.
N’a-t-elle pas fait de vous des citoyens de plein droit contrairement à vos parents dans leurs pays d’origine où ils étaient privés des droits les plus élémentaires.
Vous brûlez son drapeau et vous huez son hymne national.
Vous ne l’aimez pas c’est votre droit mais autant la quitter si vous éprouvez un mal-être chez elle.
Qu’ont-ils fait pour vous en revanche ces pays dont vous arborez les couleurs dans les rues de France qui ne dépensent pas un cent pour vous et qui ont jeté vos patents sur le chemin de l’exil auxquels la France leur a donnés des droits fondamentaux ?
Pourquoi vous ne retournerez pas dans les pays de Cocagne imaginaire de vos parents ? Mais vous le savez bien que tous ceux qui sont là bas rêvent d’être ici et vous envient cette chance que vous avez de vivre votre humanité en toute liberté.
Si vous-mêmes étiez nés de l’autre côté de la Méditerranée vous n’auriez rêvé que d’elle.