ce matin grosse victoire puisque la dites état de put ne condamne point pour complicité de crime pédophilique,évidement non ils ce condamnent eux même!!!..l'histoire ne s’arrête pas la..alors nous avons une grosse maison de briguant légal?tombé tombé la chemise!
Vatican
Fuites au Vatican. Plusieurs personnes impliquées, le majordome sera
jugé
"Vatileaks": le majordome du pape et un autre employé
accusés
Le Vatican a ordonné lundi que Paolo Gabriele, l’ancien
majordome particulier du pape Benoît XVI arrêté en mai, soit jugé pour « vol
aggravé » dans le cadre de l’affaire « VaticanLeaks ». Dans un document de 35
pages sur l’affaire qui a secoué le Saint-Siège, ce dernier a également révélé
que l’ex-employé avait un complice, un expert en informatique qui travaillait
pour l’administration du Vatican.
Le Saint-Siège a ordonné que le complice, Claudio Sciarpelletti,
soit aussi jugé. L’ancien majordome est accusé, dans le cadre du scandale
VatiLeaks, d’avoir divulgué ces documents évoquant des cas de corruption et des
querelles sur la direction de la Banque du Vatican. La date du procès n’a pas
encore été officiellement fixée, mais elle n’aura pas lieu avant la fin
septembre.
Le pardon accordé ou non ?
Le porte-parole pontifical, le Père Federico Lombardi, a déclaré
que Benoît XVI, en tant que chef d’Etat de la cité vaticane, pouvait intervenir
à tout moment pour interrompre le procès ou accorder son pardon à Paolo
Gabriele. Mais il a dit ne pas savoir si Benoît XVI le ferait ou non. S’il
venait à être déclaré coupable, l’ancien majordome risquerait une peine de
prison pouvant aller jusqu’à six ans de réclusion criminelle, selon les textes
de lois du Vatican.
Un majordome qui « voyait le mal »
Paolo Gabriele, qui possède la double nationalité italo-vaticane,
aidait le pape à s’habiller, lui servait ses repas et l’accompagnait notamment
lors de ses déplacements officiels à l’avant de la « papamobile ».
Selon le document de 35 pages, Gabriele a expliqué aux enquêteurs
que ses actes étaient liés au fait qu’il voyait « le mal et la corruption
partout dans l’Eglise » et qu’il voulait contribuer à les éradiquer
« parce que le pape n’était pas assez informé ».
Dans un passage consacré à la santé mentale de l’ex-majordome, ce
dernier a déclaré aux enquêteurs qu’après avoir commencé à dupliquer et
divulguer des documents, « j’ai atteint le point de non-retour, je ne pouvais
plus me contrôler ». « J’étais certain que provoquer un choc, peut-être
par l’intermédiaire des médias, serait quelque chose de salutaire qui
permettrait à l’Eglise de revenir sur le droit chemin », poursuit-il.
« J’ai toujours été intéressé par le monde du renseignement, et, d’une
certaine façon, je pensais que dans l’Eglise, ce rôle revenait au Saint-Esprit.
Je me voyais en quelque sorte comme son agent infiltré. »
Documents sensibles
L’acte d’inculpation révèle également qu’un chèque de 100 000
euros à l’ordre du pape, une pépite d’or et un livre du XVIe siècle ont été
retrouvés à son domicile au cours d’une perquisition. Paolo Gabriele a assuré
qu’il avait l’intention de restituer ces objets.
Gabriele a été arrêté lorsque la police a découvert de multiples
documents sensibles sur le Saint-Siège dans l’appartement vaticanais où il
vivait avec sa femme et ses enfants.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Fuites-au-Vatican.-Plusieurs-personnes-impliquees-le-majordome-sera-juge_6346-2103970-fils-tous--35288-abd_filDMA.Htm
Vatican
Fuites au Vatican. Plusieurs personnes impliquées, le majordome sera
jugé
"Vatileaks": le majordome du pape et un autre employé
accusés
Le Vatican a ordonné lundi que Paolo Gabriele, l’ancien
majordome particulier du pape Benoît XVI arrêté en mai, soit jugé pour « vol
aggravé » dans le cadre de l’affaire « VaticanLeaks ». Dans un document de 35
pages sur l’affaire qui a secoué le Saint-Siège, ce dernier a également révélé
que l’ex-employé avait un complice, un expert en informatique qui travaillait
pour l’administration du Vatican.
Le Saint-Siège a ordonné que le complice, Claudio Sciarpelletti,
soit aussi jugé. L’ancien majordome est accusé, dans le cadre du scandale
VatiLeaks, d’avoir divulgué ces documents évoquant des cas de corruption et des
querelles sur la direction de la Banque du Vatican. La date du procès n’a pas
encore été officiellement fixée, mais elle n’aura pas lieu avant la fin
septembre.
Le pardon accordé ou non ?
Le porte-parole pontifical, le Père Federico Lombardi, a déclaré
que Benoît XVI, en tant que chef d’Etat de la cité vaticane, pouvait intervenir
à tout moment pour interrompre le procès ou accorder son pardon à Paolo
Gabriele. Mais il a dit ne pas savoir si Benoît XVI le ferait ou non. S’il
venait à être déclaré coupable, l’ancien majordome risquerait une peine de
prison pouvant aller jusqu’à six ans de réclusion criminelle, selon les textes
de lois du Vatican.
Un majordome qui « voyait le mal »
Paolo Gabriele, qui possède la double nationalité italo-vaticane,
aidait le pape à s’habiller, lui servait ses repas et l’accompagnait notamment
lors de ses déplacements officiels à l’avant de la « papamobile ».
Selon le document de 35 pages, Gabriele a expliqué aux enquêteurs
que ses actes étaient liés au fait qu’il voyait « le mal et la corruption
partout dans l’Eglise » et qu’il voulait contribuer à les éradiquer
« parce que le pape n’était pas assez informé ».
Dans un passage consacré à la santé mentale de l’ex-majordome, ce
dernier a déclaré aux enquêteurs qu’après avoir commencé à dupliquer et
divulguer des documents, « j’ai atteint le point de non-retour, je ne pouvais
plus me contrôler ». « J’étais certain que provoquer un choc, peut-être
par l’intermédiaire des médias, serait quelque chose de salutaire qui
permettrait à l’Eglise de revenir sur le droit chemin », poursuit-il.
« J’ai toujours été intéressé par le monde du renseignement, et, d’une
certaine façon, je pensais que dans l’Eglise, ce rôle revenait au Saint-Esprit.
Je me voyais en quelque sorte comme son agent infiltré. »
Documents sensibles
L’acte d’inculpation révèle également qu’un chèque de 100 000
euros à l’ordre du pape, une pépite d’or et un livre du XVIe siècle ont été
retrouvés à son domicile au cours d’une perquisition. Paolo Gabriele a assuré
qu’il avait l’intention de restituer ces objets.
Gabriele a été arrêté lorsque la police a découvert de multiples
documents sensibles sur le Saint-Siège dans l’appartement vaticanais où il
vivait avec sa femme et ses enfants.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Fuites-au-Vatican.-Plusieurs-personnes-impliquees-le-majordome-sera-juge_6346-2103970-fils-tous--35288-abd_filDMA.Htm