Alors, lis, femme.
Un soir, en revenant de mon entrainement, las de toutes injustices et surtout, me sentant en mesure de faire front à l'injustice; je parlai à Dieu et au diable, je dis : toi c'est ça et toi c'est ça, j'y comprends rien à vos affaires; ben là ça va faire vos gniaiserie, à partir d'aujourd'hui, je vais accomplir la justice comme je l'entends.
Je te dis pas, pf, toute la suite des évènements émotionnellement. En un instant, je sentie ma vie vouloir se retirer de moi, et j'abdiquai promptement. Je dis : OK! OK! Cela suffit, c'est assés, j'ai compris, t'es le maitre de ma vie (et je n'ai pas considéré que ce pouvait être l'autre (celui qui n'est pas Dieu)).
Depuis longtemps je parlais avec Dieu sans rien savoir de lui, autre ce que les catholiques nous enseignaient, jeunes enfants. Là, je venais de découvrir que Dieu répond, qu'il nous entende est une chose; qu'il nous réponde, ben là ... les religions n'enseigne rien la dessus; on ne s'attend pas à ce que Dieu nous réponde.
Après cet évènement, je n'ai jamais cessé de parler à Dieu et d'écouté ces réponses. La première chose, ce soir là, à Montréal nord; fût de dire : Ben alors, pour être juste, je devrai apprendre ta justice, afin de l'appliquer.
pf, n'en doute pas, L'Éternel Dieu, le juste, veille. C'est pourquoi, je t'ai trouvé désobligeante et outrageante à l'égard de Dieu (celui qui veille) l'autre jour. Car celui qui veille, c'est L'Éternel Dieu, pour accomplir sa parole.
De ce soir d'automne de 1984, je commencai d'être instruis de la Vérité en Dieu. La justice des ciècles, vient comme un voleur.
JP