Bonjour,
J'ouvre cette discussion sans savoir très bien quelle tournure elle peut avoir et sans avoir une idée totalement définie et pesée, donc plus de supçons que de certitudes. C'est plutot une constatation d'instint qui me pousse à cette réflexion, et quand je parle de christianisme ça sous entend biensûr orthodoxie et catholicisme.
Je remarque que déjà, quantitativement, il y a d'avantage de femmes dans le rang de l'église ces dernières décénies, chose qui s'explique surement aussi par une plus haute sensibilité (à une époque où on nous bombarde de scientisme et scépticisme), entre beaucoup d'autres raisons et facteurs auxquels je ne reflechirais pas. Donc forcément il y a l'impregnation d'une certaine manière de penser dans la pratique du christianisme "au quotidien", du christianisme extra-muros pour dire ainsi. Une modélisation propre à chaque époque, qui se crée dans la manière de vivre la foi pour les laics (dans le sens classique du terme), pas au niveau dogmatique biensur. Disons aussi qu'à notre époque, paradoxalement, l'esprit analythique n'est vraiment plus apprécié à sa juste et nécessaire valeur, depuis la propagande moderne qui a mis la pseudo-empathie et le sentimentalisme à 2 balles "à l'américaine" sur un piedéstale. Cette pensé faussement noble et totalement hérétique du "tout le monde est beau, tout le monde est gentil" héritée des mouvements libéraux émancipés de l'église, est maintenant paradoxalement, entrain de reintegrer l'église afin de modifier la perception chrétienne de l'épreuve de la vie. Voila pour faire court, maintenant en quoi celà peut avoir des repercussion à mon sens, de façon plus concrete, et j'utiliserais un exemple parmis tant, mais qui emploit toujours le même schèma de fonctionnement.
Desequilibre entre l'obligation du croyant de ne pas porter de jugement et le devoir du croyant d'avoir du discernement afin de distinguer le bien du mal. (un desequilibre parmis tant d'autres, le christiasnime étant une voie subtile et un bel équilibre qui doit accorder beaucoup d'aspects) Le christianisme moderne s'étant plongé totalement dans le totalitarisme du premier commandement cité (et mal compris, qui prime à l'excès sur d'autres commandements tout aussi importants), les chrétiens se complaisent de tomber dans un état de tolérance léthargique qui est une simple caricature de ce qu'ils imaginent être l'anachorétisme chrétien. Ils tombent dans une passivité qui les poussent dans la situation la plus extreme (toujours à titre d'exemple, mais qui arrive cependant très souvent) à être dans une tolérance non-chrétienne allant jusqu'à justifier le mal, le pêché, l'oeuvre du malin. L'acceptation du mariage homosexuel par les chrétiens, sous pretexte d'amour, de "non droit des jugements des coeurs et des sentiments", en est l'exemple parfait. Mais on constate fréquemment ceci aussi à un niveau plus réduit et subtile, où le chrétien, voulant n'être qu'amour d'une façon très stupide et féminine en définitif, commence à justifier les pêchés des gens, à leur trouver des pretextes ou en s'éfforçant d'extrapoler les bons aspects de la personne (souvent en les exagérant) ils s'annulent le discernement. Et cette extrapolation non pas pour affirmer que nul n'est perdu, mais plutot pour se conforter dans leur façon passive d'être et ne pas ébranler leur faux-semblant d'harmonie intérieure (qui peut aussi venir du malin nous dit Saint Jean Climaque), ou encore en voulant copier de manière caricaturale l'exemple du Christ sans comprendre que, comme l'ont expliqué les Saint Pères, il faut également se connaitre sois même en profondeur, ses faiblesses mortifères qu'on a hérité pour certaines et developpé pour d'autres, et que sur la voie du salut il faut avancer avec des petits pas propres à chacun selon l'épreuve de chacun et les erreurs à racheter et ne puls commettre (Sainte Marie L'Egyptienne s'est racheté de ses penchant charnels qui la tourmentaient en s'isolant dans le désert et non en allant faire une vie de charité pour les démunis par exemple, car là, probablement, la tentation aurait été plus dure à extirper). Avoir l'idéal comportamental de notre Seigneur Jésus Christ, est une chose primordiale, mais vouloir se décalquer sois et sa vie de manière caricaturale selon cet idéal, en ignorant ce avec quoi on se confronte précisemment dans la particularité de notre épreuve et la manière concrete dont le diable "nous tient", est une subtilité qui nous éloigne du modèle des premiers chrétiens (radicaux selon nos barêmes modernes, adaptés à leur dure époque faite d'horribles persecutions, qui nous ont permis de garder intacte la chaine de l'héritage chrétien) et cet éloignement nous pousse vers des formes modernes et subtiles de synchrétisme (vers un christianisme impregné de valeurs new age de la tolérance mal comprise, de l'amour inconditionnel, de la paix intérieure vue comme un but un sois et non une récompense ou conséquance d'une pieuse et élevé spirituellement, etc. ... ).
La femme par sa disposition à être mère, a le rôle humain et social de soutien, d'amour au délà du jugement. Une mère est censé soutenir ses enfants affectivement même s'ils tombent dans la décadence, commettent des actes allant jusqu'à l'atrocité. L'homme de l'autre côté, ayant reçu la responsabilité de l'autorité, a le besoin d'être impartial et juste, de pouvoir juger et reflechir à froid sans laisser son jugement tomber dans l'arbitraire pour des raisons émotionnelles. Et bien que la complémentarité entre l'homme et la femme est totalement nécessaire, en ce qui concerne le modèle de reflexion chrétienne, il devrait suivre le flux d'une pensée masculine, qui sait séparer le bon grain de l'ivraie pour utiliser l'expression biblique, chose que le christianisme moderne, émasculé et dévirilisé ne s'accorde plus le droit de faire, voulant materner l'ivraie, même si ceci risque à terme d'étouffer le bon grain et du moins l'amoindrir.
J'ouvre cette discussion sans savoir très bien quelle tournure elle peut avoir et sans avoir une idée totalement définie et pesée, donc plus de supçons que de certitudes. C'est plutot une constatation d'instint qui me pousse à cette réflexion, et quand je parle de christianisme ça sous entend biensûr orthodoxie et catholicisme.
Je remarque que déjà, quantitativement, il y a d'avantage de femmes dans le rang de l'église ces dernières décénies, chose qui s'explique surement aussi par une plus haute sensibilité (à une époque où on nous bombarde de scientisme et scépticisme), entre beaucoup d'autres raisons et facteurs auxquels je ne reflechirais pas. Donc forcément il y a l'impregnation d'une certaine manière de penser dans la pratique du christianisme "au quotidien", du christianisme extra-muros pour dire ainsi. Une modélisation propre à chaque époque, qui se crée dans la manière de vivre la foi pour les laics (dans le sens classique du terme), pas au niveau dogmatique biensur. Disons aussi qu'à notre époque, paradoxalement, l'esprit analythique n'est vraiment plus apprécié à sa juste et nécessaire valeur, depuis la propagande moderne qui a mis la pseudo-empathie et le sentimentalisme à 2 balles "à l'américaine" sur un piedéstale. Cette pensé faussement noble et totalement hérétique du "tout le monde est beau, tout le monde est gentil" héritée des mouvements libéraux émancipés de l'église, est maintenant paradoxalement, entrain de reintegrer l'église afin de modifier la perception chrétienne de l'épreuve de la vie. Voila pour faire court, maintenant en quoi celà peut avoir des repercussion à mon sens, de façon plus concrete, et j'utiliserais un exemple parmis tant, mais qui emploit toujours le même schèma de fonctionnement.
Desequilibre entre l'obligation du croyant de ne pas porter de jugement et le devoir du croyant d'avoir du discernement afin de distinguer le bien du mal. (un desequilibre parmis tant d'autres, le christiasnime étant une voie subtile et un bel équilibre qui doit accorder beaucoup d'aspects) Le christianisme moderne s'étant plongé totalement dans le totalitarisme du premier commandement cité (et mal compris, qui prime à l'excès sur d'autres commandements tout aussi importants), les chrétiens se complaisent de tomber dans un état de tolérance léthargique qui est une simple caricature de ce qu'ils imaginent être l'anachorétisme chrétien. Ils tombent dans une passivité qui les poussent dans la situation la plus extreme (toujours à titre d'exemple, mais qui arrive cependant très souvent) à être dans une tolérance non-chrétienne allant jusqu'à justifier le mal, le pêché, l'oeuvre du malin. L'acceptation du mariage homosexuel par les chrétiens, sous pretexte d'amour, de "non droit des jugements des coeurs et des sentiments", en est l'exemple parfait. Mais on constate fréquemment ceci aussi à un niveau plus réduit et subtile, où le chrétien, voulant n'être qu'amour d'une façon très stupide et féminine en définitif, commence à justifier les pêchés des gens, à leur trouver des pretextes ou en s'éfforçant d'extrapoler les bons aspects de la personne (souvent en les exagérant) ils s'annulent le discernement. Et cette extrapolation non pas pour affirmer que nul n'est perdu, mais plutot pour se conforter dans leur façon passive d'être et ne pas ébranler leur faux-semblant d'harmonie intérieure (qui peut aussi venir du malin nous dit Saint Jean Climaque), ou encore en voulant copier de manière caricaturale l'exemple du Christ sans comprendre que, comme l'ont expliqué les Saint Pères, il faut également se connaitre sois même en profondeur, ses faiblesses mortifères qu'on a hérité pour certaines et developpé pour d'autres, et que sur la voie du salut il faut avancer avec des petits pas propres à chacun selon l'épreuve de chacun et les erreurs à racheter et ne puls commettre (Sainte Marie L'Egyptienne s'est racheté de ses penchant charnels qui la tourmentaient en s'isolant dans le désert et non en allant faire une vie de charité pour les démunis par exemple, car là, probablement, la tentation aurait été plus dure à extirper). Avoir l'idéal comportamental de notre Seigneur Jésus Christ, est une chose primordiale, mais vouloir se décalquer sois et sa vie de manière caricaturale selon cet idéal, en ignorant ce avec quoi on se confronte précisemment dans la particularité de notre épreuve et la manière concrete dont le diable "nous tient", est une subtilité qui nous éloigne du modèle des premiers chrétiens (radicaux selon nos barêmes modernes, adaptés à leur dure époque faite d'horribles persecutions, qui nous ont permis de garder intacte la chaine de l'héritage chrétien) et cet éloignement nous pousse vers des formes modernes et subtiles de synchrétisme (vers un christianisme impregné de valeurs new age de la tolérance mal comprise, de l'amour inconditionnel, de la paix intérieure vue comme un but un sois et non une récompense ou conséquance d'une pieuse et élevé spirituellement, etc. ... ).
La femme par sa disposition à être mère, a le rôle humain et social de soutien, d'amour au délà du jugement. Une mère est censé soutenir ses enfants affectivement même s'ils tombent dans la décadence, commettent des actes allant jusqu'à l'atrocité. L'homme de l'autre côté, ayant reçu la responsabilité de l'autorité, a le besoin d'être impartial et juste, de pouvoir juger et reflechir à froid sans laisser son jugement tomber dans l'arbitraire pour des raisons émotionnelles. Et bien que la complémentarité entre l'homme et la femme est totalement nécessaire, en ce qui concerne le modèle de reflexion chrétienne, il devrait suivre le flux d'une pensée masculine, qui sait séparer le bon grain de l'ivraie pour utiliser l'expression biblique, chose que le christianisme moderne, émasculé et dévirilisé ne s'accorde plus le droit de faire, voulant materner l'ivraie, même si ceci risque à terme d'étouffer le bon grain et du moins l'amoindrir.