Mort ne veut pas dire "destruction" du corps. Je peux mourir sans que mon corps soit détruit. Pourquoi Dieu ferait-il ressusciter les laches qui sont mort une première fois, leur redonnant comme à tout le monde leur corps, si c'est pour détruire à nouveau ce corps dans la géhenne de Feu ? Il n'est dit nulle part que dans l'étang de Feu, le corps ressuscité est détruit à nouveau.Serviteur a écrit:La doctrine de la géhenne, a toujours existé c'est son interprétation qui est mal utilisé . Pour moi la géhenne c'est la seconde mort, c'est pourtant écrit comme interprétation ( = c'est la seconde mort )
Apocalypse 21:8 "Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort."
Ici il y a l'interprétation, seconde mort éternelle ! Aucune résurrection après celle là.
La première mort, c'est la mort à la vie humaine ; la seconde mort, c'est la mort à la Vie de Dieu, à la vie de ressuscité. Ce qui veut dire que les laches, les incrédules, ceux qui auront rejeté le salut apporté par Jésus, la vie apportée par Jésus, perdront cette vie à jamais, ils en seront privés à jamais ; ils seront mort pour toujours à cette Vie en Dieu.
Lui vous baptisera (plongera) dans l'Esprit Saint et le Feu (Matthieu 3, 11)Serviteur a écrit:Par contre je demandais pas un verset sur l'endroit de tourment mais je ne comprenais pas : "Nous serons plongés dans le Feu de l'Amour de Dieu "
Je demandais un verset pour celui là car j'avais jamais compris dans ce sens :)
Serviteur
Saint Paul nous dit : 12 29 En effet, notre Dieu est un feu consumant. Hébreux.
Dieu Lui-même, quand il se montre à Moïse sur le Mont Sinaï, se montre à lui sous la forme d'un buisson de feu qui ne se consume pas, qui ne cesse de brûler, sans consumer ce qu'il brûle.
Ce qui veut dire que lorsqu'on est plongé par Jésus dans le Feu de l'Esprit Saint, le Feu de l'Amour de Dieu, on est brûlé dans ce feu sans être consumé, sans être détruit, réduit en cendre. Ce qui est pour moi le signe que l'étang de Feu ne nous détruira pas.
Arthur