• Toutes les décisions sont d’une rationalité limitée, mais à gros risques et répétitives, personne dans ce monde ne peut les prendre.
Le Prophète (sAaws) avait dit aux premiers musulmans qui avaient subi les pires atrocités de la persécution :
« Allez à el-Habasha (Ethiopie) dont le roi ne commet jamais d’injustice. C’est une terre où la vérité règne. Demeurez-y jusqu’à ce qu’Allah vous apporte la délivrance. »
Quelle certitude de la part du Prophète , qui là, est en train de prendre un grand risque si on se réfère à toute décision prise humainement : Djafar ibn Abi Talib ne portait-il pas, dans son cœur, la Sourate de la Sainte Mariem qui disait clairement que Jésus n’est pas dieu ?
Où se situe ce grand risque ?
C’est dans l’envoi des premiers musulmans vers le Négus, roi d’el-Habasha, et qui était chrétien. Comment le Prophète (sAaws) savait-il que celui-ci allait agir autrement, malgré son alliance avec Quoreiche et les grands cadeaux qui lui ont été offerts ?
Et il le savait par ceci : La plus belle créature du monde ne parle jamais sous l’effet de la passion. Supposez un moment que le Négus, en entendant la Sourate où Jésus n’est pas reconnu comme un dieu ou fils de dieu, était devenu fou de rage et avait supprimé les premiers musulmans. Qu’adviendrait-il, donc, de l’Islam ?
O Prophète de Dieu, toutes les choses qui Vous entourent sont phénoménales. Elles ne peuvent venir d’une inspiration humaine. Personne dans ce monde n’aurait pris une telle décision, sauf Vous. Et en dehors de ça, Vous avez pris, aussi, d’autres décisions à risques titanesques en envoyant des messagers aux rois et aux empereurs pour les inviter à l’Islam. Vous l’avez fait, aussi, au moment de votre religion naissante, avec une grande certitude sans craindre une hostilité, malgré que l’un de Vos messagers ait failli être tué par un roi démoniaque !
Là, moi, je vois des prophéties stupéfiantes, éclatantes et pleines de vérité. Sinon, dites-moi quel homme dans ce monde aurait pris de telles décisions à risques majeurs s’il n’est pas sûr de lui ?
La Sourate des romains est aussi un grand risque. Et il y en a d’autres : Celle du voyage nocturne et l’ascension, le fait qu’il est resté à la Mecque, en plein milieu du danger, avant l’Hégire, et l’affrontement à Badr, alors que les musulmans étaient encore minoritaires, etc.
Le Prophète (sAaws) avait dit aux premiers musulmans qui avaient subi les pires atrocités de la persécution :
« Allez à el-Habasha (Ethiopie) dont le roi ne commet jamais d’injustice. C’est une terre où la vérité règne. Demeurez-y jusqu’à ce qu’Allah vous apporte la délivrance. »
Quelle certitude de la part du Prophète , qui là, est en train de prendre un grand risque si on se réfère à toute décision prise humainement : Djafar ibn Abi Talib ne portait-il pas, dans son cœur, la Sourate de la Sainte Mariem qui disait clairement que Jésus n’est pas dieu ?
Où se situe ce grand risque ?
C’est dans l’envoi des premiers musulmans vers le Négus, roi d’el-Habasha, et qui était chrétien. Comment le Prophète (sAaws) savait-il que celui-ci allait agir autrement, malgré son alliance avec Quoreiche et les grands cadeaux qui lui ont été offerts ?
Et il le savait par ceci : La plus belle créature du monde ne parle jamais sous l’effet de la passion. Supposez un moment que le Négus, en entendant la Sourate où Jésus n’est pas reconnu comme un dieu ou fils de dieu, était devenu fou de rage et avait supprimé les premiers musulmans. Qu’adviendrait-il, donc, de l’Islam ?
O Prophète de Dieu, toutes les choses qui Vous entourent sont phénoménales. Elles ne peuvent venir d’une inspiration humaine. Personne dans ce monde n’aurait pris une telle décision, sauf Vous. Et en dehors de ça, Vous avez pris, aussi, d’autres décisions à risques titanesques en envoyant des messagers aux rois et aux empereurs pour les inviter à l’Islam. Vous l’avez fait, aussi, au moment de votre religion naissante, avec une grande certitude sans craindre une hostilité, malgré que l’un de Vos messagers ait failli être tué par un roi démoniaque !
Là, moi, je vois des prophéties stupéfiantes, éclatantes et pleines de vérité. Sinon, dites-moi quel homme dans ce monde aurait pris de telles décisions à risques majeurs s’il n’est pas sûr de lui ?
La Sourate des romains est aussi un grand risque. Et il y en a d’autres : Celle du voyage nocturne et l’ascension, le fait qu’il est resté à la Mecque, en plein milieu du danger, avant l’Hégire, et l’affrontement à Badr, alors que les musulmans étaient encore minoritaires, etc.