croyant a écrit:
j'ai un ami musulman qui m'a confirmé que tout les chretiens vont aller en enfer eternellement!!!
seul Allah le sait, car le jugement lui revient uniquement
pourquoi l"église ne répond elle pas ??? pourquoi personne ne réplique à ces dires ? et pourtant ils vivent parmi nous et ils repettent ces versets coraniques cinq fois par jours comme quoi nous sommes pire que les brebis et que c"est l'enfer qui attensds tout les chretiens !!!!!
l'eglise est perturbée plus qu'autre chose, car vos pretres savent tres bien que l'islam est une vraie religion divine, des chretiens pendant l'epoque du prophete mohamed ont cru en lui.
L'histoire du moine BahîraA l'époque où Mohammad vivait auprès de son oncle Abou Tâlib, c'est-à-dire, alors qu'il n'était pas encore pubère, il accompagna ce dernier dans son voyage commercial à Shâm (Damas). La caravane qui était très importante regorgeait de marchandises; après avoir pénétré sur le territoire syrien, elle fait une halte près d'un monastère situé à proximité de la ville de Basrâh; un moine dénommé Bahîra sort du couvent et invite les voyageurs à venir se reposer à l'intérieur du monastère. Abou Tâlib, comme les autres voyageurs, accepte la proposition, laissant Mohammad surveiller ses affaires et ses biens. Bahîra apprenant que tout le monde est présent au couvent sauf Mohammad, exige qu'on l'amène. Abou Tâlib appelle alors son neveu installé sous un olivier. Après avoir longuement scruté le jeune adolescent, Bahîra le prend, avec son oncle, à part; il lui demande: "Jure moi par Iât et 'Ozzâ (les deux déesses adorées par les habitants de la Mecque) que tu répondras à ma question". Mohammad répond: "Ces deux idoles sont les choses que je déteste le plus". Bahîra lui demande: "au nom de Dieu l'Unique, je te prie de dire la vérité. Le jeune Mohammad répond: "Je n'ai jamais menti, j'ai toujours dit la vérité; pose ta question". Bahîra dit alors: "qu'aimes-tu le plus au monde?". Mohammad déclare: "la solitude. Bahîra questionne à nouveau le jeune adolescent: "Que regardes-tu le plus et qu'aimes-tu regarder le plus?". Mohammad dit: "Le ciel et ses étoiles". Bahîra lui demande alors: "Lorsque tu observes les cieux, tu penses à quoi?". Il répond par un long silence. Bahîra, après avoir examiné son front lui dit: "Quand et comment tu t'endors?". L'adolescent répond: "Quand je regarde le ciel et les étoiles, je me vois au-dessus des étoiles". Bahîra redemande: "rêves-tu aussi?" Le jeune Mohammad déclare: "Oui, et tout ce que je rêve, je le vois aussi quand je suis réveillé". Bahîra demande alors: "que vois-tu en rêve?", et le jeune adolescent reste muet. Après un moment de silence, Bahîra demande à Mohammad: "Puis-je voir entre tes deux épaules?". Ce dernier acquiesçant, Bahîra écarte le vêtement de l'adolescent et découvre un grain de beauté: "C'est bien ça>> murmure-t-il. Abou Tâlib étonné lui lance: "Que dis-tu, qu'est ce que c'est?"
Bahîra se tournant vers Abou Tâlib lui demande "Quel lien familial te lie à cet adolescent?". Comme Abou Tâlib aimait Mohammad comme son propre fils, il déclare: "C'est mon fils". Bahîra dit alors: "Non, le père de cet adolescent doit être décédé". "D'où le sais-tu?" s'enquiert Abou Tâlib surpris, avant de révéler au moine que Mohammad est son neveu. Bahîra déclare à l'oncle: "Ecoute-moi bien, un avenir radieux et surprenant attend cet enfant. Si d'autres que moi aperçoivent ce que j'ai vu, ils le reconnaîtront et le tueront. Tu dois le mettre à l'abri des ennemis". Abou Tâleb demande alors: "Mais, qui est-il?" Et, Bahîra lui déclare: "Ses yeux annoncent un grand prophète et son dos indique cette clarté".
L'histoire du moine NestorienQuelques années plus tard, Mohammad se rend à nouveau à Shâm mais, cette fois, en tant qu'agent commercial de la noble Khadija. Cette dernière le fait accompagner de son esclave Missarah. Arrivant près d'un couvent situé aux environs de Basrâh, les voyageurs font halte et Mohammad s'installe sous un arbre. Nestor, moine qui connaissait Missarah, sort du couvent pour le recevoir. Il demande à Missarah qui est la personne qui repose sous l'arbre. L'esclave répond c'est un homme de la tribu des Qoraysh. Nestor déclare alors: "Personne ne s'arrête sous cet arbre si ce n'est le prophète de Dieu". Puis, il demande: "Est-ce que ses yeux sont tachés de rouge?". Missarah répond: "Oui, ses yeux ont continuellement cette couleur". Le moine conclut: "Oui, c'est bien lui; il est le dernier des prophètes de Dieu. Pourvu que je puisse entendre son appel lorsqu'il entreprendra sa mission".