Salâam alaykum wa rahmâtallah wa barakatuh.
Aïd Mubarak à tous les musulmans. Que Dieu vous protège, vous préserve et vous comble de ses bienfaits, ici-bas comme dans l'au-delà. Que cette fête bénie vous apporte une bonne santé, de bonnes nouvelles. J'espère que tout se passe bien pour vous, inshaalah.
Je viens ici vous présente, bi'idn Allah, le premier poème d'un recueil destiné à la gloire de Dieu. Je vais vous en montrer un extrait inshaalah :
Heureux soit le damné,
Heureux soit le banni :
L’un sera certes, voué
Aux délices du Paradis.
L’autre sera accepté
Au sein de la monarchie.
Et qui te dira ce qu’elle est ?
C’est le royaume des cieux,
Où vivront les bons, les pieux
Et ceux qui croient en Dieu.
Il y aura des blanches rivières,
Coulant sous une grande terre,
Plus fertile que celle du Caire.
Des plantes et des fleurs
Ne réclamant pas d’arroseur
Les aspergeant avec ardeur.
Des perles scintillantes,
Des pierreries brillantes,
Les pareront sans attente.
Ils se délecteront de boissons ;
Qu’ils boiront sans abstention.
Assis sur des sièges d’or,
Tel est leur heureux sort.
Quant à ceux qui ont tord…
L’Enfer sera leur corps.
Voilà quelques-uns de leur supplice
– car c’est ainsi que les indus finissent.
On les fera entrer dans un brasier,
Dans les flammes d’un énorme fossé,
Ou dans le lit d’un lac de feu liquéfié.
Le feu consumera leurs peaux,
Ils subiront mille maux.
Tel est le destin des sots !
C’est là un mauvais lot ;
A Dieu donc, nuls égaux !
Les dieux que vous forgez,
D’une pierre dure et paralysée,
N’ont aucun pouvoir sur vous.
Les voyez-vous bouger ?
Mais vous ignorez tout !
Les imposteurs que vous associez ;
Au Créateur Tout Glorifié,
Ceux-là que vous célébrez,
Ne sont ni vivants ni créés.
Voilà ce qui est vrai.
Tournez-vous donc vers Sa Face.
O humains de toute race !
Prosternez-vous, humiliez-vous,
Maintenant que vous savez tout !
Voilà ce qu’on vous dit : abandonnez l’argent,
Courez, marchands, honnêtes paysans,
Laissez-là vos provisions ;
Pour vous rendre, obéissants,
Vers les lieux d’adoration !
Ne protégez pas jalousement vos biens,
Ce sera là un acte détestable, vain.
Car aucune de vos richesses,
Depuis l’or jusqu’aux ânesses,
Ne vous suivront vers Son Altesse.
Dieu ! Tu es mon Roi !
Je t’en supplie, dicte Tes lois !
Divin souverain ! Sauve-moi !
Ne me laisse pas dans l’ignorance,
Alors que je te prie plein d’éloquence ! »
Gloire à Toi qui a envoyé,
Le prophète, qu’il soit préservé,
Pour que, de l’obscurité nous émergions,
Et que de la mécréance nous nous sauvions !
Tu es le Seigneur des Mondes,
Maître des réprimandes !
Gratifie-nous de ta justice,
Afin que l’iniquité finisse.
Aïd Mubarak à tous les musulmans. Que Dieu vous protège, vous préserve et vous comble de ses bienfaits, ici-bas comme dans l'au-delà. Que cette fête bénie vous apporte une bonne santé, de bonnes nouvelles. J'espère que tout se passe bien pour vous, inshaalah.
Je viens ici vous présente, bi'idn Allah, le premier poème d'un recueil destiné à la gloire de Dieu. Je vais vous en montrer un extrait inshaalah :
Heureux soit le damné,
Heureux soit le banni :
L’un sera certes, voué
Aux délices du Paradis.
L’autre sera accepté
Au sein de la monarchie.
Et qui te dira ce qu’elle est ?
C’est le royaume des cieux,
Où vivront les bons, les pieux
Et ceux qui croient en Dieu.
Il y aura des blanches rivières,
Coulant sous une grande terre,
Plus fertile que celle du Caire.
Des plantes et des fleurs
Ne réclamant pas d’arroseur
Les aspergeant avec ardeur.
Des perles scintillantes,
Des pierreries brillantes,
Les pareront sans attente.
Ils se délecteront de boissons ;
Qu’ils boiront sans abstention.
Assis sur des sièges d’or,
Tel est leur heureux sort.
Quant à ceux qui ont tord…
L’Enfer sera leur corps.
Voilà quelques-uns de leur supplice
– car c’est ainsi que les indus finissent.
On les fera entrer dans un brasier,
Dans les flammes d’un énorme fossé,
Ou dans le lit d’un lac de feu liquéfié.
Le feu consumera leurs peaux,
Ils subiront mille maux.
Tel est le destin des sots !
C’est là un mauvais lot ;
A Dieu donc, nuls égaux !
Les dieux que vous forgez,
D’une pierre dure et paralysée,
N’ont aucun pouvoir sur vous.
Les voyez-vous bouger ?
Mais vous ignorez tout !
Les imposteurs que vous associez ;
Au Créateur Tout Glorifié,
Ceux-là que vous célébrez,
Ne sont ni vivants ni créés.
Voilà ce qui est vrai.
Tournez-vous donc vers Sa Face.
O humains de toute race !
Prosternez-vous, humiliez-vous,
Maintenant que vous savez tout !
Voilà ce qu’on vous dit : abandonnez l’argent,
Courez, marchands, honnêtes paysans,
Laissez-là vos provisions ;
Pour vous rendre, obéissants,
Vers les lieux d’adoration !
Ne protégez pas jalousement vos biens,
Ce sera là un acte détestable, vain.
Car aucune de vos richesses,
Depuis l’or jusqu’aux ânesses,
Ne vous suivront vers Son Altesse.
Dieu ! Tu es mon Roi !
Je t’en supplie, dicte Tes lois !
Divin souverain ! Sauve-moi !
Ne me laisse pas dans l’ignorance,
Alors que je te prie plein d’éloquence ! »
Gloire à Toi qui a envoyé,
Le prophète, qu’il soit préservé,
Pour que, de l’obscurité nous émergions,
Et que de la mécréance nous nous sauvions !
Tu es le Seigneur des Mondes,
Maître des réprimandes !
Gratifie-nous de ta justice,
Afin que l’iniquité finisse.