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Présentation

2 participants

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1Présentation Empty Présentation Mer 30 Mai - 16:05

tiersi

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Novice
Novice

De culture chrétienne, je crois en Dieu comme je crois au Big Bang. A la différence que ma conviction en ce «principe causal» repose sur une intuition personnelle, procédant de l’émotion devant «l’infini des poètes», mais aussi procédant d’une longue étude personnelle dans bien des domaines, alors que celle se rapportant au Big Bang provient de l’intuition, extérieure à moi, des scientifiques, laquelle s’appuie sur des raisonnements logiques.
Afin de mieux me situer, voici l’une de mes réflexions.

Portrait métaphorique de Dieu
Par Dieu, entendons ici la réponse aux grandes questions posées par l’homme depuis que ses interrogations portent sur des notions abstraites: existence de Dieu, origine du monde, sens de sa vie, quelque chose après la mort…
Alors imaginons un photographe métaphorique souhaitant avoir des réponses à ces questions. Avec son appareil photo métaphorique, muni d’un flash métaphorique, il appuie sur le déclic métaphorique.
Seulement, la lumière de son flash métaphorique, comme tout flash physique en ce bas monde, produit un éclairage «plat», sans relief, qui permet de reconnaître tout juste le sujet.
Autre problème du flash: le premier plan est «cramé», surexposé.
Quant au fond, éloigné du sujet, il est par contre très sombre, sous-exposé. On ne voit presque rien.
Explication: cette source lumineuse unique, placée à côté de l’objectif, est la métaphore de quoi? Il s’agit de l’éclairage porté sur une religion hégémonique, à la vision étroite et limitée.

Alternative à cette investigation étriquée.
D’abord, on emploiera une lumière réduite qui sera dirigée sur le premier plan. Explication: il s’agit de l’éclairage porté sur la sorcellerie, le chamanisme, les hommes-médecine…
Puis, pour le sujet, au centre, on aura recours à un éclairage assez puissant, venu d’en haut, quelque part entre latéral et facial, d’un côté ou de l’autre. Explication: il s’agit, pour le photographe, de l’éclairage porté sur sa propre religion. Ou bien sur le contexte civilisationnel qui a présidé à son éducation.
Côté opposé, on installera une lumière venue aussi d’en haut, également située entre les positions latérales et faciales, mais moins intense, afin de créer du modelé, de la profondeur, sur le sujet. Explication: il s’agit de l’éclairage porté sur tous les grands courants religieux.
Face au sujet, on mettra une petite lampe flood, à hauteur d’homme, dont l’intensité mesurée permettra d’adoucir le contraste, juste assez pour déboucher certaines ombres. En particulier, ce triangle noir, disgracieux, sous le nez. Explication: il s’agit de l’éclairage porté sur l’athéisme.
Par-derrière, on fera plonger un puissant projecteur qui frise le sujet, créant un liseré surexposé. Notre sujet se détache désormais parfaitement du fond. Explication: il s’agit de l’éclairage porté sur l’ésotérisme.
Il existe également la possibilité de disposer différemment ce puissant projecteur, cette fois, orienté de bas en haut, et placé par-devant. A déconseiller aux âmes sensibles car il rend le sujet effrayant (technique des films d’horreur). Explication: il s’agit de l’éclairage porté sur l’occultisme chtonien.
Quant au fond, il est trop vaste. Une seule lampe, même très puissante, ne suffirait pas. Le photographe va donc disposer une multitude de projecteurs directifs, chacun orienté sur un détail intéressant. Explication: il s’agit de l’éclairage porté sur la philosophie, la psychologie, la psychanalyse, la sociologie, l’ethnologie, le paranormal, l’anthropologie, les mythologies, les contes et légendes, la littérature, les langues, la sémantique, la philologie, la communication, l’art, l’archéologie, l’histoire, l’astronomie…

L’observateur avisé constatera donc que pour avoir la meilleure connaissance concernant cette question, plus on diversifie les éclairages, plus on a des chances de se faire une idée satisfaisante du sujet.

2Présentation Empty Re: Présentation Ven 8 Juin - 12:20

Invité

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Invité

Comment croire en Dieu et croire au big bang ?
Le big bang théorie(scientifique)qu'il appelle le hasards,croyez vous que l'ont vient du hasards ?

Ou bien de Dieu créateur du ciel et tout ce qu'il y a et de la terre et tout ce qu'il y a ?

3Présentation Empty Re: Présentation Sam 9 Juin - 9:48

tiersi

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Novice
Novice

Eve
Comment croire en Dieu et croire au big bang ?
Le big bang théorie(scientifique)qu'il appelle le hasards,croyez vous que l'ont vient du hasards ?
Ou bien de Dieu créateur du ciel et tout ce qu'il y a et de la terre et tout ce qu'il y a ?


Tiersi
L’un n’empêche pas l’autre. Bien sûr, je ne fais pas la confusion entre Dieu et le big bang. L’Un est à l’origine du second.
Quant au hasard, voici une réflexion personnelle, proche du sujet.

Ode au néant
L’athéisme est une religion supérieure aux autres pour la bonne raison qu’elle repose sur un fondement miraculeux sans équivalent. Evidemment, pas grâce à son dieu (lequel s’appelle «Quinexistepas»), vu que celui-ci est inopérant.
La supériorité de la religion athée, sur toutes les autres, est ailleurs. Elle réside dans son mystère, Un mystère qui surpasse, et de loin, tous les autres mystères.
A la différence de la réponse habituelle: Dieu, expliquant l’origine du monde, les athées soutiennent: le néant. Or fabriquer un univers viable n’est pas une mince affaire. Les religieux apprennent que même pour Dieu, l’exercice fut exténuant. Six jours d’un labeur intense et le septième, épuisé, selon toute vraisemblance, Il s’allongea sur son clic-clac. Et ça, le néant ne pouvait l’ignorer. On ne le prenait pas au dépourvu. Ce n’était pas gagné d’avance. D’autant qu’il se savait dépourvu de carrure divine. Aussi, devant l’ampleur titanesque de la tâche, il dut s’adresser au dieu Quinexistepas.
– Je n’y arriverai jamais tout seul, il faudrait me donner un coup de main.
– Sûrement pas!
– Et pourquoi donc?
– Parce que je n’existe pas!
Nulle mauvaise volonté ou paresse de sa part, c’était juste un problème de pure logique. Le néant fut bien forcé d’en convenir. Alors il prit son courage à deux mains et… Et… Et…
Comment y parvint-il? Dieu seul le sait, et personne d’autre. C’est ça, l’insondable mystère de l’athéisme. Avec du parfait néant (en petite ou grande quantité, ce n’est pas précisé), on fait quelque chose. Nous sommes tous obligés de le reconnaître, l’univers existe. Avec des preuves irréfutables telles que l’œuf et la poule, même si certains continuent à se poser des questions à leur sujet.

Bref, le néant réussit à terminer le boulot. Mais dans quel état? Harassé, fourbu, éreinté, complètement lessivé, vanné, en capilotade, rompu, moulu, vidé, pompé, crevé.

Et il n’en fut guère récompensé car les athées sont sacrément ingrats. Alors que le néant fit preuve d’un trésor d’imagination agrémenté de subtilités sans bornes, les oublieux le rangent dans une catégorie où s’illustrent ce gredin de chaos, qui agit comme un malotru, et l’ingérable hasard, qui fourre son nez partout.
Pas la moindre considération particulière. Pas la plus modeste commémoration. Pas un seul jour du calendrier pour honorer sa mémoire. Au besoin, un jour non férié eut fait l’affaire, pourvu qu’il ne fut pas trop mal placé. Des nèfles, oui!
Aucun édifice dédié à son évocation, à la célébration de sa prouesse originelle. Bernique! Pas d’autels domestiques où trônerait son portrait (un simple cadre évidé offre pourtant une belle ressemblance). Avec ne serait-ce que quelques fleurs en plastique achetées au rabais. Ce n’est quand même pas demandé l’impossible. Macache!
Sans compter que ses «fidèles» n’accordent pas de majuscule à son auguste nom. Alors qu’il suffirait d’une seconde pour écrire correctement Néant. Sinon, le grand Néant, beaucoup mieux encore. Ça ne coûte pas un rond et ça fait toujours plaisir. Des clous, ouais!

Est-ce parce qu’il ne se remit jamais de sa dépense d’énergie monstrueuse lors de la création, ou, plus prosaïquement, boude-t-il? Quoi qu’il en soit, depuis ce prodige initial, le néant ne crée plus rien. Il n’en fiche carrément plus une rame. Tous les scientifiques sobres le confirment. Que dalle! Même pas le plus petit, insignifiant, moins onéreux, dérisoire cadeau de lessive. Nib!

Moralité: sans être bourré, affirmer que le néant produit quelque chose, c’est, à la manière d’un banal dévot, croire aux miracles. C’est avaler, tel un gros gogo gobeur, ce fameux méga-miracle laïque des origines.

Attendu que l’intitulé fait mention d’ode, il est temps d’oder religieusement.
Néant, ô toi dont le patronyme rime avec néon (au diable les pinailleurs), que chante le paon enrhumé.
Néon, tellement semblable à toi, ô Néant, puisque l’éclairage artificiel tire d’embarras ceux qu’entoure l’obscurité. Tandis qu’il faut chercher une clé à l’intérieur de la cave, si profonde. Ou sous le porche, si discret. Ou dans le corridor, si long. Ou la remise, si encombrée. Ou près du toit, si haut. Les cloportes dégagent. La voie de garage cesse de l’être.
O Néant, tu ravis l’athée au logis.

4Présentation Empty Re: Présentation Sam 9 Juin - 11:41

patience

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Enthousiaste
Enthousiaste

Bonjour Tiersi,



Je viens de lire ce que tu as écris, j’ai retenu ceci «Bien sûr, je ne fais pas la confusion entre Dieu et le big bang. L’Un est à l’origine du second. » Pourrais tu donner une explication de ceci dans ce lien, merci.



http://www.forumreligion.com/t1196p30-le-big-bang

5Présentation Empty Re: Présentation Sam 9 Juin - 11:56

Invité

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Invité

tiersi a écrit:Eve
Comment croire en Dieu et croire au big bang ?
Le big bang théorie(scientifique)qu'il appelle le hasards,croyez vous que l'ont vient du hasards ?
Ou bien de Dieu créateur du ciel et tout ce qu'il y a et de la terre et tout ce qu'il y a ?


Tiersi
L’un n’empêche pas l’autre. Bien sûr, je ne fais pas la confusion entre Dieu et le big bang. L’Un est à l’origine du second.
Quant au hasard, voici une réflexion personnelle, proche du sujet.

Ode au néant
L’athéisme est une religion supérieure aux autres pour la bonne raison qu’elle repose sur un fondement miraculeux sans équivalent. Evidemment, pas grâce à son dieu (lequel s’appelle «Quinexistepas»), vu que celui-ci est inopérant.
La supériorité de la religion athée, sur toutes les autres, est ailleurs. Elle réside dans son mystère, Un mystère qui surpasse, et de loin, tous les autres mystères.
A la différence de la réponse habituelle: Dieu, expliquant l’origine du monde, les athées soutiennent: le néant. Or fabriquer un univers viable n’est pas une mince affaire. Les religieux apprennent que même pour Dieu, l’exercice fut exténuant. Six jours d’un labeur intense et le septième, épuisé, selon toute vraisemblance, Il s’allongea sur son clic-clac. Et ça, le néant ne pouvait l’ignorer. On ne le prenait pas au dépourvu. Ce n’était pas gagné d’avance. D’autant qu’il se savait dépourvu de carrure divine. Aussi, devant l’ampleur titanesque de la tâche, il dut s’adresser au dieu Quinexistepas.
– Je n’y arriverai jamais tout seul, il faudrait me donner un coup de main.
– Sûrement pas!
– Et pourquoi donc?
– Parce que je n’existe pas!
Nulle mauvaise volonté ou paresse de sa part, c’était juste un problème de pure logique. Le néant fut bien forcé d’en convenir. Alors il prit son courage à deux mains et… Et… Et…
Comment y parvint-il? Dieu seul le sait, et personne d’autre. C’est ça, l’insondable mystère de l’athéisme. Avec du parfait néant (en petite ou grande quantité, ce n’est pas précisé), on fait quelque chose. Nous sommes tous obligés de le reconnaître, l’univers existe. Avec des preuves irréfutables telles que l’œuf et la poule, même si certains continuent à se poser des questions à leur sujet.

Bref, le néant réussit à terminer le boulot. Mais dans quel état? Harassé, fourbu, éreinté, complètement lessivé, vanné, en capilotade, rompu, moulu, vidé, pompé, crevé.

Et il n’en fut guère récompensé car les athées sont sacrément ingrats. Alors que le néant fit preuve d’un trésor d’imagination agrémenté de subtilités sans bornes, les oublieux le rangent dans une catégorie où s’illustrent ce gredin de chaos, qui agit comme un malotru, et l’ingérable hasard, qui fourre son nez partout.
Pas la moindre considération particulière. Pas la plus modeste commémoration. Pas un seul jour du calendrier pour honorer sa mémoire. Au besoin, un jour non férié eut fait l’affaire, pourvu qu’il ne fut pas trop mal placé. Des nèfles, oui!
Aucun édifice dédié à son évocation, à la célébration de sa prouesse originelle. Bernique! Pas d’autels domestiques où trônerait son portrait (un simple cadre évidé offre pourtant une belle ressemblance). Avec ne serait-ce que quelques fleurs en plastique achetées au rabais. Ce n’est quand même pas demandé l’impossible. Macache!
Sans compter que ses «fidèles» n’accordent pas de majuscule à son auguste nom. Alors qu’il suffirait d’une seconde pour écrire correctement Néant. Sinon, le grand Néant, beaucoup mieux encore. Ça ne coûte pas un rond et ça fait toujours plaisir. Des clous, ouais!

Est-ce parce qu’il ne se remit jamais de sa dépense d’énergie monstrueuse lors de la création, ou, plus prosaïquement, boude-t-il? Quoi qu’il en soit, depuis ce prodige initial, le néant ne crée plus rien. Il n’en fiche carrément plus une rame. Tous les scientifiques sobres le confirment. Que dalle! Même pas le plus petit, insignifiant, moins onéreux, dérisoire cadeau de lessive. Nib!

Moralité: sans être bourré, affirmer que le néant produit quelque chose, c’est, à la manière d’un banal dévot, croire aux miracles. C’est avaler, tel un gros gogo gobeur, ce fameux méga-miracle laïque des origines.

Attendu que l’intitulé fait mention d’ode, il est temps d’oder religieusement.
Néant, ô toi dont le patronyme rime avec néon (au diable les pinailleurs), que chante le paon enrhumé.
Néon, tellement semblable à toi, ô Néant, puisque l’éclairage artificiel tire d’embarras ceux qu’entoure l’obscurité. Tandis qu’il faut chercher une clé à l’intérieur de la cave, si profonde. Ou sous le porche, si discret. Ou dans le corridor, si long. Ou la remise, si encombrée. Ou près du toit, si haut. Les cloportes dégagent. La voie de garage cesse de l’être.
O Néant, tu ravis l’athée au logis.

Se croyant fermement au-dessus du Créateur, et ne pouvant supporter plus longtemps que la création ne sorte de leurs mains, ces hommes, qui se sentent à part et supérieurs au reste de l’humanité, n’hésitent pas alors à changer la nature par des manipulations de gènes, de cellules, ou d’embryons. Place ! Place ! Écartez-vous ! Écartez-vous ! Crient-ils à la foule, nous venons prendre en main la Terre entière et toute la création pour corriger ses imperfections ! Nous allons changer les plantes, les bêtes et les hommes pour tout améliorer, affirment-ils ! Mais quelles sont leurs oeuvres ? En les observant attentivement, il apparaît qu’elles détériorent tout, en créant la misère, ainsi que d’innombrables maladies et beaucoup de souffrance. A cause d’eux, tout ce qui est naturel disparaît, et l’ordre originel est ébranlé. Ils n’ont pas entendu que Dieu est jaloux des oeuvres qu’il a faites. Toutefois ils vont l’entendre je vous le dis.

Mais pour s’imposer à la face du monde, ces fils de ténèbres, qui renient l’Éternel, devaient se trouver un autre créateur convenant mieux à leur immense vanité. Ils le cherchèrent et le trouvèrent dans un jeu de dés appelé : HASARD, et l’imposèrent aux esprits. Celui-ci étant alors devenu le père de tout, il leur fallait une mère ; ils se la firent avec l’ÉVOLUTION. Une raison à la vie s’imposait alors, ils la trouvèrent dans la NÉCESSITÉ D’EXISTER. Ils devaient cependant concevoir un commencement à l’univers, ils le façonnèrent avec l’EXPLOSION soudaine, à un moment précis, d’une matière mystérieuse, existant de toute éternité et venant de nulle part, qui ne pouvait errer plus longtemps dans l’espace sans limite. Mais, en pensant que cette explosion extraordinaire et le chaos qui s’en suivit avaient donné naissance aux galaxies bien ordonnées dans leurs mouvements et à tout ce qui s’y trouve, ils étaient fort soucieux ; car, pour ne pas avoir inventé l’éternité avec leur commencement de l’univers, il était urgent d’y trouver une fin... Ils la cherchèrent de tous côtés et finirent par la voir dernièrement dans leurs fameux TROUS NOIRS, qu’ils ne localisent pas à l’intérieur de leur crâne toutefois mais à l’extérieur, dans l’espace, et forcément loin d’ici, où ils avalent goulûment les galaxies qui ont assez duré. Où peuvent-elles aller, s’interrogent-ils alors ? Ceux qui imaginent fort bien cela les font passer dans un UNIVERS PARALLÈLE au nôtre. De quoi est-il fait ? D’ANTIMATIÈRE évidemment ! répondent les plus rusés, qui utilisent ce subterfuge pour s’aménager une sortie devant ceux qui les interrogent... Mais il leur fallait déterminer une certaine durée à leur univers qu’ils limitent dans le temps. Aussi, avec beaucoup de générosité, ils l’autorisèrent à vivre pendant VINGT MILLIARDS D’ANNÉES... Quinze sont déjà passées, disent-ils...

Ainsi, ils ont créé un univers à leur image et dans les dimensions de leur grandeur, et un univers particulier qu’ils se sont empressés d’enfermer dans leurs lois, de peur qu’il n’en sorte. Puis ils enseignent ces inepties aux enfants, mais en faisant d’abominables grimaces d’inquiétude toutefois, parce qu’ils savent fort bien que des mensonges aussi énormes ne peuvent tenir longtemps. Ces hommes-là sont dépourvus de raison ! Pourtant ils sont toujours interrogés et écoutés, parfois vénérés... Ils tiennent ainsi le monde dans leur main.

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