Le gros mensonge de l'évolution
Source : http://www.islam-paradise.com/mensonge_evolution.php
Les fossiles réfutent la théorie de l'évolution La théorie de l'évolution suppose qu'entre les espèces
vivantes, un grand nombre de formes intermédiaires existèrent autrefois,
et que leurs restes doivent se retrouver dans les fossiles. Mais les
fouilles menées par les évolutionnistes dans l'espoir de confirmer leur
théorie sont restées vaines. L'évolutionniste David Kitts, un Professeur
de l'Université d'Oklahoma, admet que : "L'évolution nécessite des
formes intermédiaires entre les espèces, et la paléontologie ne les a
pas fournies". (
David B. Kitts, "Paleontology and Evolutionary Theory", Evolution, vol. 28, septembre 1974, p. 467 )
A ce jour, quelques 100 millions de fossiles de 250.000
espèces différentes ont été déterrés et chacun d'entre eux fournit la
preuve de la création.
Quels faits provenant des strates fossiles invalident l'évolution ?
Dans les couches fossiles, on rencontre deux faits importants prouvant que l'évolution n'a jamais eu lieu :
1)
Constance - la plupart des espèces ne montre aucun changement directionnel au
cours de leur existence sur terre. Elles apparaissent dans les
enregistrements fossiles de forme identique qu'au moment de leur
disparition, les changements morphologiques sont souvent limités et sans
direction.
2)
Apparition soudaine - dans n'importe quelle zone localisée, une espèce n'apparaît
pas graduellement par la transformation régulière de ses ancêtres ; elle
apparaît tout d'un coup et "pleinement formée". (
S. J. Gould, "Evolution's Erratic Pace", Natural History, vol. 86, mai 1977, p. 14 )
Les affirmations d'une "évolution humaine" sont invalides L'arbre généalogique de l'homme s'est révélé être une
construction totale de l'imagination des évolutionnistes. Les
évolutionnistes ont proposé que les êtres humains ont évolué
graduellement, de l'
Australopithèque en
Homo habilis , en
Homo erectus et finalement en
Homo sapiens .
Ils ont donné l'impression que chacune de ces espèces d'hominidés était
le précurseur de celle qui a suivi. Les dernières découvertes des
paléoanthropologistes, cependant, montrent que les
Australopithèques ,
Homo habilis et
Homo erectus vivaient en fait à la même époque, mais dans des endroits différents du
monde. Cela invalide totalement le mythe évolutionniste - qu'ils
étaient les précurseurs et les descendants des autres dans l'arbre
généalogique de l'homme.
Jouer au jeu de reconstruction des fossiles Une indication que la théorie de l'évolution est fondée
sur des tromperies, plutôt que des preuves scientifiques, est la
préparation d'images et de modèles d'espèces éteintes dont seuls
quelques fragments d'os ont été découverts.
Dans de telles reconstructions, les tissus mous comme
les lèvres, le nez et les oreilles sont généralement représentés de
telle manière à suggérer que la créature vivante ressemblait à un
homme-singe. Cependant, le fait est que de tels tissus ne se fossilisent
pas et qu'il est impossible de déterminer leur structure à partir des
os. Ces caractéristiques sont les seuls produits de l'imagination
préconçue des évolutionnistes.
Les formes de vie du Cambrien réfutent la théorie de l'évolution Des catégories principales d'animaux (phylums) telles
que les mollusques et les chordés, pratiquement toutes sont apparues au
cours de la période cambrienne, il y a quelques 530 millions d'années.
Tandis que seulement un ou deux phylums existaient à la période
précambrienne, plus de 50 phylums apparurent soudainement à cette
époque, dans de nombreuses régions du monde. Tandis que les formes
précambriennes affichaient des structures simples, celles du Cambrien
sont incomparablement complexes - la preuve que ces êtres vivants sont
apparus d'un seul trait, sans suivre d'évolution.
Les "fossiles vivants" réfutent la théorie de l'évolution La seule existence de ces créatures réfute de manière
frappante la théorie de l'évolution. Ces espèces sont connues sous le
nom de "fossiles vivants" puisqu'elles sont restées inchangées après des
millions d'années, leurs représentants modernes étant identiques aux
spécimens des enregistrements fossiles. Les fossiles vivants
d'aujourd'hui incluent un grand nombre d'espèces, des fourmis aux
arbres, et des chauves-souris aux requins. Cela confirme définitivement
qu'au cours de l'histoire de ces espèces, aucune évolution n'a eu lieu.
(IMPORTANT !) L'imposture de "l'homme de Piltdown" Ce fossile est le résultat d'une grande imposture qui a
trompé le monde scientifique durant des années. Les évolutionnistes
affirmèrent qu'un crâne découvert près de Piltdown en Angleterre était
celui d'un homme-singe. Ce crâne avait des caractéristiques humaines, et
la mâchoire ressemblait à celle d'un orang-outang. Pendant 40 ans, le
célèbre British Museum l'exposa en tant que preuve de l'évolution. En
1953, cependant, la vérité éclata au grand jour : l'homme-singe était
une imposture. Un crâne d'humain et une mâchoire d'orang-outang avaient
été combinés pour donner l'impression d'un homme-singe ! (
Kenneth Oakley, William Le Gros Clark & J. S., "Piltdown," Meydan Larousse, vol. 10, p. 133 )
(IMPORTANT !) Le scandale de "l'homme du Nebraska" Une molaire fossilisée découverte dans l'état américain
du Nebraska en 1922 montre comment les évolutionnistes utilisent leur
imagination pour interpréter les découvertes. Ils affirmèrent que la
molaire appartenait à un homme-singe, et même si, à part cette dent,
aucun autre reste de ce soi-disant homme-singe ne fut découvert, les
évolutionnistes n'eurent aucun scrupule devant les interprétations
artistiques le reproduisant, en même temps que sa famille. Cependant,
l'affaire éclata avec un grand embarras cinq ans plus tard quand on
détermina finalement que la dent en question était celle d'un cochon !
La vérité à propos de l'ancêtre imaginaire des oiseaux Les évolutionnistes ne font plus référence à
l'Archæoptéryx comme une "forme intermédiaire" entre les reptiles et les
oiseaux. Des études sur ce fossile montrent maintenant que ce n'est pas
une forme de transition, mais définitivement une espèce éteinte
d'oiseau, malgré certaines caractéristiques différentes de celles des
espèces modernes. (Pendant de nombreuses années, le fait que
l'Archæoptéryx ait des serres était considéré comme une preuve
importante de son statut de forme intermédiaire. Mais l'Hoazin, un
oiseau vivant encore de nos jours, possède aussi des serres et c'est un
oiseau normal sous tous les angles)
La présence d'un sternum prouve que l'Archæoptéryx avait de puissants
muscles de vol, et la structure asymétrique de ses plumes, identique à
celle des oiseaux modernes, montre que de toute évidence cette créature
était capable de voler parfaitement.
La sélection naturelle ne mène pas à l'évolution ! La sélection naturelle n'a pas le pouvoir de faire
évoluer les êtres vivants. Elle signifie simplement la survie des
individus les mieux adaptés à leurs conditions environnementales. Par
exemple, quand un prédateur menace une horde de cerfs, ceux qui sont
capables de fuir survivront, et la horde se réduira au final aux animaux
les plus rapides. Mais ce processus est limité, et il ne provoquera pas
l'évolution des cerfs en d'autres espèces. Car l'information génétique
concernant le squelette et la physiologie musculaire du cerf est stockée
dans son ADN, et la lutte contre les prédateurs ne change en aucun cas
cette composition génétique.
Les erreurs concernant l'embryon humain Au 19ème siècle, les évolutionnistes présentèrent la
théorie erronée de la récapitulation. Ils affirmèrent qu'au cours de son
développement dans l'utérus de sa mère, l'embryon humain montre d'abord
les caractéristiques d'un poisson, puis celles d'un reptile, avant de
prendre finalement les caractéristiques humaines. Comme l'embryologie
avança, des études approfondies des tissus réfutèrent cette théorie. Les
supposées "ouïes" au cours des premiers stades de l'embryon se sont
plus tard avérées être les précurseurs des glandes parathyroïdes et du
thymus, et du canal moyen de l'oreille. La portion de l'embryon qu'ils
décrivaient comme une "queue" est en fait la colonne vertébrale. Et
ainsi la théorie que le développement embryonnaire d'un individu reflète
les prétendues étapes évolutionnaires a été condamnée à la poubelle de
l'histoire.
La "bipédie" invalide la prétendue évolution humaine Les êtres humains peuvent marcher debout grâce à
l'arrangement très sensible de leurs muscles, de leurs nerfs et de leurs
os qui sont attachés les uns aux autres. Selon les évolutionnistes, les
êtres humains ont du acquérir la marche debout à travers un processus
au cours duquel les singes ont adopté une posture droite via des
mutations dues au hasard (!). Cependant, la complexité biomécanique de
la bipédie ne peut apparaître via une évolution, car la moindre mutation
apparaissant dans un groupe d'os ou de muscles interférera avec un
système qui fonctionne comme un tout. Tout comme un changement aléatoire
au mécanisme d'une montre l'endommagera, la bipédie n'a pu se
développer au moyen de mutations aléatoires. Les découvertes de la
biomécanique confirment cela, en montrant qu'un être vivant peut soit
marcher debout, soit sur quatre pattes. Un type de marche entre les deux
est impossible.
La "série" de chevaux est une tromperie En face des faits scientifiques, les évolutionnistes ont
été forcés d'abandonner le mythe de "l'arbre généalogique" du cheval.
La série de chevaux a été produite par l'imagination des
évolutionnistes, et plus tard invalidée par la découverte que les
créatures dont les évolutionnistes arrangeaient les fossiles en séquence
étaient en fait contemporaines, vivant au même endroit simultanément.
Cela montre l'invalidité de l'affirmation qu'une espèce peut être
l'ancêtre évolutionnaire d'une autre.
L'erreur du coelacanthe : les poissons ne se sont pas développés en amphibiens à quatre membres Les évolutionnistes considéraient autrefois les fossiles
du coelacanthe - un poisson rhipidistien que l'on pensait éteint depuis
70 millions d'années - comme une forme intermédiaire entre les poissons
et les amphibiens, dans leur scénario de transition de l'eau vers la
terre. En 1938, cependant, un spécimen vivant de coelacanthe fut péché
dans l'Océan Indien. Jusqu'à maintenant, plus de 200 spécimens ont été
attrapés. Les études de ces coelacanthes modernes ont révélé que ce
poisson n'a rien de transitionnel, mais qu'il possède une structure
complète parfaite, et que les interprétations précédentes basées sur ces
fossiles sont entièrement erronées.
La distorsion des similarités entre l'homme et le singe L'affirmation que les êtres humains et les singes sont
similaires à 99% est basée sur la similarité des séquences d'acides
aminés dans quelques 30 à 40 protéines fondamentales qui se retrouvent à
la fois chez l'homme et chez les singes. Mais les êtres humains
possèdent environ 30.000 gènes, et ces gènes codent environ 100.000
protéines. Sur la base de 40 protéines sur 100.000, il n'y a aucun
fondement scientifique pour affirmer que 99% des gènes humains et de
singes sont identiques. Cette généralisation est aussi absurde que de
dire que deux livres épais, dans lesquels seulement trois phrases sont
identiques, doivent représenter le même texte.
La complexité irréductible La théorie de l'évolution est basée sur l'idée d'un
développement graduel. Mais le concept de la complexité irréductible
l'invalide. Par exemple, des structures telles que les glandes
lacrymales, la rétine et l'iris, qui forment ensemble l'œil humain,
n'ont pu se former via un processus graduel où chacune d'entre elles
apparaît l'une après l'autre. Car la vision ne peut fonctionner que
lorsque tous les composants de l'œil sont pleinement formés. Si un seul
est absent, alors l'organe ne sert à rien et il dégénèrera jusqu'à
l'élimination par la sélection naturelle.
Le mécanisme imaginaire des mutations Les mutations sont des erreurs de copie dans les
séquences nucléotidiques de la molécule d'ADN. Elles peuvent survenir
suite à des radiations ou à des produits chimiques. Ces séquences de
nucléotides sont extrêmement complexes. Tout comme les lettres doivent
être placées dans un ordre spécifique pour composer un long texte, des
millions de nucléotides doivent être placés selon une séquence
spécifique pour composer un gène. Des mutations aléatoires ayant lieu
dans les gènes ne causeront que des dommages, généralement trop
importants pour être réparés par la cellule, menant à des difformités et
même à la mort. Les gens exposés aux radiations à Hiroshima, Nagasaki
et Tchernobyl sont des exemples vivants de cela. L'adhésion des
évolutionnistes à un tel mécanisme dont les effets destructeurs sont
flagrants est en soi une indication de la situation désespérée dans
laquelle ils se trouvent.
Les variations ne signifient pas évolution Grâce aux variations, les individus de n'importe quelle
espèce vivante affichent des caractéristiques différentes les uns des
autres. Par exemple, certaines personnes ont les cheveux roux alors que
d'autres sont blonds ; certains sont grands, d'autres petits - cette
variété est permise par le potentiel de leur ADN, exprimé par
différentes combinaisons d'information génétique. Cependant, de telles
variations ne peuvent mener à l'évolution, car elles ne produisent pas
de nouvelles informations génétiques. C'est pourquoi, quel que soit le
nombre de croisements effectués par une personne pour améliorer des
pigeons voyageurs, elle ne produira jamais une espèce différente, comme
des hirondelles.
La merveille chez les mouches Une mouche peut battre ses ailes 500 fois par seconde,
simultanément. Il n'y a jamais le moindre incident dans le mouvement de
ses deux ailes, et la mouche ne perd jamais l'équilibre. Cette capacité
est rendue possible par des mécanismes merveilleux à une échelle
microscopique. Dans les cellules des muscles des ailes de la mouche, les
filaments d'actine et de myosine se tirent et se poussent, et font se
déplacer les ailes. De plus, les mouches apparaissent soudainement dans
les enregistrements fossiles. Aucune forme de transition entre des
formes sans ailes et avec ailes n'a été trouvée.
Comme tous les autres êtres vivants, les mouches n'ont
pas évolué, mais sont apparues par la création de Dieu Tout-Puissant et
Omniscient.
L'évolution ne peut expliquer l'origine du moindre gène L'ADN humain contient quelques 30.000 gènes, et il est
impossible qu'un seul d'entre eux ait pu apparaître par hasard. Le
biologiste évolutionniste Frank Salisbury admet :
"Une protéine moyenne peut comporter environ 300 acides
aminés. Le gène de l'ADN contrôlant cela aura environ 1.000 nucléotides
dans sa chaîne. Puisqu'il y a quatre types de nucléotides dans une
chaîne d'ADN, une chaîne constituée de 1.000 liens peut exister sous
41000 formes. En utilisant un peu d'algèbre (les logarithmes), on peut
voir que 4 1000 = 10 600 . 10 multiplié par lui-même 600 fois donne le
chiffre 1 suivi de 600 zéros ! Ce nombre est complètement au-delà de
notre compréhension." (
Frank B. Salisbury, "Doubts about the Modern Synthetic Theory of Evolution", American Biology Teacher, septembre 1971, p. 336 )
(IMPORTANT !) L'échec de l'expérience de Miller Depuis des années, l'expérience de Miller était
présentée comme une preuve pour la théorie de l'évolution, mais elle a
du être abandonnée suite aux découvertes scientifiques concernant
l'atmosphère primordiale de la Terre tout autant qu'aux imperfections de
l'expérience. Ces recherches sur l'origine de la vie - auxquelles les
évolutionnistes attachaient une énorme foi - furent menées en 1953 par
le scientifique américain Stanley Miller. Miller obtint quelques acides
aminés après avoir chauffé un mélange de gaz dont il supposait
l'existence dans l'atmosphère primordiale de la Terre. Mais en 1985 il
admit que ses conditions expérimentales ne reflétaient pas précisément
les conditions de l'atmosphère primitive. Par conséquent, son expérience
était invalide. (
Stanley Miller, Molecular Evolution of Life: Current Status of the Prebiotic Synthesis of Small Molecules, 1986, p. 7 )
(IMPORTANT !) L'expérience de Fox : une autre tentative vaine Influencé par le scénario d'évolution de Miller, Sydney
Fox mena des expériences au cours desquelles il combina différents
acides aminés en molécules qu'il nomma "protéinoïdes". Cependant, ces
chaînes d'acides aminés, qui ne servent à rien, ne ressemblaient en rien
aux protéines habituelles présentes chez les êtres vivants. Ce n'était
rien d'autre que des tâches chimiques irrégulières. De plus, on a
expliqué que même si de telles molécules s'étaient formées durant les
âges primaires, elles auraient finalement été détruites. (
S. W. Fox, K. Harada, G. Kramptiz, G. Mueller, "Chemical Origin of Cells", Chemical Engineering News, 22 juin 1970, p. 80 )
La preuve que les affirmations "d'organe vestigial" sont fausses L'affirmation d'organe vestigial, dans les textes
évolutionnistes, a maintenant été abandonnée en face des découvertes
scientifiques modernes. Les évolutionnistes affirmaient autrefois que
des organes comme l'appendice, le semi-luminaris et le coccyx étaient
des vestiges, simplement du fait qu'ils ne connaissaient pas les
fonctions de ces organes. Dans les paroles du zoologiste évolutionniste
S.R. Scadding : "Au fur et à mesure de l'augmentation de nos
connaissances [en biologie] la liste des structures vestigiales a
diminué." (
S. R. Scadding, "Do vestigial organs provide evidence for evolution?", Evolutionary Theory 5 : 173, 1981 )
Le dilemme de la transition de l'eau à la terre Les êtres vivants, tellement complexes
physiologiquement, sont divisés en groupes avec des barrières
insurmontables entre eux. Des découvertes montrent que le scénario où un
poisson sort de l'eau et se transforme en créature à quatre pattes
n'est pas scientifique. Puisqu'un poisson ne peut survivre plus d'une
minute ou deux hors de l'eau, tous les poissons quittant l'eau mourront
en quelques minutes, un par un. Même si cette situation se poursuit
pendant des millions d'années, elle ne changera pas. Les poissons
mourront tous, car un organe aussi complexe que les poumons ne peut se
former suite à un "accident" soudain via une mutation.
L'invalidité du scénario du "monde de l'ARN" Les expériences ratées de Miller et Fox ont mené les
évolutionnistes à chercher de nouveaux modèles expérimentaux. Ils en
sont ainsi venus à théoriser que la vie commença avec des molécules
d'ARN (une forme d'acide nucléique), capables de se copier elles-mêmes.
Selon eux, dans le monde primordial, l'ARN pouvait se répliquer sans
l'assistance de protéines et était capable de mener chaque étape de la
synthèse protéinique. Mais sur les quadrillions de molécules d'ARN
synthétisées artificiellement en laboratoire, aucune n'a montré de
telles caractéristiques. La chimie a révélé que la thèse du "monde de
l'ARN" est complètement impossible.
Les protéines défient le hasard Les protéines constituent les briques de base de toutes
les cellules vivantes et elles assument un grand nombre de fonctions
dans celles-ci. Les protéines sont constituées d'un nombre et de
variétés spécifiques de molécules d'acides aminés arrangées selon une
séquence particulière. Cette séquence est tellement précise que si un
seul acide aminé manque ou n'est pas à la bonne place, alors la protéine
entière ne servira à rien. Par conséquent, chaque acide aminé doit être
exactement à la bonne place, dans la séquence correcte. Il n'y aucune
possibilité qu'une telle séquence survienne par hasard. Par exemple, la
probabilité qu'apparaisse une protéine de 288 acides aminés de 12 types
différents, ayant la bonne séquence, n'est que de 1 sur 10300 - en
d'autres mots, pratiquement nulle (en mathématique, les probabilités
inférieures à 1 sur 1050 sont considérées comme étant "0") Voir Emile
Borel, Elements of the Theory of Probability, Prentice Hall, Englewood
Cliffs, NJ, 1965)
Le "flagelle bactérien" donne un coup fatal à l'évolution Un autre exemple frappant de complexité irréductible est
le flagelle, utilisé par certaines bactéries pour se déplacer dans leur
environnement liquide. Cet organe est attaché à la membrane cellulaire
de la bactérie, et la bactérie le bouge en rythme comme une nageoire
pour se propulser dans la direction et à la vitesse qu'elle choisit. Cet
organe fonctionne via un "moteur organique" très complexe, composé de
quelques 240 protéines. Si la moindre partie du flagelle manque ou
possède un défaut, la structure ne fonctionne pas. Le flagelle bactérien
doit avoir fonctionné sans défaut depuis le moment où il est apparu.
Cela prouve que la bactérie, comme tous les autres êtres vivants, a été
créée dans sa globalité.
L'évolution ne peut expliquer l'information de l'ADN L'information génétique déterminant le plan structurel
d'une personne, depuis son apparence externe jusqu'à ses organes
internes, est enregistré avec un système d'encodage spécial dans l'ADN.
Pour écrire cette information génétique sur papier, il faudrait une
librairie gigantesque comprenant environ 900 volumes de 500 pages
chacun. Mais cette quantité incroyable d'information a été encodée dans
notre ADN. Affirmer que l'information de la "librairie" de l'ADN humain
soit apparue par hasard est aussi irrationnel que de croire que les
cailloux jetés sur une plage par les vagues pourraient écrire l'histoire
entière de l'humanité.
Par Harun Yahya