Au levé du jour deux ouvriers coupent le blé dans le champ d’un terrien, un troisième arrive est leurs dit je suis envoyé par le fermier a qui appartient ce champ pour travailler avec vous à la coupe.
Les deux autres lui disent tu es le bien venu parmi nous, le champs et d’or et le blé et riche de ces épis la moisson sera bonne.
C’est en effet ce que m’a dit le fermier, il m’a également dit que le salaire sera en surplus, si tout est fini à la tombé de la nuit.
Faisons ce qu’il a dit et mettons nous au travail, la journée sa passe comme prévu et à la fin de celle ci le blé est coupé et mis en botte.
Le fermier vient sur son champ et leurs dits quel bon travail, je suis content de ce que vous avez fait, je vous payerai le surplus quand j’aurai vendu le blé.
Le troisième dit au fermier tu m’as dis que nous serions payé en plus si nous finissions à la nuit tombé.
Oui c’est vrai !! J’ai bien dit cela, c’est bien ce que je ferai mais seulement je ne puis vous donner que l’or que je possède pour le blé que vous avez coupé votre salaire viendra quand le surplus me sera rendu.
Tu m’as mentit et j’ai mentit aux autres ?
Je ne t’ai pas menti, je seulement omis de tout dire, serais tu venu sur mon champ si je t’avais dit que je devais d’abord vendre le blé à un bon prix pour que tu puisses avoir le surplus.
Alors j’ai seulement dit la vérité à l’aube du jour couchant, ainsi je n‘ai mentit qu’a moi puisque tu as entendu la vérité le matin et que je t’ai dis toute la vérité le soir venu.
Les deux autres lui disent pour nous ça ne changent rien nous avions déjà convenu du prix de notre pain à l’aube du jour levant, alors si tu veut donner le surplus sur la coupe du blé nous pendrons aussi la coupe et l’or pour le prix du bon pain.
Le troisième dit, moi, je ne suis pas d’accord !! Je veux mon du maintenant… ! Le fermier lui dit alors !! Pourquoi veux tu ton du maintenant, si tu me réclame le surplus sur le champ je vais devoir prendre sur le pain des autres.
Je ne suis pas sur qu’ils soient d’accord avec toi !!A cet instant l’un des deux dit si tu nous paye avec l’or de notre pain, je ne vois pas d’inconvénient mais si tu donnes l’or de ma coupe alors je le rejoins dans notre du.
Le fermier dit je comprend ce que tu dis, mais si je dois payer le surplus ça ne sera qu’avec l’or de la coupe.
Alors le second dit dans ce cas je le rejoins et je veux comme lui être payé avec le surplus.
Le fermier dit au second et au troisième vous savez que si je fais cela je devrais enlever le pain du premier.
Oui ça nous le savons ce n’est pas le pain que nous voulons lui enlever mais l’or que nous voulons ajouter à notre coupe.
Le premier dit alors ceci !!
Vous voulez votre du et bien moi je vous donne ma parole et je vous donne mon pain, les deux autres lui disent, ce n’est pas à toi de nous payer.
Je ne souhaite pas vous payer, qui demanderai à partager le pain avec l’or et la coupe, puisque vous voulais vivre de l’or vivez de l’or mais moi je ne suis pas venu ici sur ce champ coupé du blé pour récolter de l’or mais pour partager avec vous votre pain. Venez à ma table j’enlèverai l’or de votre satiété, j’enlèverai l’or de votre coupe et quand j’aurais brisé votre pain vous verrez la couleur du blé par le pain de vie.